Hier lundi, les premiers témoins des attentats terroristes du 13 novembre se sont succédé à la barre. Interrogée la semaine dernière au micro de France info sur les attentats, Valérie…
islamisme
Depuis le 11 septembre 2001, des erreurs ont été faites mais il y a eu aussi des succès
A voir et lire les commentaires à l’occasion des 20 ans depuis les attentats du 11 septembre 2001, on a l’impression que toutes ces années ont été une succession d’événements…
Le deuil et les messages de sympathie et de solidarité ont duré quelques jours. « Nous sommes tous Américains » s’intitulait l’éditorial du Monde publié le lendemain des attentats. Puis,…
Les talibans sur lesquels compte Biden nomment un terroriste comme ministre de l’Intérieur
Après le piteux retrait d’Afghanistan, le président Biden a affirmé vouloir « travailler » avec les talibans. « Ce ne sont pas les mêmes », a-t-il soutenu devant les médias.…
Sandrine Rousseau : « S’il y a des potentiels terroristes afghans, les avoir en France nous permet de les surveiller »
Sandrine Rousseau souhaite que la France accueille des migrants afghans, et en particulier des potentiels terroristes ! En effet, la candidate à la primaire écologiste a proposé cette semaine sur…
L’alliance entre la gauche et l’islam, nommée islamo-gauchisme, est fondée sur un certain cynisme : avec la disparition progressive du prolétariat, les gauchistes se sont retrouvés sans victimes, ce qui les empêchait de se montrer en héros. De plus, dans les années 1980, mai 68 commençait à montrer ses limites, et l’URSS s’écroulait. La seule idéologie qui résistait encore aux Etats-Unis était l’islamisme. Il fallait à la gauche un allié, ce fut l’islamisme, et des victimes à défendre, ce furent les musulmans. L’ennemi de mon ennemi est mon ami.
« J’espère que le jury rendra un verdict juste », a déclaré le président Biden lors du procès Derek Chauvin, le policier accusé du meurtre de George Floyd. Il a…
Les mots d’Emmanuel Macron, qui redoutait des « flux migratoires irréguliers importants » suite à la prise de Kaboul par les talibans, ont fait couler beaucoup d’encre. Certains considèrent que…
Le retrait honteux d’Afghanistan : la débâcle de Biden et le feu vert donné aux terroristes
Dans sa déclaration de samedi 14 août, le président Joe Biden a affirmé avoir agi de la sorte en Afghanistan car son prédécesseur, M. Trump, avait conclu un accord avec…
Depuis le début des années 1980, de nombreux intellectuels du monde musulman ont dû se réfugier en Occident, contraints de fuir leurs pays respectifs où leur liberté mais aussi leur vie étaient menacées soit par le pouvoir d’État, soit par des groupes religieux ou des masses de croyants fanatisées. Les noms des premiers venus sont bien connus : Salman Ruhsdie, Taslima Nasreen, Ayaan Hirsi Ali, Chandortt Djavaan, Waleed Al Husseini. Puis d’autres ont suivi jusqu’à nos jours, moins placés sous les projecteurs de l’actualité mais qui ont pris avec éclat la relève — on trouvera leurs noms dans une note bibliographique à la fin du texte. Leurs crimes à tous ? Avoir tout simplement voulu vivre en libres individus dans leurs pays d’origine, en disposant d’eux-mêmes sans autorisation des autorités et groupes religieux, en bénéficiant de la liberté de conscience et de celle, pour les femmes, d’être les égales des hommes pour se vêtir et exercer leur sexualité. Et pire : d’avoir osé non seulement le faire mais le dire, de publiquement protester quand ces exigences élémentaires leur étaient refusées. Autant de manières censées offenser la religion — impardonnable en terre d’islam, et y méritant forcément la relégation carcérale et, souvent, la mise à mort.