Les mots d’Emmanuel Macron, qui redoutait des « flux migratoires irréguliers importants » suite à la prise de Kaboul par les talibans, ont fait couler beaucoup d’encre. Certains considèrent que…
terrorisme
Depuis le début des années 1980, de nombreux intellectuels du monde musulman ont dû se réfugier en Occident, contraints de fuir leurs pays respectifs où leur liberté mais aussi leur vie étaient menacées soit par le pouvoir d’État, soit par des groupes religieux ou des masses de croyants fanatisées. Les noms des premiers venus sont bien connus : Salman Ruhsdie, Taslima Nasreen, Ayaan Hirsi Ali, Chandortt Djavaan, Waleed Al Husseini. Puis d’autres ont suivi jusqu’à nos jours, moins placés sous les projecteurs de l’actualité mais qui ont pris avec éclat la relève — on trouvera leurs noms dans une note bibliographique à la fin du texte. Leurs crimes à tous ? Avoir tout simplement voulu vivre en libres individus dans leurs pays d’origine, en disposant d’eux-mêmes sans autorisation des autorités et groupes religieux, en bénéficiant de la liberté de conscience et de celle, pour les femmes, d’être les égales des hommes pour se vêtir et exercer leur sexualité. Et pire : d’avoir osé non seulement le faire mais le dire, de publiquement protester quand ces exigences élémentaires leur étaient refusées. Autant de manières censées offenser la religion — impardonnable en terre d’islam, et y méritant forcément la relégation carcérale et, souvent, la mise à mort.
Commencé sous Trump, le retrait des troupes américaines d’Afghanistan a été accéléré sous Biden et devrait normalement s’achever le… 11 septembre. Date symbolique et qui devrait rappeler qu’elle a justement…
Mélenchon se complaît dans le complotisme et insulte les victimes d’attentats terroristes
La dernière déclaration de Jean-Luc Mélenchon sonnera-t-elle le glas de sa carrière politique et de ses ambitions présidentielles ? Le député insoumis a déclaré dimanche que « la semaine avant…
La question se pose après le coup d’État du colonel Assimi Goïta. Ce nouveau putsch, le cinquième depuis l’indépendance du pays, intervient dans un contexte déjà peu favorable à l’opération…
Catholiques attaqués ou comment l’extrême-gauche rejoue la Commune de Paris
Samedi dernier, le diocèse de Paris organisait une procession en hommage aux victimes de la Commune. Une procession ressemblant à beaucoup d’autres : une dizaine d’enfants de dix ans en…
Le récent détournement d’un avion civil de la compagnie Ryanair dans l’espace aérien Bélarus est un acte extrême, de la part d’un État. L’avion, qui effectuait un vol Athènes – Vilnius (Lituanie), a été détourné par un appareil militaire Mig-29 qui a obligé l’équipage à se poser en urgence à Minsk, la capitale du Bélarusse. Officiellement, pour cause d’alerte à la bombe. En réalité, le dictateur Alexandre Lukashenko voulait arrêter un opposant politique en exil qui était à bord, Roman Protassevitch. L’avion est d’ailleurs reparti sans qu’aucune bombe soit découverte et avec un seul passager manquant à l’appel, l’opposant politique en question.
Le dictateur Loukachenko nargue l’Europe en « peaufinant » les méthodes d’élimination des opposants
Tous les dictateurs veulent se débarrasser de leurs opposants. De Staline à Hitler, en passant par Poutine, Ceausescu et les dictateurs africains, asiatiques ou sud-américains, ils ont tous leurs méthodes…
Loi anti-terrorisme : le sacrifice des libertés de tous pour le contrôle de quelques-uns
Portée par Gérald Darmanin et Jean Castex, une nouvelle loi anti-terroriste est arrivée en Conseil des ministres fin avril. Ses dix-neuf articles ont pour but de répondre plus efficacement à la menace terroriste, au prix de plusieurs de nos libertés.