On a retrouvé l’énarque Emmanuel Macron. Son pompeux discours sur l’Europe ressemble parfaitement à un exposé oral lors d’un examen à l’Ecole nationale d’administration. On trouve tous les ingrédients: interventionnisme, protectionnisme, dirigisme, harmonisation et taxation.
Démocratie
La possibilité pour les régions de se séparer d’un Etat ne devrait pas être considérée comme une menace, mais au contraire comme une opportunité. Cela contraint les gouvernements centraux à mettre en place des politiques efficaces.
Un Décret passé en douce début août instaure une nouvelle forme de censure verbale au nom de la lutte contre l’homophobie et le racisme. Jusqu’où va aller la police de la pensée ?
L’amputation du budget de la Défense souligne l’hésitation du pouvoir sur ses priorités. Probablement parce que sa position au regard du périmètre de l’Etat demeure incertaine. Certes le discours exprime la vision d’un Etat fort et d’une libération des initiatives. Mais la question reste de savoir si la nouvelle majorité est, ou non, disposée à revenir sur le modèle de l’Etat-providence qui pèse sur les charges des entreprises, sur le pouvoir d’achat des ménages et plus généralement sur la dynamique de tout un peuple.
L’IREF est fermement attaché à la propriété, non pas pour défendre les riches, mais parce que la propriété est le prolongement de la personne ou peut-être plutôt son rempart et l’assise de ses libertés et de son humanité.
Mais pourquoi les candidats à la présidentielle n‘ont-ils pas lu cet essai ? Ils auraient compris – la plupart d’entre eux – que le pire ennemi de la société française est bien l’Etat et non pas le libéralisme, le libre-échange ou la mondialisation. L’Etat français est obèse et impotent à la fois. Les politiques l’utilisent à volonté en le sacralisant : point de salut en dehors de l’Etat ! Il est la réponse à tous les problèmes. Le pire c’est qu’on a vraiment habitué les Français à faire appel à lui. Au niveau local, tout candidat – et l’auteur en sait quelque chose – est assailli de demandes personnelles.
L’association Citoyens de Franche-Comté écrit à nouveau au Parquet financier qui jusqu’alors n’a pas daigné répondre au sujet de la déclaration de patrimoine et d’intérêts signée le 24/10/14 par M. Emmanuel Macron. (voir fichier PDF en fin d’article)
L’Etude de l’IREF sur les fondations est présentée (31 mars) dans le quotidien Les Echos .
2 320 fondations en France contre 87 000 aux Etats-Unis
Il y a 37 fois plus de fondations aux Etats-Unis qu’en France ! C’est ce qui ressort de l’Etude que vient de publier l’IREF. Fin 2016, la France comptait 2…
Faciliter la création des fondations pour dynamiser la société civile
Trop faiblement financées et trop peu nombreuses, les fondations ne peuvent assurer l’ensemble des missions d’intérêt général que leurs homologues parviennent à remplir à l’étranger. Les raisons de ce sous financement sont simples : la lourdeur bureaucratique et fiscale française, des règles de création trop drastiques, un statut trop compliqué à obtenir et une administration trop intrusive font de la France le parent pauvre du mécénat. L’IREF propose la création libre de fondations en France.