D’après une étude réalisée par la Standard Chartered Bank, les échanges financiers pourraient pâtir énormément des réglementations imposées par l’accord Bâle III. En les appliquant à la lettre, ces accords réduiraient de 270 Mds de dollars la valeur des échanges financiers dans le monde. Le grand public pense que l’activité bancaire n’était pas réglementée avant la crise.
Erreur : la réglementation, notamment celle de la Banque des Règlements Internationaux (Bâle), a été l’une des causes de la crise. Et on en rajoute.