C’est un rapport choc sur l’immigration que vient de publier le Conseil d’analyse économique (CAE). Selon l’organisme, l’immigration en France est trop familiale, trop peu qualifiée et trop peu diversifiée.…
Formation professionnelle, apprentissage
Les entreprises attendent des étudiants plus professionnels
A la demande de la Conférence des présidents d’université, 500 chefs d’entreprise ont donné leur vision de l’université. Si 85% d’entre eux en ont une bonne image, ils considèrent majoritairement…
L’INSEE a annoncé vendredi dernier un taux de chômage de 8,1%. Le taux d’emploi a augmenté depuis la fin du dernier confinement pour revenir au niveau de l’avant Covid. Les…
Pour ne plus subir la médiocrité de l’enseignement français, des entreprises créent leur propre école
Quel est le point commun entre Auchan, Carrefour, Atol ou l’ADMR (Aide à domicile en milieu rural) ? Face à la pénurie de candidats spécialisés dans leur domaine (boucherie, commerce,…
Plutôt que d’assister la jeunesse, il faut la responsabiliser et la libérer
A l’approche des élections régionales et présidentielles, de nombreuses propositions sont formulées par des candidats et des think-tanks afin de venir en aide à une jeunesse durement touchée par les restrictions liées à la pandémie de COVID-19. Toutes ne sont que des distributions d’aides publiques ou des « cadeaux gratuits ». On attendrait plutôt qu’un responsable politique adresse deux mots d’ordre à la jeunesse : liberté et responsabilité. C’est ce que propose l’IREF.
Tout le monde se souvient de la phrase adressée par Emmanuel Macron le 16 septembre 2018 à un chômeur qui l’interpellait : « je traverse la rue, je vous en trouve » du travail.
Pour la nième fois depuis 1971, la formation professionnelle va donc être réformée. Muriel Pénicaud, ministre du travail, annonce un « big bang ». Est-ce vraiment le cas ? Derrière les grands mots ne se cache-t-il pas plutôt, une fois de plus, une politique des petits pas ?
Le chômage a baissé mais il reste au moins deux fois plus élevé qu’en Allemagne. Sans réformer sérieusement le marché du travail, les vraies créations d’emploi ne seront pas au rendez-vous.
Comment faire baisser le taux de chômage des jeunes ?
Le taux de chômage est reparti en légère hausse au 3e trimestre à 10%. Les jeunes sont les principales victimes de cette hausse. Le taux des 15-24 ans grimpe à 25,1% (+1,2 point) et se rapproche de son record enregistré fin 2012 (25,4%).
Selon l’INSEE, le chômage a reculé au deuxième trimestre pour s’établir à 9,6% de la population active selon les critères du BIT. En trois mois, ce sont 74 000 personnes de moins. Cette baisse n’est malheureusement qu’un trompe l’œil. Elle est sans doute essentiellement due au plan des 500 000 formations qui aurait déjà permis de prendre en charge plusieurs dizaines de milliers de chômeurs transférés à cette occasion de catégorie A en catégorie D. Or ce sont les chômeurs de catégorie A qui font la Une, ce sont ceux dont la courbe doit être inversée pour que le Président de la République pense avoir réussi son pari.