Alors que sa cote baisse dans les sondages, Emmanuel Macron s’inquiète. Il attache beaucoup d’importance aux informations que nous avons données sur son patrimoine et aux questions que nous avons levées. A tel point qu’il aurait demandé à Jean-Jacques Bourdin de l’interroger spécialement sur le sujet ce lundi 17 avril au matin sur l’antenne de BFMTV/RMC. Sans nous citer bien entendu, il a développé la théorie du complot que, il y a peu, il reprochait tant à d’autres de manier trop facilement.
corruption
Des professeurs de droit et des avocats s’interrogent de manière pertinente sur le patrimoine et les revenus d’Emmanuel Macron. Ces questions ne sont pas anodines et restent pourtant sans réponse à ce jour.
Suite à notre article sur les déclarations de patrimoine de M. Emmanuel Macron, nous avons reçu de très nombreux témoignages et observations.
Il y a une omission grave dans la déclaration de Monsieur Macron, tant d’ailleurs dans celle du 24 octobre 2014 que dans celle déposée le 16 mars 2017 ès qualités de candidat à l’élection présidentielle. Pour l’IREF, c’est une omission de plus des trois quarts du patrimoine. Il serait temps que la justice s’en occupe avec la même célérité que pour d’autres candidats.
L’article de Nicolas Lecaussin est publié par le quotidien l’Opinion dans son édition du 22 février. Lire.
En France, on a surtout l’habitude des manifestations régulières organisées par les syndicats des fonctionnaires ou des services publics afin de sauvegarder leurs privilèges. En Roumanie, le peuple descend dans la rue contre les politiques corrompus. Exemple à suivre.
Le capitalisme de connivence est à son paroxysme quand règne le socialisme de connivence. La France en offre un bel exemple en obligeant les entreprises à faire des dépenses de publicité inutiles pour financer certains journaux !
Quand la fin commence à justifier les moyens, c’est la civilisation qui est en danger. Parce que tout alors est permis. Où est la limite entre les aviseurs rémunérés et « La vie des autres ». La mémoire des années noires de l’Occupation suffirait à traiter ces pratiques d’abomination. Ou le souvenir de la Révolution culturelle chinoise qui a institué la délation jusqu’au sein des familles et y instillait le doute sur l’autre.
Il est très à la mode en France, surtout dans les milieux de droite, de faire l’éloge de Vladimir Poutine, le président de la Russie. L’autocrate de Moscou, ancien officier du KGB, la sinistre police politique soviétique, est pourtant à la tête d’un grand pays complètement à la dérive. Plusieurs fois au pouvoir depuis la fin des années 1990, Poutine n’a rien fait pour essayer de redresser économiquement la Russie. Au contraire, il l’a laissé devenir complètement dépendant de l’exportation des matières premières comme un pays du tiers monde.
L’article de Jacques Garello, membre du CA de l’IREF, est publié par le quotidien Le Figaro dans son édition du samedi, 21 février.