Institut de Recherches Economiques et Fiscales

Faire un don

Nos ressources proviennent uniquement des dons privés !

anglais
Accueil » La Covid, prétexte à un despotisme doux

La Covid, prétexte à un despotisme doux

par
49 vues

Nous y sommes. L’État a franchi le seuil qu’il n’avait jamais osé outrepasser. Il se mêle désormais de la vie des entreprises jusque dans l’agencement des bureaux, le comportement des personnes… Non seulement il rend le masque obligatoire dans les bureaux, les ateliers, les écoles, les chantiers, sauf dérogations minutieusement stipulées… mais il dicte ce qu’il faut faire dans les open spaces, les salles de réunion, les espaces de circulation, les lieux de restauration collective, les vestiaires etc. Il nous impose le masque dans les rues, il impose de la distanciation à l’Église et au cinéma, mais pas dans le train ! Demain, il pourra nous dire comment se placer à table chez nous, interdire les chambres communes aux enfants, peut-être gérer la vie des couples…

Lire la suite sur le site du magazine Causeur.

Abonnez-vous à la Lettre des libertés !

Vous pouvez aussi aimer

Laissez un commentaire

2 commentaires

Accenteur 4 septembre 2020 - 8:38

Merci
Merci. Vous être le premier à constater que l'état veut nous imposer de multiples contraintes parfois délirantes mais qu'il ne prend aucune mesure pour assurer un minimum de précaution dans les transports en commun dont il a la charge et qu'il veut imposer à tout le monde.

Répondre
Sonja 6 septembre 2020 - 1:34

pandémie prétexte
Non, il n’y a pas de 2de vague, les pathologies à paraître sont habituelles, saisonnières ou complications d'atteintes intrinsèques. Ces errements de la plus haute puissance publique ont en effet des raisons collectives tant factuelles que subjectives : d’une guerre civile telle qu’Emmanuel Todd peut la sentir venir à une dictature pour l’éviter. A moins que la justice passe pour que la paix sociale revienne quand l’état ne remplit pas son rôle. Il y a seulement ces deux possibilités quand la grande majorité de la population est à bout. A notre grand désespoir, ce n’est pas avec DM à la « justice » que nous verrons de la cohérence.
Nous vivons dans une société de contrôle qui va en s’aggravant pour ceux qui ont des neurones vifs, et l’angoisse que les communicants insinuent sans cesse, génère l’impossible analyse des réalités. Grande dame qu’Hanna ARENDT et la banalité du mal. Elle écrivait qu’à force de tels procédés, la vérité ne pouvait plus être débusquée. Il est devenu utopique de cerner les contours de la vérité : tout est dit, affirmé, « en même temps » que le contraire par des censément « sachants » et les caisses de résonances médiatiques
Oui c’est énorme. Des énormités il y en a tant à relater. Il suffit d’élargir ses sources d’informations, d’aller les chercher sur des sites d’informations pour pouvoir se faire une idée un peu plus éclairée du réel et arrêter l’information prémâchée que l’on nous sert dans nos médias mainstreams. Des scandales et faits inavouables cachés au public qui gangrènent notre pays, il y en a pléthore.
Cette situation presque prévisible n’est que la résultante de l’arrivée « accidentelle » à la magistrature suprême d’un individu ayant le comportement, d’un pervers-narcissique, atteint du syndrome de dissonance cognitive, aux effets cumulatifs ravageurs ! La France en est le témoin et la victime ! Le désastre total se poursuivra jusqu’à la chute de ce Caligula
« Ce monde délirant, racialisé, complaisant envers la délinquance, a largement été co-produit par la Macronie » et Macron n’est que l’exécutant, il n’est plus qu’une roue de transmission. A mon humble avis, le défilé des visiteurs du soir doit s’intensifier au château, la multiplication des ballons d’essais médiatiques, comme autant d’intox, le prouve.
L’armée de l’anti racisme institutionnel qui s’agenouille aujourd’hui devant les déboulonneurs zélés de statues, seront les petits soldats de Macron.
« Si vous cédez, citoyens, vos ennemis exigerons davantage en songeant qu’une fois, déjà, vous vous êtes laissés intimider. » Périclès en 450 avant JC
« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. » Étienne de La Boétie
La peur est une arme politique. La preuve : ces gesticulations politico médiatiques sont un mantra contribuant à l’aliénation du peuple par la classe dominante : c’est une longue agonie populiste proportionnelle et consubstantuelle à la domination croissante
Ce type est un pantin illégitime (23% sur son nom pour 47% de votants) dont l’élection ambigüe aurait dû mobiliser l’armée dès l’audace irrévérencieuse au Gl DE VILLIERS, le peuple aurait suivi à 70%. Il y a une confiscation de liberté accompagnant la marche forcée d’un démantèlement de l’Etat social, de l’Etat acteur et de l’Etat de droit, en conformité avec la version la plus radicale de l’idéologie de la « concurrence libre et faussée progressiste » qui hélas semble demeurer. Cette majorité de nulliputiens caporalisés par des discours arrogants ne s’embarrassent d’aucune exigence d’argumentation sérieuse et de réalités. Nous pouvons retracer les circonstances de cette prise de pouvoir, où les dernières apparences d’un sens de l’Etat et des principes politiques de tradition démocratique sont réduits en miettes, rongés par des argumentations relativistes relayées par la presse grassement subventionnée, et assénées avec aplomb par les porte-paroles de cette majorité. Constatation magistrale : l’Etat rongé de toutes part, les institutions discréditées, le système partisan à la dérive, le personnel politique irresponsable et phagocyté, l’aliénation des droits démocratiques et des garanties de souveraineté que représentait l’appareil d’Etat dans ses cadres de Droit, aussi minutieusement argumentées que percutantes par leur profondeur et leur cohérence… Qu’allons-nous devenir quand des populations s’arrogent des droits et revendications contre nous, sont protégées et vivent des subsides largement distribués par cette nomenklatura partisane ? Cette bande d’abrutis avec les pleins pouvoirs au nom de l’état d’urgence sanitaire. Je crains le pire. De quoi sont encore capables ceux qui envoient les gendarmes contrôler Quoi de plus contingent pour asservir un peuple à l’intelligence déjà volatile tant le savoir est éthéré grâce au nivellement vers le bas de l’Education Nationale depuis 40 ans, la consommation de masse, et la futilité des soixanthuitards qui ont générés des jeunes inconséquents. C’est sans aucune tolérance que je dénonce une continuité dans la destruction systématique de la parole politique, du pays France, de ce peuple déjà fragilisé par 40 ans d’hypocrisie
Il a semé la peur pour contrer tout rassemblement et manifestations qui auraient pu se coaguler par le mécontentement majoritaire de la population. « qui tyrannus absque titulo ? tyrannus ab exercito ? » Il faut nettoyer urgemment les écuries d’Augias car, un coronavirus existe bien mais sa virulence est ailleurs. https://youtu.be/vLNThs9fS9o
"Celui qui contrôle la peur des gens devient leur maître"(Machiavel).

Répondre