Représentant uniquement 4 % de la production au Brésil, et principalement destiné à l’exportation vers l’Europe, le soja non-OGM n’est plus rentable pour les producteurs locaux, car son rendement est…
Brésil
Epidémie et vaccination dans l’urgence : l’exemple de la méningite brésilienne de 1974
Il y a 47 ans, 90 millions de Brésiliens étaient vaccinés en 6 mois contre une maladie mortelle : la méningite. Entre courage scientifique et épopée humanitaire, l’IREF revient sur l’une des plus vastes campagnes de vaccination du 20e siècle.
Le 20 septembre 2019, le président Bolsonaro signe la loi 13874 sur la liberté économique visant à établir des garanties pour le marché libre au Brésil. Quoi que l’on pense du dirigeant brésilien, cette mesure envoie un signal positif pour la plus grande économie d’Amérique du Sud, d’autant plus qu’elle est cosignée par le ministre de l’économie Paulo Guedes, un libéral convaincu et par le ministre de la santé Luiz Henrique Mandetta membre du parti DEM, un parti libéral de centre droit. La situation économique du pays qui est gangrené par la corruption est préoccupante et nécessitait une réforme.
Dans certains pays, les privilèges des retraites du public n’existent plus ; dans d’autres, elles sont en train de disparaître. Le Brésil en fait partie. Arrivé au pouvoir en octobre dernier, Jaïr Bolsonaro, que la presse bien-pensante considère ni plus ni moins comme un dictateur, a lancé une série de réformes économiques et fiscales de grande envergure grâce surtout aux conseils de Paulo GUEDES, un économiste reconnu, ancien de Chicago, fondateur de l’Instituto MILLENIUM, think tank libéral d’inspiration « autrichienne ».
Le Brésil de Bolsonaro deviendrait-il libéral ?
Madame, Monsieur, chers amis libéraux,
Les Brésiliens ont récemment élu un nouveau président : Jair Bolsonaro. Ancien militaire et volontiers provocateur, il est classé par ses adversaires à l’extrême-droite de l’échiquier politique brésilien.
Brésil : le candidat Bolsonaro a compris qu’après la corruption et l’échec socialiste, c’est l’heure des réformes !
Les « progressistes » ont été choqués par le score du candidat Jair Bolsonaro aux élections présidentielles qui ont eu lieu aux Brésil. Avec 46 % des voix, il a failli être élu au premier tour ! Immédiatement, on a crié au loup en soutenant qu’il ‘agit d’un candidat d’extrême droite. On en est loin, surtout sur le plan économique car il est un adepte de la libéralisation, des privatisations – y compris de la grande société nationale Petrobras – et de l’ouverture à la concurrence.
Il veut combattre efficacement la corruption mais il n’a jamais dit qu’il allait changer la Constitution qui est très claire concernant les limites de l’intervention des militaires. C’est un libéral-conservateur qui a attiré les votes de toute une population lassée des échecs du socialisme et de la corruption des politiques, comme nous l’explique très bien Paul Beaumartin, investisseur français depuis de longues années au Brésil.