Voici une analyse claire et pédagogique des origines de la crise de 2008. Très loin des interprétations étatistes reprises par les médias. L’auteur, chercheur à la Hoover Institution et éditorialiste dans le Wall Street Journal, rappelle pertinemment que cette crise a été en réalité… politique. Tout est parti de la volonté des politiques de donner la possibilité aux pauvres d’accéder très facilement aux crédits immobiliers.
D’où le rôle néfaste joué par les organismes Fannie Mae et Freddie Mac sans le refinancement hypothécaire. Il mentionne aussi à juste titre les mesures politiquement correctes prises par l’administration comme celle de Janet Reno, ministre de la Justice sous Clinton, qui a imposé des quotas raciaux pour accéder à la propriété. Un ouvrage à traduire d’urgence en français.