57 milliards de dollars : c’est le montant des créances sur l’Etat grec et les entreprises grecques détenues par les banques française. Naguère il était de bon ton de vanter les mérites et la solidité des banques françaises. Plus saines, plus prudentes que d’autres. Il semblerait que les nuages s’accumulent au-dessus des trois premières banques françaises : la Société Générale, la BNP et le Crédit Agricole.
Elles détiendraient 57 Milliards de dollars de dette souveraine grecque et d’entreprises contre 34 Milliards pour les banques allemandes et 14 Milliards seulement pour les banques britanniques. Une menace de défaut de paiement prise très au sérieux par les agences de gestion des risques bancaires.