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Colloque : Quelles réformes pour sauver nos retraites ?

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Dans le cadre des « Entretiens des Libertés », Contribuables Associés, l’IREF et l’ALEPS vous convient au colloque sur le thème : Quelles réformes pour sauver nos retraites ?.

Mardi 3 décembre de 17h à 20h
Hôtel Napoléon – Salon Friedland
38 avenue Friedland, 75008 Paris

Trois parties seront développées lors de ce colloque (vous êtes libre d’assister aux thèmes de votre choix) :

+1. Retraites : principes généraux, constats, situation, les différences public-privé+

Retraites : Principes généraux
Pascal SALIN, Professeur d’économie honoraire à l’Université Paris Dauphine, Président de l’ALEPS.

Constats et situation des retraites et des retraités
Thierry BENNE, Docteur en droit et diplômé d’expertise-comptable.

Retraites, les différences public-privé
Alain MATHIEU, entrepreneur, Président d’honneur de Contribuables Associés.

+2. Les arnaques et les dangers de la réforme Delevoye, le pillage des caisses libérales, quelle transition ?+

La réforme Delevoye ou la grande arnaque
Jean-Philippe DELSOL, avocat, Président de l’IREF.

L’exemple de l’ERAFP ou comment pourrait-on introduire une dose de capitalisation ?
Philippe DESFOSSÉS, Ancien Directeur de l’ERAFP

Les pharmaciens libéraux et la réforme des retraites
Monique DURAND, pharmacien titulaire, Présidente de la CAVP et de la CNAVPL.

+3. Les bienfaits de la capitalisation, exemple étrangers, propositions de réforme+

Les bienfaits de la capitalisation
Jacques GARELLO, Professeur émérite à l’Université d’Aix en Provence.

L’épargne retraite et l’exemple suisse
Victoria CURZON-PRICE, Professeur d’économie politique émérite à l’Université de Genève.

Les exemples étrangers et les propositions de l’IREF
Laurent PAHPY, Chargé d’études à l’IREF.

Intervention conclusive par Pascal PERRI
journaliste LCI et auteur de l’ouvrage Retraites, la dernière chance (l’Archipel, 2019).

Modérateurs : Eudes BAUFRETON, Directeur de Contribuables Associés et Olivier MERESSE, secrétaire général de l’ALEPS.

Inscription préalable obligatoire par courriel à :

reservation@contribuables.org

Ou sur billetweb :
https://www.billetweb.fr/colloque-quelles-reformes-pour-sauver-nos-retraites

A l’issue, un verre de l’amitié vous sera proposé en présence des intervenants. Nous nous réjouissons d’avance de pouvoir vous retrouver lors de cette réunion.

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10 commentaires

Teisserenc 16 novembre 2019 - 12:47

Retraites
Il faut éviter à tout prix une gestion des retraites par l’Etat. Ce sera une catastrophe !
Exemple : la CNAV est la seule caisse à verser les retraites au milieu du mois (le 10 exactement). Pourquoi ?
Mais que d’exemples montrent l’incapacité de l’Etat à gérer efficacement les organismes qui lui sont confiés. Va-t-on continuer ?
Aberrant !

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edoute 17 novembre 2019 - 12:06

Bonjour, je reçois une pension de la CNAV et elle m'est toujours versée entre le 28 et le 29 du mois à échoir, mais jamais le 10 du mois échu.

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Felix Lefez 16 novembre 2019 - 1:59

Pas de bouteille à l’encre
Il est évident qu’il faut égaliser les retraites et ne pas en profiter pour ponctionner les caisses des régimes bien gérés.
L’état qui s’occupe de tout doit prévoir une retraite minimale à chacun. Le complément de retraite doit être laissé à la responsabilité de chaque personne.

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Claude Courty 17 novembre 2019 - 2:35

Surpopulation humaine – La cause de tous nos maux
Comme toute autre question d'ordre social, les retraites subissent les effets de la démesure du binôme économie-population.
Là comme ailleurs, nous ne vivons pas une crise socio-politique, mais les débuts d’un drame planétaire qui peut être fatal à notre civilisation à bref terme et auquel capitalisation ou répartition ne changeront pas davantage que libéralisme ou dirigisme. En douteront-nous encore en y succombant ?
– 250 000 êtres humains supplémentaires quotidiennement sur Terre, pour une création d'emplois moitié moindre.
– La transition démographique est telle qu'après que la population humaine mondiale ait augmentée, en moyenne, de 11 000 individus chaque jour depuis le début de notre ère, ce chiffre passera à plus de 17 000 dans moins d'un siècle.
La question prioritaire est aujourd'hui : Vaut-il mieux le progrès et un bien-être inégal pour 3 ou 4 milliards d’humains pratiquant une écologie dénataliste, dans le respect de leur environnement social et environnemental, ou une indigence égalitariste et le saccage de la planète, par bientôt 11 milliards et plus de super-prédateurs, alors qu'elle ne peut en nourrir que le quart ? Ceci quelles que soient les difficultés à attendre d'un vieillissement de la population.

