Bart De Wever est devenu lundi le premier ministre de la Belgique après que cinq partis se sont mis d’accord vendredi pour former une coalition. M. De Wever, qui a prêté serment devant le roi et dont le parti de centre-droit N-VA a remporté les élections belges il y a huit mois, sera le premier nationaliste flamand à diriger le pays. Il s’est engagé à mettre en œuvre « la politique migratoire la plus stricte qui soit » et à réduire les dépenses publiques pour améliorer les finances de la Belgique.
Le gouvernement belge rejoint ainsi le « club » des pays européen dont le gouvernement n’est pas à gauche, qui ne comptera, quand M Scholz ne sera plus chancelier d’Alleamgne, en fait plus que le Royaume-Uni, où les travaillistes subiraient une déroute si des élections y étaient organisés aujourd’hui, et l’Espagne. La France étant, pour sa part, gouverné à gauche, au vu de la doctrine collectiviste sur le plan économique ainsi que des parcours de certains ministres, mais aussi à la fois et en même temps, au centre et à droite.