Didier Lemaire, professeur de philosophie au lycée de Trappes a critiqué dans des médias l’emprise islamiste sur la ville. Il est poursuivi depuis de la hargne islamiste au point qu’il vit sous escorte policière. Plutôt que de le défendre, le maire de Trappes, Ali Rabeh, proche de Benoît Hamon, s’est offusqué des propos de l’enseignant et s’est rendu à deux reprises au lycée pour échanger avec les élèves et faire sa promotion personnelle. C’est très choquant qu’un maire puisse se rendre dans un établissement scolaire pour faire sa propagande. Surtout que l’élection d’Ami Rabeh a été annulée le 3 février par le tribunal administratif de Versailles compte tenu des dépenses engagées que l’élu avait engagées entre les deux tours sans les déclarer dans ses comptes de campagne. Ali Rabeh n’a d’ailleurs été élu à Trappes au second tour des élections municipales de 2020 qu’avec 2 023 voix dans une ville qui compte plus de 30 000habitants.
Il serait temps que l’État fasse respecter le droit d’exprimer ses opinions, fussent-elles pour critiquer l’emprise islamiste sur une ville française, et veille à ce que les élus n’utilisent pas leurs mandats électifs pour faire de la propagande religieuse.
Trappes expérimente la prise de pouvoir islamiste
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Trappes expérimente la prise de pouvoir islamiste
Un avant goût ou l’image d’un futur pouvoir islamiste en France ? Résultat d’une politique immigrationniste vouée à l’échec ? La responsabilité de la Gauche est très importante dans ce constat qui a confondu générosité et excès de social.