https://pyramidologiesociale.blogspot.com

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DURAND 17 novembre 2019 - 9:17

C'est là que les Athéniens s'atteignirent……ou la réforme impossible
Les ressources budgétaires et sociales-retraites sont fondées sur deux collecteurs :
1°) le concept personnalisé:cotisations,taxes.
2°) le concept transactionnel (TVA – CSG etc.)
Or, le concept personnalisé est un concept primitif qui date des temps les plus anciens.
Il n'est plus apte à satisfaire aux ressources
De plus fort il véhicule une anomalie originelle qui lui est spécifique.
Pour en savoir plus, nous consulter.

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yves Montenay 17 novembre 2019 - 8:08

Libéraux, ne vous lancez pas dans les problèmes techniques … !
Le libéralisme est une philosophie fondamentale. Il ne faut pas lui faire risquer sa réputation en l'impliquant dans des problèmes techniques pour lesquels une erreur est toujours possible. Pour les retraites, par exemple : https://www.yvesmontenay.fr/2019/08/06/la-retraite-par-capitalisation-peut-elle-vraiment-saffranchir-de-la-demographie/
J'ai vu trop de libéraux se lancer dans le calcul suivant : avec un rendement de 5 %, la capitalisation écrase la répartition. Sans se demander QUI paiera les 5 % si il n'y a plus assez d'actifs .. Lisez cet article avant de hausser les épaules !

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Roustan 21 novembre 2019 - 11:37

Régime universel
Comment croire un état menteur qui nous mène en bateau depuis un an et qui passera en force ?!
Pharmaciens nous voulons garder notre capitalisation qui nous nous permet souplesse et survie de nos retraites pour l’avenir ce que ne permet pas la répartition car ce régime par capitalisation est garanti à vie malgré les rendements actuels ,sans compter les réserves .
Par qui va gérer le RU après MACRON , ce système est trop dépendant des personnes politiques

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TELLE 28 novembre 2019 - 4:22

On nous propose de mettre en place un plancher, fixé à 1000€, pour les futures retraites.
Dans ce cas, il faudrait également fixer un plafond, au maximum à 8000€ pour tous, cumul de retraites compris ainsi que pour les retraites chapeaux.
De plus, si l'on veut plus de justice sociale, il faudrait également supprimer tous les avantages des anciens présidents et premiers ministres qui bénéficient à vie d'une retraite très, très confortable et d'avantages qui dépassent l'entendement!!!
Ce serait alors une vraie avancée sociale car aujourd'hui, les politiques cumulards, les hauts fonctionnaires (qui au demeurant sont déjà très bien rémunérés en activité)ne pourraient plus bénéficier des largesses et privilèges qu'ils se sont attribués !!!
Hélas pour nous, ce sont eux les décideurs !! Tous ces donneurs de leçons ne sont pas prêt de laisser la gouvernance au peuple !!
Robespierre revient ……

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Barbier 28 novembre 2019 - 2:43

Message à Thierry Benne
Ne pourrai pas être présent car la veille représente notre Association A3dr Association de defense des Retraites au colloque annuel du COR
Mais souhaiterais recevoir par mail le texte des interventions car nous partageons très souvent les vues de l'IREF
Merci à Vous
F Barbier
Conseil Communication A3dr

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Angoulvant 30 novembre 2019 - 4:21

"Cachez cette dette que je ne saurais voir"
Les retraites par répartition comprennent un volet "redistributif" relevant de l'aide sociale et qui devrait être à ce titre "égalitaire", et un volet "contributif" s'apparentant au remboursement viager d'un emprunt forcé, impliquant un traitement cette fois "équitable" (en rapport avec la contribution d'origine). Or l'option structurelle – fermée à toute discussion – de fusion globale des masses de créances et de dettes des retraites de base et complémentaires va permettre de transférer "sous la table" au secteurs privés (salariés et indépendants) la facture latente considérable des droits acquis sans cotisations équitables dans les dispositifs (et non vrais "régimes") de pensions publiques. Le tout sous gouvernance politique. Le coût annuel de cette facture (non chiffrée au total) sera en 2020 égal à 50 Md€ pour le budget (source PLFSS). Cette manœuvre n'est-elle pas le véritable mobile d'une réforme ni faite ni à faire de cette façon, en dépit des bons principes qui tentent de l'habiller de vertu.

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