C’est l’histoire d’un professeur de religions dans un collège public britannique. Il aurait montré, dans le cadre de son cours, des caricatures de Mahomet. C’est la version avancée par une association caritative musulmane du Yorkshire, Purpose of Life, qui a « dénoncé l’enseignant ». Son président, Sajad Hussain, a accusé l’enseignant de « comportement sadique » et a menacé de cesser la collaboration de l’association avec l’école, s’il n’était pas écarté de l’école. Le proviseur du collège réagit et… donne raison à l’association. Dans un courrier dont des extraits ont été publiés dans les médias, il offre « ses excuses pleines et sincères » aux parents, ajoute que les images montrées aux élèves sont « complètement inappropriées ». L’enseignant est suspendu, en attendant une enquête interne.
C’est ce qu’il ne faut pas faire. En cédant ainsi, on accepte la loi islamique qui ne tolère aucune discussion, pas la moindre analyse ou critique. On plie devant le dogmatisme d’une religion qui se considère au-dessus des lois. Ce n’est pas à l’école de s’adapter et d’appliquer les préceptes islamiques !