Une fois de plus, la vraie science non-lyssenkiste donne tort aux écologistes. Les « bassines », ces retenues d’eau permettant aux agriculteurs de posséder des réserves pour l’été, sont au cœur d’une polémique depuis plusieurs mois, polémique initiée par les associations écologistes. Selon le lobby écolo, ces « bassines » priveraient les nappes phréatiques et les cours d’eau de réserves importantes. Une étude menée dans les Deux-Sèvres démontre le contraire.
En effet, le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) a modélisé l’impact du projet de « bassines » destinées à l’irrigation agricole sur le bassin de la Sèvre niortaise-Marais poitevin. Son rapport a été rendu public le vendredi 7 juillet dernier, et les conclusions sont sans appel.
Ainsi, selon cette étude, « les prélèvements hivernaux pour le remplissage des réserves de substitution auraient un impact négligeable sur les nappes souterraines et les débits des cours d’eau. Le projet permettrait même une amélioration globale du niveau des nappes en printemps-été, la profondeur de la surface de la nappe pouvant augmenter de plusieurs mètres dans les zones où d’importants prélèvements estivaux sont substitués ».
En ce qui concerne les cours d’eau, les résultats de la simulation du BRGM montrent un effet positif en printemps-été, de 6% de débit supplémentaire en sortie du bassin pour le mois de juillet. Selon Léna Abasq, hydrogéologue spécialisée en modélisation, « pour des cours d’eau comme le Mignon [la rivière locale], une augmentation de débit de l’ordre de 40% pourrait être atteinte par rapport au débit observé entre 2000 et 2011 ».
Ainsi, l’argumentaire écologiste ne tient plus. L’État doit ainsi laisser la liberté de construction pour tout projet de « bassine », et réprimer les exactions écologistes qui saccagent ces installations. Car, en plus d’être illégales, ces dégradations sont dénuées de sens.
5 commentaires
Ben OUI, ce qui n’empêche pas la grande majorité des collectivités locales de construire dans les zones humide ou inondables pour accuser ensuite la population .
On connait ce phénomènes depuis des siècles !!! Par contre on ne se méfie pas assez du phénomène écologiste qui est l’idéologie la plus dévastatrice de la planète après le socialisme. Mais continuez à voter pour eux …
et , oui , les mares ,les marais, les marécages gorgé d’eau en hiver naturellement ou avec l’aide des vannages
remplissent les nappes,mais maintenant on lève les vannages l’hiver pour que le poisson se ballade et remonte les rivières, en oubliant d’inonder les zones marécageuses qui l’été remplit à son tour les rivières et les nappes. nos vieux cons de paysans et de ruraux connaissaient cela et faisait même des barrages en pierre dès la fin de l’automne pur recharger les sols et les nappes!!! je connais un endroit ou l’été quand on fermait un vannage pour irriguer
provoquait l’écoulement d’une source 1.5 km plus loin !! C’est les irriguants d’eure et loir qui ont montrer comment
fonctionnait la très grande nappe de Beauce, qui va d’Orléans Chartes Pithiviers et un bout en Seine et marne
à nos grands géologues du ministère de l’agriculture??????sans aucune connaissance de comment circule l’eau!!
Il n’y a vraiment qu’en France les élécubrations débiles de la clique d’imbéciles et d’incultes prétentieux, ne connaisssant que la violence et vocifération comme moyen d’expression, bêtes et méchants, sont prises en considération par nos politiques (aussi incultes pour la plupart d’ailleurs) plutôt que les avis techniques et scientifiques d’une structure comme le BRGM hautement respecté dans le monde entier…c’est vraiment pitoyable!
Comment circule l’eau ? Mais ils ne savent pas reconnaître un champ d’une pâture et à l’allure où ça va bientôt d’une forêt. Tout ça s’appelle : « le nivellement par le bas », mis en place par un autre « inspecteur des impôts » un dénommé Giscard. Alors avec le nouvel « inspecteur des impôts » fraîchement réélu aux manettes, vous pensez bien que ça ne va pas s’arranger. La preuve il a viré Blanquer, le seul ministre qui a osé rectifier un tout petit peu le tir de l’enseignement public et qui entrebaillait une fenêtre d’espoir pour tous nos enfants. Donc le niveau va donc continuer de baisser et pas seulement celui des nappes phréatiques.