L’IREF répond à Michael Jacobs, qui a attaqué une étude que notre Institut avait consacrée aux effets dévastateurs des emplois verts. Cette attaque ne repose sur aucune donnée, elle est purement idéologique. Les vrais emplois verts créés sont ceux des personnes et des instituts qui vivent de l’argent public au prétexte de défendre la planète.
Écologie
L’Académie Nationale des Sciences (Etats-Unis) vient de révéler que le nombre d’incendies de forêt dans le monde a baissé de 15 % depuis 1950. La célèbre revue Nature vient de…
Economie verte : méfions-nous des marchands de doute
L’IREF est cité dans cet article sur les emplois verts. Lire l’article .
Après la grande messe sur le climat qui s’est tenue à Doha, quelques informations qui nous parviennent au compte-gouttes semblent expliquer les raisons de l’échec. Au sein même du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), des experts commencent à douter de la réalité du réchauffement climatique.
L’article de Nicolas Lecaussin sur les emplois verts publié par Les Echos est cité par l’économiste David Thesmar (HEC) dans l’émission L’Economie en question sur France Culture (15 décembre). Ecoutez…
L’article de l’IREF sur les emplois qui pourraient être créés par l’exploitation du gaz de schiste en France est cité par le quotidien 20 Minutes (28 novembre). Lire l’article .
Sauver la planète et réduire le chômage : quelle performance ! Le gouvernement annonce la création de 100.000 emplois verts. Mais un emploi vert a pour particularité de supprimer plusieurs emplois réels. L’échec des emplois verts a été calculé dans tous les pays qui les ont essayés. L’IREF a montré qu’un emploi vert en France peut coûter jusqu’à 400 000 euros, presque 8 fois plus qu’un emploi dans le privé.
L’emploi vert est un mythe destructeur de vrais emplois
L’article de Nicolas Lecaussin, Directeur du développement, est publié par le quotiden Les Echos dans son édition du 11 décembre. Vous pouvez lire l’article en ligne sur le site des…
Les réserves pétrolières ne cessent d’augmenter et le poids de l’OPEP dans les exportations mondiales est désormais minoritaire. Le prix des énergies fossiles baisse, tandis que les nouvelles énergies sont plus chères d’environ 60 %. Synthèse par Nicolas Lecaussin d’une étude réalisée par Hildegarde de Liechtenstein et publiée dans « EU Energy Policy », un ouvrage collectif publié par l’IREF.
Le Parlement européen à contre-courant des décisions politiques en France, ou bien est-ce le contraire ? Avec 492 voix en faveur de l’exploitation des gaz et huile de schiste (129 contre et 13 abstentions), le Comité énergie avalise le droit des pays membres d’exploiter ou non ces ressources fossiles dites non conventionnelles. En Pologne, on reçoit cette nouvelle avec enthousiasme car le gouvernement souhaite y produire en masse du gaz pour se détacher de la dépendance russe dans ce secteur.