Le dramatique « spectacle » de l’ignoble retrait d’Afghanistan où des milliers (60 000 selon les organisations non-gouvernementales) d’Afghans qui ont aidé la coalition sont abandonnés dans les mains des…
terrorisme
Sandrine Rousseau : « S’il y a des potentiels terroristes afghans, les avoir en France nous permet de les surveiller »
Sandrine Rousseau souhaite que la France accueille des migrants afghans, et en particulier des potentiels terroristes ! En effet, la candidate à la primaire écologiste a proposé cette semaine sur…
L’alliance entre la gauche et l’islam, nommée islamo-gauchisme, est fondée sur un certain cynisme : avec la disparition progressive du prolétariat, les gauchistes se sont retrouvés sans victimes, ce qui les empêchait de se montrer en héros. De plus, dans les années 1980, mai 68 commençait à montrer ses limites, et l’URSS s’écroulait. La seule idéologie qui résistait encore aux Etats-Unis était l’islamisme. Il fallait à la gauche un allié, ce fut l’islamisme, et des victimes à défendre, ce furent les musulmans. L’ennemi de mon ennemi est mon ami.
Les mots d’Emmanuel Macron, qui redoutait des « flux migratoires irréguliers importants » suite à la prise de Kaboul par les talibans, ont fait couler beaucoup d’encre. Certains considèrent que…
Depuis le début des années 1980, de nombreux intellectuels du monde musulman ont dû se réfugier en Occident, contraints de fuir leurs pays respectifs où leur liberté mais aussi leur vie étaient menacées soit par le pouvoir d’État, soit par des groupes religieux ou des masses de croyants fanatisées. Les noms des premiers venus sont bien connus : Salman Ruhsdie, Taslima Nasreen, Ayaan Hirsi Ali, Chandortt Djavaan, Waleed Al Husseini. Puis d’autres ont suivi jusqu’à nos jours, moins placés sous les projecteurs de l’actualité mais qui ont pris avec éclat la relève — on trouvera leurs noms dans une note bibliographique à la fin du texte. Leurs crimes à tous ? Avoir tout simplement voulu vivre en libres individus dans leurs pays d’origine, en disposant d’eux-mêmes sans autorisation des autorités et groupes religieux, en bénéficiant de la liberté de conscience et de celle, pour les femmes, d’être les égales des hommes pour se vêtir et exercer leur sexualité. Et pire : d’avoir osé non seulement le faire mais le dire, de publiquement protester quand ces exigences élémentaires leur étaient refusées. Autant de manières censées offenser la religion — impardonnable en terre d’islam, et y méritant forcément la relégation carcérale et, souvent, la mise à mort.
Commencé sous Trump, le retrait des troupes américaines d’Afghanistan a été accéléré sous Biden et devrait normalement s’achever le… 11 septembre. Date symbolique et qui devrait rappeler qu’elle a justement…
Mélenchon se complaît dans le complotisme et insulte les victimes d’attentats terroristes
La dernière déclaration de Jean-Luc Mélenchon sonnera-t-elle le glas de sa carrière politique et de ses ambitions présidentielles ? Le député insoumis a déclaré dimanche que « la semaine avant…
La question se pose après le coup d’État du colonel Assimi Goïta. Ce nouveau putsch, le cinquième depuis l’indépendance du pays, intervient dans un contexte déjà peu favorable à l’opération…
Catholiques attaqués ou comment l’extrême-gauche rejoue la Commune de Paris
Samedi dernier, le diocèse de Paris organisait une procession en hommage aux victimes de la Commune. Une procession ressemblant à beaucoup d’autres : une dizaine d’enfants de dix ans en…
Le récent détournement d’un avion civil de la compagnie Ryanair dans l’espace aérien Bélarus est un acte extrême, de la part d’un État. L’avion, qui effectuait un vol Athènes – Vilnius (Lituanie), a été détourné par un appareil militaire Mig-29 qui a obligé l’équipage à se poser en urgence à Minsk, la capitale du Bélarusse. Officiellement, pour cause d’alerte à la bombe. En réalité, le dictateur Alexandre Lukashenko voulait arrêter un opposant politique en exil qui était à bord, Roman Protassevitch. L’avion est d’ailleurs reparti sans qu’aucune bombe soit découverte et avec un seul passager manquant à l’appel, l’opposant politique en question.