Ceux qui ne croient pas aux réformes en France, ou qui sont eurosceptiques, pourraient se rassurer en suivant l’attitude de la Commission à l’égard des sociétés de HLM dans plusieurs pays.
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La loi ALUR ou comment entraver l’économie et la construction de logements
La loi pour l’Accès au Logement et un Urbanisme Rénové dite « ALUR », initiée par Madame Cécile DUFLOT et publiée au Journal officiel du 26 mars 2014, entre en…
France, l’impact des fonds de pension sur l’emploi
La vraie réforme des retraites est le passage à la capitalisation. L’IREF en a calculé les performances chiffrées : des retraites d’un montant supérieur au dernier salaire perçu. C’est ce vers quoi se sont orientés la plupart des pays européens, comme les Pays-Bas. Mais la retraite par capitalisation est gérée par les fonds de pension qui créent des emplois car ils investissent dans les entreprises et l’immobilier.
L’IREF a calculé ce que les fonds de pension pourraient apporter à la France en termes d’emplois.
• Si les fonds de pension en France étaient aussi dynamiques qu’aux Pays-Bas, investissant alors près de 4 milliards de dollars par an, ils permettraient la création de 264 000 emplois sur la période 2013-2017
• Si des fonds de pension participaient à des investissements à hauteur de 1 milliard d’euros par an, cela représenterait la création de 88 000 emplois à horizon 2017, c’est-à-dire une baisse de plus de 2% du chômage.
• Un emploi créé par des fonds de pension en France coûterait 2 fois moins cher qu’un emploi d’avenir !
La dégradation de la note souveraine de la France par Standard & Poors fait écho au recul du pays dans le classement Doing Business 2013. Ces deux événements traduisent en réalité un même phénomène : la méfiance des investisseurs à l’égard d’une économie morose. Dans ce contexte, les expériences américaine et néerlandaise apportent une solution simple, bien qu’inattendue, qui consiste à orienter les investissements des fonds de pension vers l’économie réelle, et en particulier à destination des secteurs les plus touchés par la crise.
En refusant la vente de Dailymotion (société française) à l’américain Yahoo, Arnaud Montebourg démontre l’incompétence et la nocivité de sa stratégie. D’un côté on veut rendre la France attractive aux investisseurs étrangers, de l’autre, les entreprises françaises sont sous tutelle de l’Etat. Analyse pertinente de Lucas Léger, chercheur à l’IREF.
Le rapport Legaret met en évidence les erreurs de cette politique. Ici, comme au niveau national, on donne la priorité au parc « social », on investit avec de l’argent public, on préempte à vil prix et on fausse le marché de l’immobilier. Qui en profite ?
Les Belges sont surpris de voir leur pays présenté en France comme un paradis fiscal. Ils ont au contraire le sentiment de payer beaucoup d’impôts. Mais la fiscalité est avantageuse pour ceux qui investissent et entreprennent.
L’impôt serait-il le moyen de réduire l’Homme à un sujet de l’Etat, et de soviétiser la France ? La question se pose après la présentation de la loi de Finances 2013 qui s’attaque outrageusement à la propriété privée.
Il n’y a pas de concubine plus notoire que Madame Trierweiler. Et il paraît qu’elle est riche. Paye-t-elle pour autant l’ISF avec son concubin ?
L’économie néerlandaise se porte à merveille : taux de chômage à 5 %, dette à (seulement) 66 % du PIB, déficit à 4.6 % du PIB et une croissance positive…
La « crise du logement » ne peut être résolue par le développement du « logement social » ; elle se résoudra par la libération du marché immobilier, entravé par la réglementation, la fiscalité, et les conditions de financement. L’UNPI a rédigé une brochure destinée aux candidats, qui reprend les conclusions du rapport de l’IREF publié en juin dernier par Jacques Garello et Nicolas Lecaussin.