Au milieu du concert sur la moralisation du capitalisme tenu par les politiciens à Davos, quelques voix de patrons se sont élevées pour rappeler le rôle de l’entreprise dans la création de richesses et les risques d’une forte régulation de l’économie. Le PDG de Boston Consulting Allemagne, M. Hans-Paul Bürkner, ou bien Gerhard Cromme, le patron de ThyssenKrupp, ont rappelé que l’Etat devrait rester à sa place : « A vouloir trop encadrer le risque, on risque de le tuer. », a dit M.
Bürkner.