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 France Inter : « radio progressiste » ou service public ?

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Nous avouons avoir été stupéfait de l’entretien donné par la directrice de France Inter au Figaro.

Trop à gauche France Inter, demande benoîtement le journaliste ? « Le fait, c’est que nous sommes une radio progressiste, et nous l’assumons », répond Adèle Van Reeth.

Non, Madame Van Reeth, France Inter n’a pas à être « progressiste » ! Au-delà du fait que l’adjectif est mal venu s’agissant de personnes qui s’emploient à fragiliser la civilisation, il faut sans doute lui rappeler que cette radio est un service public qui, comme tel, se trouve financé par l’ensemble des contribuables et qui, par conséquent, devrait être neutre idéologiquement. Quels eussent été les cris d’orfraie si elle avait déclaré que France Inter était une radio libérale ?!

L’Iref demande la privatisation de tout l’audiovisuel public français, pollué par les idées « progressistes ».

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12 commentaires

Dallot 6 avril 2024 - 7:38

Le terme progressiste approprié par des totalitaristes qui refusent et veulent baïllonner tous qui n’adhèrent pas à leur idéologie + proche du fasciste que du progrès et de la liberté d’expression

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Duhamel 6 avril 2024 - 1:23

C’est bien la fonction publique . Combien les journalistes de France Inter ont ils de semaines de Congé Payé ????? Tous bien a gauche pour ne rien foutre !!! 10 sem de congé Payé !!!!Voila ou Macron pourrait faire des economies en exigeant que le personnel fasse les 35 h !!! On pourrait supprimer
30 % du personnel ..

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Lombled 6 avril 2024 - 7:22

Ce que vous traduisez par progressisme n’est en réalité qu’un euphémisme pour qualifier d’ultragauchisme sa position. On pourrait en rajouter une couche en disant qu’elle est raciste anti-blanc etc….

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Bailly 6 avril 2024 - 10:34

D’accord avec vous, mais je sais faire le tri par la qualité donc je n’écoute ni ne regarde aucun média audiovisuel privé: c’est vraiment en dessous de tout!

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PhB 11 avril 2024 - 5:49

D’accord avec vous.
Les moins mauvais: ARTE
PhB

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Pierre 7 avril 2024 - 2:36

Mais oui, libéralisons les radios publiques !

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Bruno 14 avril 2024 - 11:16

Si on libéralise le public, la désinformation, propagande et autres non information ne disparaitront pas pour autant,
par contre on aura le droit de se faire encore plus polluer par la pub qui pour moi et un véritable fléau .

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Bruno 14 avril 2024 - 11:19

C’est étonnant qu’on ne puisse pas revenir sur le texte pour corriger le fôtes de frappe .

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Nemouk 8 avril 2024 - 2:10

C’est la méthode Coué !

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Albatros 8 avril 2024 - 2:50

En réalité, France Inter est une radio que je qualifierais de « régressiste », et surtout intolérante à tout discours contredisant les « vérités » assénées par la doxa des réchauffistes, les nouveaux curés de la religion anti-carbone et par celles des indécrottables constructivistes qui ne jurent que par l’Etat.
Je l’appelle Radio Paris, tellement elle est inféodée aux socialistes au pouvoir.
Nous en reviendrons mais en attendant, cela fait de gros dégâts.

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Duhamel 14 avril 2024 - 2:24

Stop au financement des fonctionnaires gauchos de la Radio Publique . Facile d’être gaucho quand c’est le Privé qui vous nourrit . et surtout que l’on a des salaires scandaleux .et 10 semaines de congés payés. Quand au taux d’absence doublement scandaleux .

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Renald 15 avril 2024 - 3:07

L’expérience américaine et britannique semble démontrer que privatiser les entreprises publiques ne fonctionne qu’un temps contre la pénétration du gauchisme sociétal. Aujourd’hui ce sont les entreprises (multinationales ou pas), qui imposent leur culte diversitaire :
– programmes de discrimination positive (women & colored),
– chartes de « diversité »,
– colloques obligatoires de rééducation,
– police du langage…

et dans la même veine le culte de Gaïa et du réchauffisme : journées spéciales, chartes, etc.
un vrai « business » !

Dans les multinationales, ces efforts sont promus par les actionnaires-pieuvres Goldman Sachs ou Blackrock qui ont officiellement annoncé qu’ils conditionnent leur participation à l’introduction de ces politiques.

Dans les autres cas, on peut toujours imposer aux entreprises privées le culte diversitaire par le biais de chartes et de règlements. C’est déjà le cas : il y a des quotas de femmes, des « promotions » diversité, pour ceux qui décodent la novlangue.

Et naturellement pour les médias, qui doivent souscrire, même quand ils sont privés, à une « charte de la diversité » (Arcom).

Privatiser ne nous sauvera pas du gauchisme, car on ne peut pas « passer par la bande » : il faut écraser le gauchisme où qu’il se trouve : public ou privé. C’est la société qui collectivement doit retrouver sa boussole, que beaucoup ont perdue et recherchent dans le gauchisme un ersatz de morale.

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