Eric Coquerel est député LFI et président de la commission des finances de l’Assemblée nationale. Il y a quelques semaines, il est allé en visite officielle à Cuba où il…
Cuba
Durant l’été 2021 les Cubains se sont révoltés contre le régime qui les prive de pain et de liberté. Le 11 juillet dernier des milliers de manifestants ont défilé spontanément…
Les conséquences humaines, sociales et économiques de la crise sanitaire font apparaître aux yeux du monde les failles du régime communiste cubain : les hôpitaux sont débordés et les denrées…
Cuba : la fin de la famille Castro au pouvoir, mais à quand la fin du marxisme ?
Ce week-end s’est tenu à Cuba le dernier congrès du parti communiste présidé par un membre de la famille Castro. Le « petit » frère de Fidel, bientôt âgé de…
L « icône romantique » auquel la maire de Paris consacre une exposition gratuite (comprendre avec l’argent des contribuables) a été l’un des pires criminels du communisme. Non pas en nombre de personnes tuées car rien ne peut dépasser les crimes de Staline ou de Mao, mais par la manière. Che Guevara a tué de ses propres mains et ne s’en est pas caché.
« Socialismo o Muerte » était la devise du dictateur Fidel Castro. Il a apporté les deux sur l’île de la Cuba, en janvier 1959, accompagné de Che Guevarra et de ses « barbudos ». Pénuries, pauvreté, meurtres, épuration, prisons politiques, Castro a été fidèle aux caractéristiques du totalitarisme communiste.
Désormais les Etats ne se satisfont plus des impôts de leurs ressortissants. Insatiables, les plus puissants d’entre eux font peser des condamnations parafiscales sur tous ceux qui les approchent, ce qui leur permet aussi de faire mieux rayonner leur pouvoir universel.
La fiscalité est désormais si élevée et elle reste si difficile à comprendre, qu’elle est rejetée presque à l’unanimité. Mais, malgré quelques reculades, le gouvernement s’obstine à vouloir taxer encore plus. Jusqu’à quand ?
Et si l’ « économie verte » n’était qu’une vaste tromperie ? La mode est en effet à « verdir » toutes les activités, de façon à faire croire que l’écologie est le moteur de l’économie. Lucas Léger, chercheur à l’IREF, démasque la supercherie.
Ceux qui espéraient des réformes économiques à Cuba peuvent être déçus. A l’approche du VIème Congrès du Parti communiste, les dirigeants cubains, en commençant avec Raul Castro, rendent public le « nouveau » programme économique de l’île. Et le moins que l’on puisse dire c’est que l’on fait toujours confiance aux recettes marxistes qui ont fait partout faillite. Il y a quand même un changement.