A l’occasion de la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes du 8 mars 2023, de nombreuses institutions publiques françaises ont exposé le voile islamique dans leurs campagnes de communication. Paris, Nice, Marseille, Roubaix, Saumur, Nancy, Valence et même… Lourdes. Plusieurs dizaines de collectivités ont elles aussi activement préparé ladite journée avec la même volonté de mettre ce thème à l’honneur. Sur les affiches colorées, répertoriées par Fdesouche.com, toutes font figurer, parmi de nombreux profils féminins, des femmes voilées.
Lydia Guirous, féministe engagée d’origine algérienne, dénonçait déjà en 2017 dans son livre Ça n’a rien à voir avec l’islam ? Face à l’islamisme réveillons-nous, réveillez-vous ! le fait que « l’islam politique a fait du voile et de ses dérives vestimentaires des outils de propagande dont les cinq piliers pourraient se résumer ainsi : Toujours plus visible, ton voile sera. Dans les lieux publics, fièrement tu l’arboreras. Face à l’autorité tu refuseras de l’ôter, car tu ne respecteras que les lois d’Allah. L’incident, tu médiatiseras. La République, tu attaqueras ». Six ans plus tard, la tendance s’est accentuée. Le hijab et sa version waterproof, le burkini, sont devenus les véritables fers de lance des féministes, là où d’autres femmes, dans le monde, perdent la vie pour être libres de l’ôter.
3 commentaires
Les féministes militent pour le voile, laissons les discuter chiffon.
Comme m’apprenait mon professeur de latin :
« MINUS HABENS »
En gaulois moderne : Personne faible d’esprit et d’une grande médiocrité intellectuelle !
Hélas, dans le monde d’aujourd’hui, pire que le COVID !!!
Non aux prisons portatives