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Aux Etats-Unis la présence d’athlètes transgenres dans des compétitions sportives universitaires pose question

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Une affaire a défrayé la chronique ces derniers jours aux Etats-Unis : une femme transgenre, Lia Thomas, a remporté une épreuve de natation à Atlanta. Pourtant, il y a à peine quatre ans Lia Thomas concourait avec des hommes. D’ailleurs, alors qu’elle ne se classait qu’à la 462ème place chez les hommes, voilà qu’elle remporte des compétitions féminines. La polémique a enflé très rapidement, les autres participantes de l’épreuve se sont émues de l’avantage biologique dont bénéficie la nageuse transgenre. Le Women’s sports policy working group, qui rassemble plusieurs personnalités féminines du monde de la natation aux Etats-Unis, a écrit une lettre ouverte pour exprimer son désaccord. L’association explique que « Ses temps post-transition à ce jour (…) restent trop proches de ses meilleurs temps pré-transition dans les épreuves masculines, par rapport à l’écart de performance entre les athlètes masculins et féminins ». En effet, la nageuse explose tous les records depuis septembre dernier

L’affaire n’est pas la première du genre aux Etats-Unis car depuis que la NCAA (l’association sportive universitaire américaine) a autorisé les athlètes transgenres à concourir dans des compétitions avec des athlètes qui n’ont pas effectué de transitions. Dans le cadre d’une compétition féminine, une athlète biologiquement masculine a des avantages physiques non négligeables sur les femmes biologiques. Où sont l’égalité et l’équité dans ce cas ? Au nom de l’inclusion et de la non-discrimination, la NCAA est en train de tuer ce qui caractérise une compétition sportive et détruire tout suspens. Face à la polémique, la NCAA a finalement été contrainte de durcir les critères en matière de concentration hormonale et de caractéristiques physiques pour accéder aux compétitions. Cette affaire montre que les lobbys LGBT n’ont que faire de l’égalité. Ils préfèrent valoriser une minorité d’individus, qu’importe que le plus grand nombre soit perdant. Enfin, il est à craindre que ces évènements se multiplient partout dans le monde car les fédérations nationales et internationales peinent à résister aux associations LGBT qui réclament « le droit » pour leurs protégés de participer à ces compétitions comme tout le monde.

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3 commentaires

Laurent46 26 mars 2022 - 6:13

Cela viendra bientôt en France puis dans l’UE .. La pire culture des US qui va une fois de plus coloniser l’UE en commençant par la France le pays sans culture et qui recherche en permanence ce qui se fait de pire dans le monde. Et pour être au top les trans sportifs seront subventionnés par la République et pourront porter fièrement la légion d’honneur que Macron va leur donner.

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Obeguyx 26 mars 2022 - 7:43

Lorsque les sociétés sont dirigées par des humains dépourvus de cerveaux on voit où l’on arrive. Et c’est valable à tous les niveaux. L’Islam radical n’est pas plus condamnable que toute cette bande d’abrutis qui a envahi les divers médias et sectes politiques diverses qui contrôlent le monde et ce, soit disant en toute démocratie que je définie plutôt en démocrasseuse.

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Bernard GUILHON 26 mars 2022 - 8:31

« les athlètes transgenres à concourir dans des compétitions avec des athlètes qui n’ont pas effectué de transitions »
Pas ENCORE effectué de transition. Un monde de dégénérés, proche de l’apocalypse.

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