Les marchés financiers n’ont pas apprécié les premiers pas du gouvernement Barnier sur le plan économiques et ses déclarations selon lesquelles il n’excluait pas d’augmenter les impôts, alors que les…
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L’économie et les marchés financiers en plein essor : signe d’un retour à la normale ?
Depuis la fin des dernières mesures anti-covid, les économies françaises et américaines sont en pleine croissance. Les économistes de l’INSEE et de la Banque de France tablent sur une croissance…
Selon les statistiques de l’Autorité des marchés financiers, le nombre des investisseurs individuels en bourse bat des records en France : 772 000 particuliers ont passé un ordre d’achat ou…
La place financière de Hong Kong menacée par l’emprise du Parti communiste chinois
Hong Kong a bâti sa réputation de grande place financière mondiale grâce à son attractivité pour les fonds d’investissements et les banques internationales. Cette attractivité est aujourd’hui remise en cause,…
Le livret A est un livret d’épargne dirigé par l’Etat. Il constitue l’une des nombreuses exceptions françaises. Le ministre de l’Economie Bruno Lemaire a annoncé que son rendement était abaissé à 0,50% à partir de février 2020. Qu’en penser ?
Livret A : les épargnants n’auront même pas l’aumône prévue !
Coup de théâtre dans la fixation semestrielle du taux du livret A. La formule actuelle de fixation des taux, qui a été modifiée et qui est moins favorable à l’épargnant que la précédente, aurait impliqué de faire passer le taux de 0,75% à 1%. (L’ancienne formule aurait donné 1,25%). Il s’agissait donc d’une mini-aumône, pour ce qui est considéré comme une forme d’épargne populaire, largement répandue.
Le taux du livret A devrait logiquement augmenter de 0,75% à 1,0% au 1er août : une aumône pour l’un des principaux placements des Français. Cette aumône cache l’essentiel : le gouvernement continuera à garder totalement la main sur l’épargne administrée des Français, qui est détournée des investissements productifs, où elle serait utile, pour aller où le prince veut bien qu’elle aille.
CAC 40 : Les 76 milliards de profits sont-ils des « superprofits » ?
En France, le profit n’a pas bonne presse. Annoncer 76 milliards de bénéfices pour les entreprises du CAC 40, en hausse de 32,6%, est perçu par certains comme une mauvaise nouvelle : des « superprofits » injustifiés, pour ceux qui en sont restés à une vision marxiste de l’économie! Pourtant, on peut s’interroger, car ce redressement des grandes entreprises n’a pas entrainé les mêmes effets positifs en bourse qu’ailleurs : chez nous, l’économie est « malade de la politique » et de ses incertitudes.
Panique à bord ! En début de semaine dernière le spread entre les taux sur la dette souveraine à 10 ans française et allemande s’est écarté, jusqu’à 80 points de base. A tel point que le ministre des finances français Michel Sapin a cru devoir s’expliquer devant les marchés. Si le trou d’air s’est rapidement résorbé, faut-il rester pour autant serein ?
Le S & P 500 ou l’indice boursier basé sur 500 grandes sociétés cotées sur les bourses américaines a connu une hausse de 152 % entre 2009 et 2016. C’est…