David Cameron, le Premier ministre britannique, a fait paraître le 30 octobre un article dans The Times, plaidant pour une baisse des impôts. L’article débute sur l’affirmation que la concurrence fiscale est fondamentale au sein d’un monde globalisé. Et Cameron de souligner les arguments économiques bien connus pour une fiscalité moindre. Ajoutant qu’il fallait encourager le travail plutôt que les allocations et que si l’on taxait les entreprises, en amenuisant leurs bénéfices : »on mordait la main qui nous nourrissait ! ».
Cependant, cet article de Cameron ne fait pas appel à notre logique économique. En fait, il s’adresse à notre sens moral. D’après lui, en accord avec son parti, les impôts bas ne représentent pas seulement un bon choix économique mais l’adoption aussi d’une morale.
«Ce qui serait injuste moralement, ce serait que le gouvernement dépense de l’argent comme s’il poussait dans les arbres !». Pour lui, le gouvernement a un devoir vis à vis des contribuables qui travaillent dur.
« Il faut être conscients que chaque million dépensé par le gouvernement représente autant d’heures de réveils matinaux, de longs trajets pour se rendre au travail, qui s’ajoutent aux heures passées en usines, au bureau, à l’hôpital ou à l’école ». De ce fait, le dommage est d’autant plus grand que la bureaucratie de l’Etat gaspille les milliards gagnés. Pour donner un exemple, Cameron fait une comparaison entre l’Etat providence et un robinet d’où coulent des allocations.
A une échelle individuelle, le Premier ministre précise dans son article deux promesses s’il est réélu en 2015. Il portera le seuil à 50.000 livres pour le paiement d’un taux de 40% d’impôts ; ce changement va enlever de nombreux contribuables de cette tranche, cette politique visant à cibler notamment les salaires médians comme les professeurs ou les infirmières. Il estime également moral de rendre leur argent aux gens qui travaillent dur afin qu’ils puissent le dépenser pour leur famille, leur maison et d’une façon générale pour leur quotidien.
Son deuxième engagement est d’augmenter le seuil du paiement de l’impôt sur le revenu. A présent, les premiers 10.500 livres ne sont pas imposables ; en revanche il s’élèvera à 12.500 livres, si les Conservateurs remportent l’élection l’année prochaine.
Il est vrai que cet article sur la moralité de la fiscalité est loin d’être neutre. En fait, le but principal de Cameron consiste à attaquer la position du Parti travailliste au sujet des impôts. Ce qui ne l’empêche pas de nous prouver avec fraicheur que la baisse des impôts est une question de morale aussi !!
2 commentaires
baisse des impots
A transmettre à Marine pour application en 2017.
Les programmes des partis actuels !
Tous, je dis bien tous les programmes des partis politiques contiennent toujours le virus extrêmement dangereux qui a détruit la France et dénommé: "l'énarcotecnocratosoviétos".
Puisque je ne trouve pas chaussure à mon pied, je préfère le mien, apolitique et simple.
INSCRIPTION DANS LA CONSTITUTION DES MESURES SUIVANTES :
> La liberté totale d’entreprendre
> L’interdiction de tout déficit des finances publiques et des caisses sociales, retraites.. etc…
> La suppression de toutes les contraintes administratives paralysantes par la refonte totale et la simplification de tous les "codes" actuels, de manière à les réduire de 80% (liberté totale de recruter et de licencier, autorisation de travailler le dimanche)
> La réduction massive des dépenses publiques à hauteur de 300 milliards par an dans un premier temps ; elles sont actuellement à plus de 57 % du PIB en théorie, elle sont, en réalité, bien au delà.
> Baisse de 70 % du nombre de fonctionnaires ; près de 7 millions à ce jour contre 500 000 sous de Gaulle. La fonction publique désormais réservée uniquement aux fonctions régaliennes de l’état
> L’interdiction pour tout gouvernement de prélever plus de 30 % de la richesse créée par le secteur privé (impôts directs et indirects, taxes sur les carburants, etc…) avec contrôle par des gestionnaires du privé indépendants. En cas de non respect, le Président de la République et le gouvernement sont destitués sans appel et de plein droit
> Bouclier fiscal plafonné à 30 % concernant uniquement les personnes à faibles revenus
> Suppression de toutes les subventions aux entreprises, aux associations, aux agences étatiques
> Mise en concurrence obligatoire de la Sécurité Sociale (assurances privées)
> Mise en place d’un régime unique de retraite pour tous. Suppression de tous les régimes spéciaux. Alignement du public sur celui du privé
> L’impérieuse nécessité de maîtriser nos décisions nationales, dans un ensemble mondial, et la possibilité de refuser à tout moment le dicktat de Bruxelles sur le plan administratif, judiciaire et monétaire, ou de tout autre état
> La refonte totale de la justice (développement de la médiation INDÉPENDANTE et NON SALARIÉE et de l’arbitrage INDÉPENDANT pour tout ce qui à trait aux litiges économiques et financiers)
> Rétablissement de la sécurité pour les personnes et les biens ; mise en place d'une véritable légitime défense
> L'obligation d'avoir recours aux référendums pour tout ce qui concerne les sujets d'importance (liste à définir)
> Rétablissement de la peine de mort pour toute personne ayant tué volontairement et pour toute personne se livrant à la fabrication et/ou à la distribution de drogue.
> Rétablissement d’une peine minimale incompressible de prison, sans remise de peine possible, pour toute forme d’agression ou d’atteinte aux personnes et aux biens
> Suppression immédiate de la nationalité Française à vie pour tout étranger condamné y compris pour les mineurs délinquants et leurs parents avec expulsion immédiate de plein droit du territoire
> Suppression de toute forme d’allocation aux étrangers ne pouvant justifier d’une activité avec versement de cotisations en France et expulsion de plein droit du territoire
> Suppression du financement social des familles polygames
> Suppression du regroupement familial pour les étrangers