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Le réchauffement climatique n’est pas provoqué par l’homme

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Ce sont les conclusions du dernier Rapport du NIPCC (Nongovernmental International Panel on Climate Change), une organisation mondiale qui regroupe plus d’une trentaine de scientifiques. Sur plus de 1 000 pages, on démontre que les changements climatiques n’ont strictement rien à voir avec les activités humaines et que celles-ci ont même stimulé la pousse de la végétation sur notre planète. Pour ces scientifiques, le climat change de manière régulière, et c’est à l’homme à s’adapter.

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7 commentaires

kentucky 19 avril 2014 - 9:54

QUI CROIRE ???????
Je ne suis pas une scientifique qui peut avancer des thèses chiffrées.
Ainsi, sans pouvoir démontrer les raisons de mon choix mais uniquement parce que cela me convient, les conclusions de NIPCC me semblent tout à fait intéressantes.

Cependant quand je vois le voile gris qui plane sur Paris, quand je vois des cheminées cracher des flots de fumées douteuses , quand Airparif indique des niveaux de pollution importants et
quand j'imagine que cela est valable dans toutes les villes et mégapoles du monde, je ne peux
qu'imaginer notre couche d'air (qui ferait 30 km d'épaisseur ,une paille..)de plus en plus endommagée et donc pouvant induire une aide à un changement climatique naturel.

A suivre….

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Marie-Zoe 19 avril 2014 - 10:18

climat
Il faudrait diffuser cette bonne nouvelle dans tous les grands médias, mais peut-être n'en veulent-ils pas car cela tarirait la source de leurs subventions.

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Crespin 19 avril 2014 - 3:21

ils ont retrouvé la raison !!
Bonjour
En effet , je constate que certaines personnes sur cette planéte on gardé ( ou retrouvé ) la raison ! il est enfin reconnu par ces mêmes personnes que nous ne somme pour rien dans les bouleversements climatiques de notre belle terre !!

Si d'autres ( en espérant que eux n'aient par perdu definitivement la raison ) voulaient bien nous " lacher " avec leurs excuses bidon , cella permettrai d'annuler toutes les taxes misent en place sous ce FAUX pretexte du réchaufement climatique dû a l'homme

un GRAND merci a vous pour cette reconnaissance le l'innocence de l'homme au moins sur ce point de vue là !!!

bon We

Michel C

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Tardy 20 avril 2014 - 11:23

30 contre 2500
Permettez moi de rappeler ce qu'est et fait le GIEC.

Le GIEC a pour mandat d’évaluer, sans parti pris et de manière méthodique et objective, l’information scientifique, technique et socio-économique disponible en rapport avec la question du changement du climat.

Ces informations sont sélectionnées parmi les études effectuées par des organismes pluridisciplinaires internationaux et publiées dans des revues scientifiques.

Le GIEC travaille à dégager clairement les éléments qui relèvent d’un consensus de la communauté scientifique et à identifier les limites d’interprétation des résultats.

Les rapports ne doivent pas préconiser de choix de nature politique. La formule constamment rappelée à ce sujet est qu’il faut être « policy relevant, but not policy prescriptive ».

Idée reçue : Le GIEC est un organisme de recherche
FAUX. Le GIEC n’est pas un laboratoire ni une structure commanditant et finançant ses propres recherches. C’est un lieu d’expertise visant à synthétiser les travaux menés dans les laboratoires du monde entier.

Les rapports du GIEC sont basés sur des milliers d'études indépendantes car le GIEC n'a pas le budget pour financer des études. Son budget est de 5 millions € dont 200 000 € de participation de la France.

Les travaux du NIPCC ne doivent pas entrer dans le consensus scientifique car consensus ne signifie pas unanimité.

Qui peut penser qu'il est anodin de remettre dans l'atmosphère en 2 siècles le carbone que la nature a enfoui en 20000 siècles?

Idée reçue : Les décideurs interviennent dans tout le processus d’expertise
FAUX. Si l’originalité du GIEC est d’associer les politiques au processus d’élaboration des rapports d’évaluation, ceux-ci n’interviennent que lors de la phase finale : la rédaction du « résumé pour décideurs ». Ce texte est approuvé ligne par ligne par les représentants des gouvernements sous le contrôle des scientifiques, auteurs du texte initial. Ainsi, les politiques interviennent effectivement dans le processus de synthèse des rapports d’évaluation, mais pas dans le processus d’expertise scientifique qui consiste à rédiger le rapport extensif.

Qui peut penser que les gouvernements confronter aux problèmes de leur dette se tireraient une balle dans le pied en inventant des contraintes économiques environnementales?

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franck Trisolini 22 avril 2014 - 3:23

Au secours…
Vous cassez la poule aux oeufs d'or des "écolos" de tout poil, débils, alarmistes, opportunistes et avides de bonnes planques aux frais du contribuable. (voir un certain monsieur Vincent…) C'est tellement plus facile (et surtout JUTEUX pour beaucoup de gens…) de dire que c'est l'homme qui est responsable de tous les malheurs: cela rapporte!! Continuons dans l'imbécilité…

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jipebe29 4 mai 2014 - 1:05

Pourquoi les thèses du GIEC sont fausses…
Encore faudrait-il que les thèses du GIEC et les projections des modèles numériques, construits sur la base de ces thèses, soient crédibles. Or, elles ne le sont pas. Quelques exemples d'observations qui réfutent les hypothèses du GIEC:
1) la TMAG (température moyenne annuelle globale) est stable depuis 1997, malgré une augmentation continue du taux de CO2
2) la part anthropique du CO2 atmosphérique est d'environ de 5%
3) La durée de vie du CO2 est en moyenne de 5 ans
4) les niveaux océaniques montent de 1,7 mm/an (mesures au marégraphe de Brest), et aucune accélération n’a été mesurée
5) le hot spot prévu en zone tropicale n’a pas été détecté, donc il n’existe pas
6) le taux de vapeur d’eau atmosphérique diminue (alors que le GIEC avait prévu l’inverse-rétroaction positive- quand le CO2 augmente)
7) la banquise australe atteint des records de superficie
8) la somme des surfaces des 2 banquises, dont les variations sont en opposition de phase, est à peu près constante
9) les mesures des 3000 sondes océaniques ARGO montrent, entre la surface et 700 à 1000 m de profondeur) un très léger refroidissement des océans (au mieux aucun gain de chaleur)
10) le flux IR quittant la haute atmosphère est supérieur aux prévisions des modèles
11) la loi de Stefan-Bolzman ne s’applique pas aux gaz, qui ne sont pas des corps noirs, ni des corps gris
12) les gaz émissifs, plus froids que la surface terrestre, ne peuvent en aucun cas la réchauffer.
13) Ce sont les températures qui pilotent les variations du CO2, pas l’inverse
14) les projections des modèles numériques divergent de plus en plus des observations
15) Le projet CLOUD du CERN teste la théorie de Svensmark-Shaviv, et les premiers résultats ont été publiés dans Nature
16) Les modèles ne savent pas modéliser l’ennuagement, dont les variations ont un impact important sur la TMAG

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jipebe29 4 mai 2014 - 1:07

précisions
Pour plus de détails, voir: http://dropcanvas.com/#wJc9FpE34332em

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