Dire « c’est un sociologue de gauche » est (presque) un pléonasme en France. Une preuve supplémentaire vient d’en être donnée par un « nouveau » sociologue (et philosophe), très à la mode en ce moment. Il s’agit de Geoffroy de Lagasnerie qui répand ses théories grâce à des livres publiés par de grandes maisons d’édition et aussi grâce aux médias qui l’invitent volontiers. Après de longues recherches sociologiques, il nous a fait part de sa dernière trouvaille : « Il ne peut pas y avoir de pensée de droite ». Pourquoi ? C’est très simple. Il n’y a qu’une seule Vérité, celle de gauche. Et à droite il n’y a que domination (l’influence de Bourdieu, bien sûr) et crimes : racisme, homophobie, capitalisme et multinationales, machisme, féminicide, anti-immigration… Tout un programme qu’il enseigne aussi à l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy. Avec l’argent des contribuables… capitalistes.
« Il ne peut pas y avoir de pensée de droite »

Nicolas Lecaussin
Directeur de l'IREF, Nicolas Lecaussin est diplômé de Sciences-po Paris, ancien président de l'IFRAP (Institut Français de Recherche sur les Administrations Publiques), fondateur de l'association Entrepreneur Junior et auteur de plusieurs ouvrages sur le capitalisme, l’Etat et les politiques publiques. Auteur et co-auteur de plusieurs ouvrages dont : Cet État qui tue la France (Plon, 2005), L’absolutisme efficace (Plon, 2008), Au secours, ils veulent la peau du capitalisme ! (First Editions, 2009), A quoi servent les riches, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Lattès, 2012), L’obsession antilibérale française (Éditions Libréchange, 2014), Anti-Piketty, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions Libréchange, 2015), Echec de l'Etat, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions du Rocher, 2017), Les donneurs de leçons (Éditions du Rocher, 2019).
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« Il ne peut pas y avoir de pensée-borborygmesque de gauche »
Geoffroy d’agaceries fait partie de la race de ces serpents élevés dans un nids marxiste grouillant de ses semblables : ne vous en approchez pas son venin est . . . .