Professeur agrégé des facultés de droit, avocat à la Cour de Paris, Jean-Philippe Feldman, auteur d’une étude sur les collectivités locales publiée par l’IREF, vient d’écrire un ouvrage décapant sur les réalités de la famine dans le monde.
Mondialisation
Journalistes et économistes mettent volontiers la mondialisation en accusation pour expliquer nombre des maux du continent africain. En partant de l’observation, assez réaliste, que quelques multinationales font «un peu ce qu’elles veulent» en Afrique, on en infère que la mondialisation est la cause du sous-développement africain. Mise au point pour l’IREF d’Emmanuel Martin, responsable du site « Un monde libre ».
Nous avons déjà écrit que la RATP profite largement de la mondialisation. Ses réseaux à l’international ne cessent de s’agrandir.
Détesté officiellement mais adulé en secret, le FMI (Fonds Monétaire International) est considéré ou comme un organisme « ultralibéral » coupable des problèmes économiques des pays en voie de développement ou bien comme un pompier mondial prêt à mettre la main à la poche pour distribuer sans regarder l’argent des contribuables. Le FMI a été fondé en 1944 à l’occasion de la mise en place des Accords de Bretton Woods instaurant une nouvelle organisation monétaire mondiale.
Pour analyser correctement la crise financière qui nous frappe, afin de concevoir des réglementations pour éviter qu’elle ne se répète, il faut impérativement distinguer les causes de la maladie de ses symptômes. Actuellement, nous courrons un grand risque de les confondre et d’adopter des remèdes inappropriés, voire nocifs.
Depuis lors, les pressions subies par ces pays les ont finalement conduits à renoncer au secret bancaire, qui leur avait valu la confiance de très nombreux investisseurs. L’Autriche, la Belgique, le Luxembourg, le Liechtenstein, Andorre et Monaco et enfin la Suisse rompaient ainsi avec une tradition séculaire qui les avaient rendus attractifs pour les capitaux du monde entier.
Le film « Le syndrome du Titanic » de Nicolas Hulot actuellement sur les écrans est une charge contre le capitalisme, la mondialisation et les entreprises. C’est-à-dire contre les vrais créateurs de richesses sur la planète. Adrien FOULON, chercheur à l’IREF, a vu le film et vous dissuade d’aller le voir.
Ils sont nombreux ceux qui critiquent le capitalisme et la mondialisation. Pourtant, si l’on regarde les chiffres, la création de richesses dans le monde est sans égal depuis l’avènement de la mondialisation et la libéralisation des économies.
La mondialisation financière n’est pas responsable de la crise. La seule chose dont nous avons besoin en ce moment est un contrôle strict de la création monétaire publique. Analyse de Victoria Curzon-Price publié dans le journal Le Temps.
La crise économique et financière est-elle en train d’annoncer le retour du protectionnisme ? Le monde de demain sera-t-il celui des fabricants des chandelles ?