La doxa du GIEC soutient que le réchauffement de la planète est dû à l’homme. Celui-ci émet trop de CO2 qui génère ce réchauffement dont ils craignent que le monde se meure. Pour y faire face, ils veulent imposer la décroissance, le contrôle de l’Etat sur toutes nos activités… Une forme de nouveau collectivisme entraînant la paupérisation inexorable de la société.
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Référendum sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie : plus de questions que de réponses
La chaleur des mois d’été, des quais noirs de monde, des enfants, des vieillards, des familles transportant leurs maigres biens dans des valises, des soldats perdus, des illusions envolées et ce sentiment de déclin qui comme un coucher de soleil étreint le cœur de n’importe quel patriote…
En juin 1962, l’Algérie française avait vécu et avec elle cette immense impression de grandeur et d’universel qui l’accompagnait. On ne vit pas sur des souvenirs mais les souvenirs peuvent refaire surface.
Le 12 décembre, se tiendra le dernier des trois référendums sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie, les deux premiers ayant vu la victoire de l’option du maintien de l’île au sein de la France à 56,7 et 53,3% en 2018 et en 2020.
À la fin du mois de mai dernier, un document confidentiel dépeignant l’état des réflexions du Gouvernement sur les conséquences de l’indépendance, appelé « Discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie. Les conséquences du oui et du non », a fuité.
Force est de constater que celui-ci soulève plus de questions que de réponses, mais laisse un sentiment de crainte quant à la possibilité d’abandon de l’île par la métropole.
Le G7, qui a réuni le 4 juin l’Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l’Italie, le Royaume-Uni et le Japon, a été le premier depuis 2019 et donc depuis l’élection de Joe Biden. Les chefs d’Etat ont voulu afficher leur unité, parfois même en exagérant quelque peu. Tout au long du sommet basé cette année à Cornwall, au Royaume-Uni, ils ont beaucoup communiqué à ce propos. Devant les caméras, Emmanuel Macron et Joe Biden ont paru très proches.
La question de l’Irlande du Nord et de son traitement par le Royaume-Uni à la suite du Brexit a un peu entaché la belle image. Emmanuel Macron et Boris Johnson se sont opposés brièvement sur ce sujet mais ont au final préféré souligner leurs points d’accord.
Le dernier prix Goncourt a été accordé au roman L’Anomalie. On sait bien, évidemment, que Jean-Luc Mélenchon n’en est pas le héros. Mais le titre lui sied parfaitement. Ce personnage apparemment désarticulé qui s’agite dans le paysage politique français, secoué de colères frénétiques et de rages baveuses, paraît trop déglingué pour être vrai. Cependant, ses harangues dictatoriales, ses diatribes contre les riches, le capitalisme, la mondialisation, les institutions de la Ve République, atteignent quelques cibles. Et comme le Goncourt, il vend. Les médias sont sensibles à ce genre de charme et des Français – surtout des jeunes – votent pour lui. Il a obtenu presque 20 % des voix aux élections présidentielles de 2017 et dans certaines régions il a été très proche de 25 %.
Le lobbying a mauvaise presse, la profession fait l’objet de clichés tenaces, souvent infondés. Les lobbyistes seraient les bras armés des multinationales, lesquelles influenceraient les décisions politiques contre l’intérêt commun… Au demeurant, la notion de « lobbying » reste assez floue. Les lobbyistes effectuent des missions diverses, du simple rendez-vous avec un élu, à la rédaction d’amendements, en passant par l’envoi de cadeaux. Ils travaillent pour des acteurs très différents : publics, privés, associatifs ou syndicaux. Ils agissent pour défendre leurs intérêts, de manière plus ou moins critiquable.
Une annonce aguichante: un euro de cotisation ouvre strictement le même droit à pension pour tous. Une réforme systémique qui impose la généralisation du calcul par points, un régime unifié à terme avec la fin des injustices comme celle des régimes spéciaux. Bref un beau coup de com’ même si, pour que la justice soit vraiment « juste», il aurait fallu aligner le calcul des droits à pension sur les seules cotisations salariales relativement homogènes tous secteurs confondus, alors que les cotisations patronales de natures intrinsèquement différentes sont rigoureusement incomparables entre le secteur public et le secteur privé.
En octobre 2020, le journal de l’Île-de-la-Réunion révèle que Dhoihir Dhoulkamal, nommé ministre des Affaires étrangères de l’Union des Comores, a réussi à se faire passer pour un ressortissant français d’origine mahoraise sans revenu et de ce fait éligible aux dispositifs RSA et CMU.
Un événement qui ravive notamment le débat sur l’aide médicale d’État (AME), qui agite la société française depuis plus de dix ans. Débat houleux souvent mais qui se limite aux plateaux de télévision. En réalité, rien ou presque n’a été mis en œuvre pour endiguer son impact faramineux sur les finances publiques, alimenté par l’effet de pompe aspirante pour l’immigration.
Joe Biden ouvre la porte au revenu universel : les effets sur l’emploi sont désastreux
Le marché du travail américain enregistre un mauvais résultat en mai, avec certes 559 000 emplois créés, mais… 1.5 million de travailleurs en moins. L’économie américaine est en plein boom, mais un chèque de 300 $ par semaine est venu changer la donne.
Faut-il fusionner l’Allocation spécifique de solidarité (ASS) et le Revenu de solidarité active (RSA) ?
En juin 2018, le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno le Maire, avait déclaré sur Europe 1 qu’il serait “légitime de réduire la politique sociale sur l’emploi”. Une parole qui en avait effarouché plus d’un dans la mesure où elle évoquait l’hypothèse d’une extinction de l’aide destinée aux chômeurs ayant épuisé leurs droits, l’allocation de solidarité spécifique (ASS).
La suppression de l’ASS avait déjà été envisagée en 2014 dans un rapport de l’IGF et de l’IGAS (Inspection générale des affaires sociales), mais la ministre du Travail de l’époque, Myriam El Khomri, s’y était opposée. La crise sanitaire ayant bloqué toute les réformes, rien n’avait plus bougé. Le débat pourrait toutefois ressortir à la faveur des élections présidentielles de l’année prochaine.
Il s’agit d’une réforme improbable qui risque de ne pas rapporter grand-chose et de tout compliquer. Les entreprises ajouteront des formalités sans fin à celles qu’elles subissent déjà et paieront des impôts supplémentaires qui pèseront sur leurs investissements et sur les salaires.