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Censure, idéologie, malhonnêteté ou comment on a étouffé l’affaire Hunter Biden

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C’était le 14 octobre 2020. Le New York Post publie des dizaines de mails du fils de Joe Biden, Hunter, grâce auxquels on apprend beaucoup sur ses activités en tant que « consultant » pour le compte d’entreprises ukrainiennes et chinoises. Il est question de millions de dollars. Les mails nous donnent aussi plein d’autres informations croustillantes sur les relations de Hunter Biden et sur le rôle qu’aurait joué son père. Certains mails semblent indiquer que Joe Biden, à l’époque candidat à la présidence des Etats-Unis, aurait même profité financièrement des « affaires » de son fils. Parmi les journaux américains importants, seul le Wall Street Journal s’empare de l’affaire, mène sa propre enquête et confirme les faits. L’IREF a été l’un des seuls en France à écrire sur cette très grave histoire que les médias ont censurée ou sous-estimée. Ce n’est pas par hasard. Nous sommes à deux semaines des élections présidentielles et le scandale – s’il éclatait – pourrait nuire au candidat Biden.

On en sait plus aujourd’hui sur ce qui s’est passé en octobre 2020 grâce aux révélations faites ce week-end par Elon Musk en personne qui a rendu publics des mails internes concernant la censure exercée par Twitter sur cette affaire, montrant ainsi comment le réseau social avait repris la version des responsables du Parti démocrate selon laquelle l’ordinateur portable avait peut-être été piraté et que son contenu était de la désinformation russe. Le « sujet » disparaît du fil Twitter et le compte du NYPost est bloqué. Aujourd’hui, il n’y a plus aucun doute sur l’authenticité des mails du fils Biden, largement confirmée depuis. Elon Musk a raison de montrer aux Américains ce qui s’est réellement passé. Il y va de la crédibilité de sa plateforme et aussi – et surtout – de celle des médias et des politiques.

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