Pour Lénine, tous les moyens sont bons pour que la critique du capitalisme et l’avènement du communisme, tels que proposés par Marx, soient suivis d’effet. Au prix de la terreur et la violence, il faut se débarrasser des classes qui « exploitent le peuple » et instaurer la dictature du prolétariat. Il faut, d’abord, faire table rase du passé et planifier la nouvelle « société socialiste multilatéralement développée ». Ce que veut Lénine en 1917, c’est un nouveau monde qui serait, forcément, le « paradis sur terre » pour le peuple. Ces belles promesses ont entraîné des événements parmi les plus tragiques de l’Histoire et, pourtant elles font toujours rêver. C’est le cas, entre autres, de l’ancien ministre Nicolas Hulot qui, depuis qu’il a quitté ses fonctions, semble avoir passé la plus grande partie de son temps à potasser les classiques du totalitarisme.
Écologie
Le jeudi 10 janvier 2019 à 21h[[Article de La Croix relatant l’évènement, parmi tant d’autres]], le système électrique européen a frôlé la catastrophe. Le surplus de demande face à l’offre a entraîné une baisse de la fréquence du réseau, qui doit rester fixe à 50 Hz au risque d’engendrer détériorations, voire le black-out.
Le ministère de la Transition écologique et solidaire a trouvé la solution pour payer les dépenses énergétiques des particuliers : l’impôt privé. Si vous avez encore un téléphone fixe, vous avez dû être inondé de coups de fil de ce ministère pour vous proposer de rénover vos combles ou isoler votre maison pour 1€. C’est vraiment possible vous disent-ils, avec l’argent des entreprises.
Le « bio » a conquis l’assiette de nombreux Français et témoigne de préoccupations alimentaires légitimes de la population. Dans ce nouveau rapport, l’IREF analyse les prétendues vertus de cette consommation et montre, littérature scientifique à l’appui, que l’agriculture dite « biologique » ne tient pas ses promesses. L’IREF propose d’abandonner l’interventionnisme massif et coûteux de l’État en faveur de cette pratique pour permettre le libre choix alimentaire des consommateurs.
Dix mesures d’urgence face à l’effondrement de la compétitivité agricole française
Vins, fromages, céréales … Les piliers de la gastronomie française n’arrivent plus à conquérir le monde. Une situation alarmante, mais pas condamnée, à condition de libérer l’agriculture du joug administratif.
La folie écologique n’a pas de limites. Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Brune Poirson estime qu’il faudrait mobiliser 55 à 85 milliards d’euros par an en France pour lutter contre le réchauffement climatique, soit environ le produit de l’impôt sur le revenu (plus de 70Md€ en 2018). « Or, en 2018, constate-t-elle dans Le Monde du 20 février, on en a investi 41 milliards, venant des particuliers, des entreprises, des collectivités, de l’Etat ». Une semaine auparavant, dans une tribune publiée dans Le Figaro du 13 février, 86 députés entrainés par un ex-LREM ont réclamé le retour d’une « fiscalité carbone juste socialement ».
Normalement, l’écologie est une science qui étudie les êtres vivants dans leur milieu en tenant compte de leurs interactions. Elle fait partie intégrante de la discipline plus vaste qu’est la science de l’environnement (ou science environnementale). L’écologie est devenue aujourd’hui une arme idéologique aux mains des politiques et de nombreux « acteurs » qui profitent de l’argent public. Elle fonctionne comme une idéologie totalitaire en voulant imposer à tous, au nom de grands idéaux, une certaine façon de vivre et de se comporter.
En septembre 2016, nous avions remarqué qu’il y avait, aux yeux du gouvernement d’alors, de mauvaises fermetures d’usines et des bonnes. C’était à l’occasion de la fermeture de l’usine Alstom de Belfort et de la centrale nucléaire de Fessenheim. Le gouvernement a changé depuis lors, mais l’histoire se répète.
En septembre 2012, un biologiste français qui confondait sciences et idéologie avait défrayé la chronique en publiant dans la revue Food and Chemical Toxicology, une étude censée démontrer la nocivité pour les rats de la consommation de maïs transgénique pourvu de résistance au glyphosate ( dont le Roundup). Des photos de rongeurs déformés par les tumeurs accompagnaient l’étude pour ébranler les sensibilités.
Glyphosate : un coupable idéal pour la malhonnêteté journalistique d’Élise Lucet
Un cas d’école d’obscurantisme journalistique. C’est ce que l’on pourra retenir de l’émission Envoyé Spécial de jeudi soir sur le glyphosate. Durant les deux heures du reportage, Élise Lucet aura…