Institut de Recherches Economiques et Fiscales

Faire un don

Nos ressources proviennent uniquement des dons privés !

anglais
Accueil » La Première ministre danoise aborde le problème de l’impact négatif de l’immigration sur les classes populaires

La Première ministre danoise aborde le problème de l’impact négatif de l’immigration sur les classes populaires

par
276 vues

Les Danois ont été appelés aux urnes pour renouveler leur parlement, le Folketing, et par la même occasion, maintenir ou non leur confiance au chef de gouvernement Mette Frederiksen, issu des rangs du parti social-démocrate, à la gauche de l’échiquier politique.

Tout avait commencé par une sombre affaire de visons : durant la crise sanitaire, la Première ministre avait ordonné, à titre préventif, l’abattage de seize millions de bêtes, c’est-à-dire l’ensemble du cheptel du pays. L’opposition avait alors formé une commission d’enquête faisant apparaître de graves manquements au sommet de l’Etat puis avait menacé l’Exécutif d’une motion de censure, le forçant à avancer les élections initialement prévues en juin prochain.

La question migratoire a occupé la majeure partie des débats. Elle est devenue centrale dans ce pays d’Europe du nord où même la gauche semble avoir pris conscience de l’ampleur du danger, menant la Première ministre, candidate à sa succession, à déclarer que « ce sont les classes populaires qui payent le prix de l’immigration de masse ! ».

Depuis les années 80, date à laquelle le pays comptait 3 % d’immigrés (soit 153 000 personnes, en majorité des Européens), l’immigration à littéralement explosé pour atteindre 13,9 % en 2020 dont les deux tiers ne sont pas des Occidentaux. De même, entre 2007 et 2019, la part des naissances d’origine immigrée grimpe de 13,5 à 21,9 %, 42 % des mères étant asiatiques (turques pour être précis).

Rien qu’à Copenhague, 15,9 % de la population n’est pas d’origine occidentale, un chiffre qui monte à 34,4 % dans la ville d’Ishøj.

Combien de Malmö faudra-il pour que les gouvernants d’Europe du nord, pendant qu’il en est encore temps, prennent les mesures nécessaires pour contenir les flux migratoires ?

Abonnez-vous à la Lettre des libertés !

Vous pouvez aussi aimer

Laissez un commentaire

4 commentaires

Obeguyx 2 novembre 2022 - 7:25

Ca durera autant de temps que les pays de l’UE seront les vassaux de la commission européenne. C’est tout simple.

Répondre
Astérix 2 novembre 2022 - 8:24

Je le répète, sortons de cette europe imbécile, de l’euro et retrouvons notre souveraineté.
La commission européenne n’a pas à s’occuper des affaires de la France, avec Madame Van der la hyène à sa tête.
Mais Bon dieu, l’on préfère la faillite ???

Répondre
Daniel 1945 2 novembre 2022 - 8:28

Les pauvres hôteliers et restaurateurs ont besoins de migrants, le nom de traiteur prend là toute sa valeur.

Répondre
Dudufe 2 novembre 2022 - 11:28

Tout a fait d’accord avec OBEGUYX et ASTERIX .Depuis le début je suis contre l’UE ! J’ai déjà signalé dans ces colonnes que cette chère (trop chère) UE avait donné à la Turquie 6 milliards d’euros comme aide de pré-adhésion afin que cette dernière entre dans l’UE !!!

Répondre