La presse française s’est émue des propos de la chancelière, qui soulignent le contraste entre les européens qui travaillent et prennent peu de vacances et ceux du « Club Med ». La cigale vie au dépend de la fourmi, mais la « prêteuse » renvoie la chanteuse à ses devoirs. La Nouvelle lettre du 21 mai 2011 ( www.libres.org ) explique la sévérité d’Angela Merkel.