Sauver la planète en luttant contre le réchauffement climatique coûte cher : 94 milliards de dollars au niveau mondial. Mais d’où vient l’argent ? Des poches du contribuable pour une part, mais aussi des dons de très nombreuses entreprises privées ! Des chiffres et des faits incontestables, rappelés par Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’IREF.
S’il existe un domaine dans lequel le bombardement médiatique est d’une efficacité redoutable c’est bien celui de l’environnement et, en particulier, celui du réchauffement climatique. Tous les jours, à la radio, dès 6 heures du matin, dans la presse, tous les soirs au journal de 20 heures, les médias déversent un tapis de bombes sous forme d’articles, reportages, témoignages, interviews, etc. pour nous convaincre de l’imminence d’un réchauffement qui se produira dans quelques années (là, les positions divergent) et qui condamnera la planète. Très rares sont les journalistes qui se réfèrent aux nombreux scientifiques qui, à l’instar de Claude Allègre, contestent les visions apocalyptiques des prophètes du réchauffement. Et encore plus rares sont les médias qui font des enquêtes sur les financements de toutes ces organisations écologiques à l’origine des grandes peurs d’aujourd’hui.
D’où vient l’argent des « khmers verts » ? Une incursion dans ce milieu aboutit à des découvertes incroyables. L’argent public est largement complété par l’argent privé, des entreprises n’hésitant pas à donner de grandes sommes d’argent à celles et ceux qui protestent contre le marché et veulent en finir avec le capitalisme. Exemples. Une entreprise comme ExxonMobil donne tous les ans plus de 7 millions de dollars à des organisations de toutes sortes y compris des associations écologistes. Le directeur du Climate Research Unit (CRU) – le département au centre du scandale Climategate – de l’Université d’East Anglia, Phil Jones, a avoué que son CRU avait reçu entre 2000 et 2006 plus de 19 millions de dollars de fonds de recherche, soit un montant six fois supérieur à celui qu’il avait reçu au cours de la décennie 1990. Une partie de cet argent provient des dons des entreprises.
Au niveau de l’Union européenne, on estime à 3 Milliards de dollars les fonds consacrés à la recherche sur le réchauffement climatique (et cela sans tenir compte des budgets nationaux) et à 94 Milliards de dollars au niveau mondial !
La Fondation Hulot est tenue par les entreprises privées
Aux Etats-Unis, l’Université de Pennsylvanie où enseigne Michael Mann, l’auteur du célèbre graphique en forme de crosse de hockey montrant la hausse de températures sur le globe, consacre plus de 55 millions de dollars aux recherches environnementales. Entre 1989 et les années 2000, l’administration américaine a multiplié par 27 ses subventions au GIEC. En France, on crée des taxes écolos comme la fameuse « écoparticipation » sur chaque appareil électrique acheté : 200 millions d’euros ponctionnés en 2009 sans pour autant savoir où va cet argent. Une partie va sans doute à la Fondation Hulot, mais cette fondation bénéficie surtout de nombreux dons privés. Sur un budget d’environ 4,5 millions d’euros, moins d’1 million proviendrait directement des poches des contribuables, le reste étant d’origine privée ou semi-privée. Voici les entreprises « amies » de la fondation : Alstom, EDF, l’Oréal, Ibis, TF1, Bouygues, Durracell, Banque populaire, Norauto, ASF, Publicis, JCDecaux, BBDO, Accenture…
Toutes ces entreprises financent une organisation qui ne cesse de militer pour l’instauration de nouvelles taxes et dont le leader demande la fin du capitalisme. Comprenne qui pourra.
5 commentaires
Le client est roi
« Toutes ces entreprises financent une organisation qui ne cesse de militer pour l
Merci pour vos remarques tout
Merci pour vos remarques tout à fait justes
NL
ROUGE-VERT-ROUGE
L’id
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H
L’ argent des Verts.
Il n’ y a rien d’