Cette année, Qwant a frôlé la faillite. La start-up n’avait pas les fonds nécessaires au remboursement de deux prêts auprès de la Banque européenne d’investissement (BEI) pour janvier et juin…
Il y a quelques jours, Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) a annoncé 11 000 suppressions de postes. Cette semaine, selon les médias américains , c’est au tour d’Amazon de se séparer de…
Pour taxer, les politiques français dégainent très vite. Pour rappeler un succès qui a créé de nombreux emplois et apporté des milliards d’investissements, ils sont beaucoup plus lents, voire totalement…
Un ingénieur de Google prétendait que son intelligence artificielle était consciente
La révolution des mœurs et des esprits n’a visiblement pas encore atteint son paroxysme dans l’absurde, la déconstruction complète des notions collectives, la « crise des régulations traditionnelles » décrite par Michel…
Les sociétés américaines Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft sont désormais les cibles à abattre. Certains les comparent aux firmes géantes et monopolistiques américaines de la fin du 19ème siècle…
Pour beaucoup de commentateurs, de journalistes et de responsables politiques, Google et Amazon sont des dangers pour l’économie française, et non des opportunités. Leur puissance et leur position dominante sont décriées. Bruno Le Maire n’a jamais cessé de dire que son principal objectif a toujours été une taxe mondiale appliquée aux GAFA. Valérie Pécresse propose d’ailleurs le démantèlement d’Amazon et Google, les comparant aux gigantesques trusts américains du XXe siècle. En réalité, ce qui est reproché à ces deux GAFAM, c’est leur réussite ; et ils ont réussi parce que les consommateurs les ont utilisés en masse. Pourquoi ? Parce qu’ils rendent des services inégalables à tout le monde, aux particuliers comme aux entreprises. S’attaquer aux GAFAM pénaliserait toute l’économie.
Bruxelles veut imposer la concurrence, mais est prête à la supprimer si cela peut ennuyer les GAFA. La Commission européenne a en effet préparé un projet de directive pour obliger…
Droits voisins : le Sénat se mêle de ce qui ne le regarde pas
De grandes et âpres négociations ont eu lieu au niveau européen entre les différents groupes de presse, les moteurs de recherche et les réseaux sociaux. La presse réclamait en effet…
Google et les droits voisins, nouvel épisode de la guerre déclarée par la presse au célèbre moteur de recherche. Mais aussi, Reworld Media attaqué pour sa reprise de la filiale française de Mondadori, ce qui a provoqué une fuite de nombreux journalistes de Mondadori, 60 % peut-on lire. Deux événements qui se télescopent, symboles des mutations des médias sous l’effet d’internet.
Le 3 novembre Kent Walker, vice-président de Google, répondait aux accusations de pratiques anticoncurrentielles émises par la Commission européenne à l’encontre du géant de Mountain View. Depuis 2010, le serpent de mer de la politique antitrust européenne à l’égard de Google resurgit régulièrement. La commission reproche notamment à Google de favoriser son propre comparateur de prix, Google Shopping, ce qui constituerait une forme d’abus de position dominante. Après Intel ou Microsoft, les accusations « anti-trust » se suivent et se ressemblent évidemment un peu. Une meilleure compréhension du phénomène concurrentiel devrait pourtant rendre les autorités plus humbles en matière de volonté de « régulation » de la concurrence, et de ce point de vue la réponse de Google à la commission est assez fondée.