Le nouveau ministre du Logement, Guillaume Kasbarian, avait donné à Contrepoints en novembre 2023 un entretien (publié une nouvelle fois le 10 février 2024) alors qu’il était encore député et président de la commission des affaires économiques à l’Assemblée nationale. Il y faisait part de ses convictions libérales et de son attachement aux penseurs libéraux tels Turgot, Bastiat ou encore Hayek. Voir un parlementaire citer ces auteurs est peu commun…
Dans le cadre de son mandat, le député élu d’Eure-et-Loir s’était distingué par sa défense des propriétaires contre les squatteurs au grand dam de l’extrême-gauche et il avait fortement contribué à faire évoluer une législation inadmissible.
On ne peut donc que se réjouir de la présence au gouvernement d’un ministre qui revendique ses racines libérales, même s’il risque de s’y trouver bien isolé…
Mais il semble que même l’existence d’un membre unique qui ne fasse pas mystère de sa doctrine libérale soit considérée comme déplacée. En effet, Le Canard enchaîné (14 février 2024) consacre une partie de sa une à démolir l’horrible « Monsieur Anti-squat ». Le fait que le journal satirique (très) à gauche perde ses nerfs est sans doute bon signe…
Espérons maintenant que le nouveau ministre puisse mettre en œuvre au moins une partie de ses idées…Il peut très bien s’inspirer des travaux de l’IREF sur le logement.
5 commentaires
courage monsieur le ministre nous somme tous avec vous
avec de la justice et du bon sence
attention mefiez vous de macron
Bon courage à cet homme chaleureux pour le rétablissement et la protection du droit de propriété. Il aura fort à faire face aux imbéciles bien-pensants qui détruisent ce droit et on provoqué l’actuelle crise du logement avec leurs âneries comme le DPE, par exemple.
on va voir ce que un ministre peut faire contre une adminstration illibéerale .. A ce jour ,les rares qui le furent ,ne sont pas restés en place très longtemps
Il serait bon que la question du squat soit réglée !
Enfin quelqu’un qui semble disposé à soutenir les propriétaires, une fois n’est pas coutume !