Ils sont tous gaullistes. De Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen. C’est leur droit. Mais s’ils sont tellement nostalgiques de la France gaulliste, ils devraient savoir aussi que sous de…
PIB
Le projet de loi de finances pour 2023 tablera sur un déficit à 5% du PIB
Le projet de loi de finances (PLF) pour l’année prochaine a été présenté lundi en Conseil des ministres. Au vu de la sensibilité du texte, l’exécutif n’est pas assuré de…
Déjà avant la guerre, le PIB/hab en Russie était inférieur à celui de la Roumanie : – 2 610 dollars !
Il reste encore de nombreux admirateurs de Poutine pour nier le désastre au sein de son armée ou l’impact des sanctions économiques. Les mêmes qui pensent que la Russie serait…
Dette publique : 112,5 % du PIB en France contre 69,3 % en Allemagne (+ 43 points d’écart)
Le rapport de la Cour des comptes qui vient d’être rendu public insiste sur la dégradation des finances de la France ces dernières années, en particulier durant la crise sanitaire.…
La délégation sénatoriale à la prospective a présenté mercredi un rapport, rédigé par Sylvie Vermeillet, sénateur UC du Jura et par Eric Bocquet, sénateur communiste du Nord, éclairant sur l’avenir…
France : hausse des dépenses publiques, baisse du niveau de vie
Pourquoi la France est-elle passée depuis 1975 du 5ème au 26ème rang mondial pour le niveau de vie (PIB par tête) ? La réponse est d’une étonnante simplicité : parce que la France n’a pas maîtrisé ses dépenses publiques.
Les rapports entre les actifs et les retraités sont actuellement à la fois tendus et malsains. En gros, les actifs reprochent aux retraités d’accaparer une part trop grande du PIB, notamment par rapport à des nations qui ont le plus souvent choisi à la fois des taux et des montants très inférieurs pour leurs cotisations-vieillesse et leurs pensions (ce qui chez nous, ne conviendrait probablement pas à tout le monde !). Inversement, il semble qu’un nombre important d’actifs n’aient pas encore réalisé qu’un jour ou l’autre, ils deviendront retraités et qu’ils risquent alors de payer fort cher tous les coups de canif sociaux et fiscaux qui sont aujourd’hui portés à la solidarité intergénérationnelle. Or il y a un autre fait qui échappe manifestement à la plupart des actifs : eux-mêmes n’ont jamais que l’expérience de leur carrière, alors que les retraités ajoutent à leur longue expérience d’actifs, celle irremplaçable de la retraite et le moins qu’on puisse dire est qu’avec cet « effet de parallaxe », les perspectives des uns et des autres sont radicalement différentes.
Selon les statistiques publiées fin décembre par Eurostat, la France a été, en 2016, l’État membre de l’Union européenne où le poids des impôts et des cotisations sociales, en pourcentage du PIB est le plus élevé.
Alors que partout on se réjouit de la croissance qui repart, on feint de ne pas remarquer que la France ne fait que profiter de la conjoncture mondiale. En fait, la croissance est plus faible en France que presque partout ailleurs. C’est donc un signe qui devrait nous inquiéter plutôt que nous réjouir.
Alors que le PIB a augmenté de 189 milliards entre 2008 et 2016 (en Euro 2016), les approximations de Bercy ont représenté 215 milliards d’euro (écarts en valeurs absolues cumulées). Cela représente 10 % du PIB actuel et une erreur de plus de 214% relativement à la variation constatée sur la période observée.