« Quand Thierrry Wolton dissèque avec brio ce qu’a été, et est encore, le communisme »
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Directeur de l'IREF, Nicolas Lecaussin est diplômé de Sciences-po Paris, ancien président de l'IFRAP (Institut Français de Recherche sur les Administrations Publiques), fondateur de l'association Entrepreneur Junior et auteur de plusieurs ouvrages sur le capitalisme, l’Etat et les politiques publiques. Auteur et co-auteur de plusieurs ouvrages dont : Cet État qui tue la France (Plon, 2005), L’absolutisme efficace (Plon, 2008), Au secours, ils veulent la peau du capitalisme ! (First Editions, 2009), A quoi servent les riches, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Lattès, 2012), L’obsession antilibérale française (Éditions Libréchange, 2014), Anti-Piketty, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions Libréchange, 2015), Echec de l'Etat, coauteur avec Jean-Philippe Delsol (Éditions du Rocher, 2017), Les donneurs de leçons (Éditions du Rocher, 2019).
4 commentaires
« Quand Thierrry Wolton dissèque avec brio ce qu’a été, et est encore, le communisme »
Du Marxisme à la pensée dominante par le communisme.
Caractérisée par un conformisme souvent confondu avec l’ordre, et une compassion dévoyée, plus ou moins consciemment héritée d’un communisme aussi sommaire que persistant, en dépit de ses hécatombes supérieures à celle de 2 guerres mondiales, tout n’est pas perdu pour ceux qui s’abandonnent à la pensée dominante – en voie de devenir unique ; pour autant que leurs convictions ne soient pas encore devenues ces certitudes les privant de la liberté d’admettre des évidences, factuelles et chiffrables, offertes au premier venu, parmi lesquelles :
— Le caractère incontournablement pyramidal de toute société fondée sur l’interdépendance hiérarchisée de ses membres, dans une altérité – chaque jour plus compliquée par le nombre – résultant de l’héritage génétique, social et culturel de chacun, selon les hasards de sa naissance ; quels que soient les aléas de son existence par la suite et l’assistance que puisse fournir la collectivité aux plus déshérités.
— Le fait que richesse et pauvreté existent l’une par l’autre – dans leur relativité. Sans pauvres point de riches et inversement. Dans une structure sociale que ne peuvent modifier durablement les utopies les plus obstinées, chacun est le pauvre ou le riche de plus pauvre ou de plus riche que lui.
— Le fait que si la richesse matérielle – individuelle comme collective – de l’humanité n’a pas d’autres limites que les ressources de la Terre (et peut-être d’autres planètes dans le futur), ainsi que l’appétit, l’ambition, la cupidité… de ceux qui la convoitent, la pauvreté a la sienne, qui est le niveau zéro de la richesse (grand oublié des discours les mieux intentionnés).
— L’impuissance des luttes sociales les plus acharnées à changer la condition humaine, comme en atteste la rémanence des revendications des plus frustrés, envieux et jaloux, depuis que le monde existe ; l’indéniable amélioration des conditions d’existence de l’espèce étant le résultat du progrès scientifique et technique et non celui de combats sociaux profitant d’abord aux pouvoirs qui les suscitent et les entretiennent, au péril de ceux qui les livrent.
— La croissance de l’indissociable binôme économie/population – dont l’histoire se confond avec celle de l’humanité – et le creusement permanent qui s’ensuit, des inégalités sociales. Voir ci-dessus schéma apparemment ignoré de la plupart des économistes et autres experts en sciences humaines.
— La pire honte de l’humanité qu’est la pauvreté extrême, qu’il serait pourtant possible d’éradiquer en isolant la base de la pyramide sociale du niveau zéro de la richesse lui étant associé par instauration d’un revenu universel minimum et inconditionnel (RUMI), plutôt qu’en s’obstinant à distribuer des aides aussi vaines que d’un coût cumulé faramineux, dissuadant une richesse qui en est le seul remède ; sans compter les effets de nouvelles technologies automatisant en premier lieu les tâches dont (sur)vivent encore les plus pauvres.
— Une humanité moins sensible à la raison qu’aux passions que lui dictent son angoisse existentielle, ses innombrables peurs et son obscurantisme rémanent,.ayant jusqu’ici prospérée dans le déni de ce qui précède en y perdant son humanisme.
« Quand Thierrry Wolton dissèque avec brio ce qu’a été, et est encore, le communisme »
CETTE LECTURE MA PLU!
LA DISTRIBUTION DE NOTRE SOCIAL EN FRANCE,A BESOIN DE CHANGER POUR NE PLUS
FAIRE CERTAINS HUMAINS DES ASSISTES;
J’estime que recevoir un rsa mérîte de faire des heures de travail pour la ville où habitent ces personnes!!
Que se faire soigner gratuitement sans jamais avoir travaillé pour la France,ne doit pas être une habitude.
Le travail n’est plus récompensé et en plus d’être une honte de nos Dirigeants, la colère des français courageux qui souffrent monte depuis des années,ils ne sont pas racistes mais réalistes.
Je suis retraitée 74 ans j’ai trouvé un emploi début octobre à Kinougarde pour sortir mon compte du rouge ,où je me suis mise et me bat avec ma Banque la deuxième honte de ce monde.
Elle a Bloqué mon compte depuis début août ,alors quelle reçoit toutes mes retraites,et vient de me retire 636,56 euros pour octobre et novembre.Je cherche un emploi pour les vacances scolaires,je peux en plus de garder des enfants,faire du ménage et du repassage.
Une française en colère comme des milliers d’autres;
« Quand Thierrry Wolton dissèque avec brio ce qu’a été, et est encore, le communisme »
Bonjour.
Sous cette forme votre article n’est pas d’une lecture confortable. Si vous avez le teste sous Word, pourriez-vous le publier sous la forme habituelle utilisée par IREF?
Par avance merci.
Bien cordialement
AD
« Quand Thierrry Wolton dissèque avec brio ce qu’a été, et est encore, le communisme »
et oui même qu’Abraham LINCOLN avait déjà explique que la course a la richesse et la pauvrete n’amenais pas le bonheur
un réel ‘il y a toujours un plus malheureux que nous !!! et par la faute d’un bipède hélas