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Le capitalisme et la mondialisation au service de l’humanité

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Ils sont nombreux ceux qui critiquent le capitalisme et la mondialisation. Pourtant, si l’on regarde les chiffres, la création de richesses dans le monde est sans égal depuis l’avènement de la mondialisation et la libéralisation des économies.

Sur 193 pays dans le monde, environ 120 ont choisi le système capitaliste pour leur économie (il est évident que des différences d’application existent dans de nombreux pays). Tous ces pays se portent mieux que les autres. En 1985 on comptait 67 pays autoritaires, ils ne sont plus que 26 aujourd’hui.

Le taux d’extrême pauvreté (personne vivant avec moins de 1 dollar par jour) dans le monde est passé de 40 % à 21 % entre 1981 et aujourd’hui. En Chine, cette population est passé de 35 % à 16 % et en Inde, de 36 % à 25 %. En 1820, 84 % de la population mondiale vivait dans un état de pauvreté extrême. En 2000, ce taux est descendu à 20 %.

Le nombre de guerres au niveau mondial a baissé depuis l’effondrement du communisme et l’Union soviétique. Malgré les attentats de septembre 2001 et les guerres d’Irak et d’Afghanistan, moins de guerres ont eu lieu durant l’administration Bush que sous les deux mandats de Clinton : 14 contre 24 guerres. Un Rapport de Human Security Center a révélé que le nombre de conflits armés a baissé de 40 % dans le monde depuis 1992 (il y avait 50 conflits en 1992 et 31 en 2005). En 1990, il y avait 9 génocides dans le monde. En 2005, on ne comptait – heureusement- qu’un seul génocide, à Darfour. Le monde semble beaucoup plus pacifié depuis que le capitalisme gagne du terrain…

Non seulement on vit plus longtemps (l’espérance de vie est aujourd’hui de plus de 75 ans dans les pays riches et de 63 ans dans des pays comme la Chine ou l’Inde), mais nous sommes en meilleure santé. L’espérance de vie a augmenté de 64 % en un siècle et nous nous sommes débarrassés de la plupart des épidémies mortelles qui tuaient les grands-parents de nos grands-parents. Au début du siècle, on comptait 700 morts pour 100 000 personnes à cause d’une épidémie. Aujourd’hui, on n’en compte que 50. Si des épidémies tuent encore dans certains coins du globe, cela se passe dans des pays sous-développés et c’est en très grande partie dû au caractère criminel du régime.

Aujourd’hui, il n’y a plus d’épidémies catastrophiques et les richesses ne cessent de croître

En 1918, environ 100 millions de personnes sont mortes dans le monde à cause des épidémies. Aujourd’hui, on estime que ce nombre pourrait être proche du zéro si tous les mécanismes de vaccination seraient mis en place rapidement. Tous ces succès n’auraient jamais pu être possibles sans les progrès de la médecine, les avancées des laboratoires pharmaceutiques des pays capitalistes. 99 % des découvertes médicales se font dans nos pays.

Le nombre de famines dans le monde a baissé régulièrement. Des pays comme la Chine et l’Inde, malgré leurs populations très nombreuses, satisfont largement aux demandes en nourriture. Depuis que la Chine a abandonné le système collectiviste et a embrassé l’économie capitaliste, sa production alimentaire a augmenté de 80 %. En dépit d’une augmentation de la population de 83 % dans les pays en voie de développement, la malnutrition est passée de 37 % en 1970 à 17 % en 2002.

Depuis 1900, notre pouvoir d’achat a été multiplié par 100. Rien que depuis les années 1950, le revenu moyen a augmenté de 50 %. Parallèlement, le nombre de riches et de très riches n’a cessé d’augmenter. En 1900, il y avait quelques centaines de millionnaires aux Etats-Unis, aujourd’hui, on en compte plus de 8 millions. Ce chiffre impressionnant est intéressant à plus d’un titre. Même s’il provoquerait sûrement les ricanements de l’extrême gauche, il montre que le capitalisme créé les conditions pour s’enrichir à un grand nombre de personnes et contredit brillamment la thèse marxiste de l’accumulation des richesses entre les mains d’une poignée de capitalistes. Ces presque 10 millions de millionnaires sont à plus de 90 % des entrepreneurs ayant fait fortune grâce à leur travail. La très grande majorité d’entre eux sont partis de rien comme par exemple Bill Gates ou les inventeurs de Google. C’est le système capitaliste qui leur a permis de réussir et de créer, grâce à leurs inventions, des millions d’emplois. C’est ça le capitalisme et la mondialisation.

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