Les Etats Unis en première place, la France en deuxième, sont les plus gros producteurs-exportateurs de blé dans le monde. Or la guerre en Ukraine a fait apparaître une chose…
Patrick Simon
Les voyous barbares de Viry-Châtillon et l’assassin de Sarah Halimi : pour une nouvelle loi anti-casseurs
Plusieurs décisions judiciaires viennent d’être rendues en matière criminelle et font l’objet de critiques parfois virulentes. L’affaire de Viry-Châtillon et l’assassinat de Sarah Halimi devraient inciter les politiques à changer la loi.
Voici deux bonnes nouvelles. La première concerne le canal de Suez. L’énorme porte-conteneur qui bloquait le canal a été remis à flot, en libérant ainsi le passage à la queue des navires qui attendaient derrière lui. Cet évènement de mer a mis sous le feu des projecteurs ce qui est à la fois une fragilité et une force du commerce maritime mondial.
Nombreux sont ceux qui, parmi nous, ont pris l’habitude d’avoir une conception manichéenne de la vie : le camp du bien, où bien sûr ils se comptent, et le camp du mal, où ils placent leurs adversaires. Mais la vie n’est pas ainsi et souvent le choix pratique qui s’offre à nous est entre deux biens. Une bonne illustration peut être trouvée dans la parabole du Bon Samaritain. Il existe au moins deux façons de l’interpréter : celle qui décrète où est le bien et le mal et celle qui, sans pour autant éliminer cette dichotomie, fait émerger le dilemme ainsi que son dépassement possible.
Les dividendes, par ces temps de crise, passent un mauvais quart d’heure. Or, ils sont liés à la bonne santé des entreprises, à l’innovation et à l’investissement. Pour faire les investissements il faut de l’argent et pour cela il faut rémunérer ceux qui apportent et versent cet argent. C’est ce qui s’appelle un dividende.
Face à cette épidémie, regardons et comparons les politiques de certains pays asiatiques. La Corée du Sud et Taïwan sont proches de la Chine, pays d’origine du fléau. Pourtant ces deux pays ont réussi à contenir la propagation du virus. Comment ? Ils ont fait fabriquer très tôt et massivement des appareils ainsi que des portiques qui sonnent automatiquement lorsque celui qui passe dessous a de la fièvre (plus de 37,5 degrés). Ils leur ont adjoint des équipements de géolocalisation et de traçage, permettant de suivre les personnes atteintes, afin de retrouver celles qu’elles auraient pu contaminer. Ainsi l’activité économique a-t-elle pu continuer, chacun étant libre de vaquer à ses obligations s’il n’est pas malade. De fait, la circulation automobile par exemple est normale à Séoul et à Taipei. Cette politique a été possible grâce à une industrie pharmaceutique et médicale privée performante qui a produit ces appareils à grande échelle pour le pays et même pour le monde puisqu’elle en exporte. Cela fait apparaître que les solutions viennent généralement de l’initiative du marché.