Ce dix-huitième numéro du Journal des libertés aborde comme toujours des thèmes très variés : le conflit qui oppose Russes et Ukrainiens, les meilleures réponses à apporter aux changements climatiques, comment…
responsabilité
L’étiquetage alimentaire, dit Nutriscore, est à la mode. La France a commencé à l’adopter en 2020 et les entreprises n’ont eu que peu le choix de suivre le mouvement. Le…
Deux jeunes « twerkent » dans une église : quand l’indécence n’a plus de limites
Une vidéo sur le réseau Tiktok est devenue virale ces derniers jours. On y voit deux jeunes influenceurs de la communauté LGBT danser de manière très vulgaire dans une église…
Nordahl Lelandais, le meurtrier de Maëlys, est jugé en ce moment aux assises. La petite fille de huit ans a disparu vers trois heures du matin en août 2017, alors…
Le patrimoine des entrepreneurs individuels bientôt mieux protégé
Les députés ont démarré, en début de semaine dernière, l’examen du projet de loi relatif à l’activité professionnelle indépendante, porté, depuis la démission d’Alain Griset, par Jean-Baptiste Lemoyne, ministre délégué…
On peut poser en thèse que ce sont la Bible et l’Évangile qui ont apporté au monde — et d’abord au monde chrétien, donc à l’Europe — la liberté telle que nous la comprenons aujourd’hui. Bien entendu, dans les époques antérieures, l’homme a été largement libre en pratique. Qui pouvait imposer au chasseur-cueilleur de la préhistoire de suivre le chemin de droite plutôt que de gauche ? Qui pouvait dire au paysan mésopotamien ou égyptien à quel moment semer ou récolter ? Eux seuls en jugeaient d’après les circonstances et l’expérience. Le problème est que ces hommes étaient étroitement intégrés à leurs groupes, prisonniers des mythes et des rites de ceux-ci. L’individu ne pouvait ni penser ni agir librement sans s’attirer l’hostilité du groupe craignant de mécontenter les puissances sacrées. Aujourd’hui, en Europe, nous concevons bien autrement la liberté. Nous pensons être libres de faire tout ce que les règles de juste conduite morales et juridiques n’interdisent pas de faire, c’est-à-dire tout ce qui ne nuit pas directement à autrui. Nous pensons n’être soumis à la volonté arbitraire de personne, que ce soient des personnes privées ou l’État ; l’État de droit est censé nous garantir de toute coercition arbitraire. Nous estimons avoir le droit de faire, non pas « n’importe quoi », arbitrairement, mais ce que nous pensons devoir faire. Nous pouvons choisir notre travail, notre employé, notre employeur, créer des entreprises, des associations, même si cela déplaît à tel ou tel ; concevoir et exprimer publiquement des pensées différentes de celles du groupe ; choisir une voie, nous y engager, nous y tenir. En un mot, nous pensons être libres d’utiliser nos idées et nos ressources pour poursuivre les objectifs que nous choisissons nous-mêmes et qui nous semblent légitimes, et non ceux imposés par autrui ou par une autorité sociale. Mais il y a plus. Nous savons intimement que si nous pouvons être libres en tous ces sens psychologiques, sociaux et juridiques, c’est parce que, plus fondamentalement, nous le sommes en un sens ontologique. Nous croyons qu’il dépend de nous d’être ce que nous voulons être, que nous pouvons donc changer, s’il le faut, notre condition individuelle et collective. Cette forme ontologique radicale de la liberté humaine, c’est elle que nous devons à la Bible et plus spécialement au christianisme.
Mélenchon veut donner 1 000€ par mois aux étudiants pour les responsabiliser
Dans notre Etat-providence, le contribuable finance les études des enfants des autres, mais pour Jean-Luc-Mélenchon, la gabegie d’argent public doit aller plus loin. Il propose 1 000€ par mois à…
A partir du 8 décembre prochain, les patients COVID-19 de Singapour qui ne sont pas vaccinés devront payer leurs factures d’hospitalisation. Le gouvernement paie actuellement l’intégralité des factures médicales COVID-19…
Dans une société libre et démocratique, il n’est pas aisé d’imposer à toute une population de se faire vacciner, même en situation d’urgence sanitaire. Une telle décision, déjà très discutable éthiquement, pourrait même s’avérer contre-productive. S’opposer à la coercition de l’État ne signifie pas refuser des mesures de masse vitales. Certains, comme les Allemands, sont en majorité (57 %) d’accord pour la rendre obligatoire.
Sécurité routière : l’État n’a pas le droit de jouer au chat et à la souris avec les automobilistes
Alors que des progrès extraordinaires ne cessent d’être accomplis dans le perfectionnement et la précision des instruments de mesure de tous ordres – poids, lumière, dimensions, résistance, temps (chronomètre au millième de seconde) etc. – les compteurs de vitesse de la plupart de nos voitures demeurent étrangement approximatifs, au point qu’ils ne donnent leur juste mesure que quand le véhicule est rigoureusement à l’arrêt. Sans prétendre à une précision absolue, qui donc, en conduisant, n’a jamais rapproché la vitesse indiquée par le compteur serti dans le tableau de bord de son véhicule de celle affichée par le GPS fixé au pare-brise en constatant un écart important, puisqu’il est admis que les compteurs classiques « surexposent » la vitesse effective indiquée par le GPS de l’ordre de 5 à un peu moins de 10%?