Lundi 15 juin 2015, Maison de la Chimie, Paris
Le dernier ouvrage de Thomas Piketty, le Capital au XXIème siècle, a reçu un accueil considérable. Il est encensé par les partis de gauche, auxquels il offre une caution morale pour justifier plus d’interventions étatiques. Reste que ce combat pour l’égalité n’est rien d’autre qu’une imposture : la plupart des chiffres, graphiques et modèles utilisés sont truqués. Une telle mystification est d’autant plus dangereuse qu’elle bloque le progrès porté par l’innovation et les entrepreneurs, et donc la création d’emplois. Au final, ce discours ne fait que renforcer la pire des inégalités : le chômage. Bien que les erreurs théoriques de cet ouvrage aient été largement dénoncées par le monde universitaire, celui-ci n’a pas assez pris en compte que l’encouragement à s’enrichir est une condition indispensable de la croissance et du plein-emploi. Il nous faut plus de nouveaux milliardaires pour moins de chômage en France. Le retour de l’emploi viendra de libres entrepreneurs, financés par des investisseurs privés cherchant à s’enrichir, dans le respect de la règle de droit. Ce colloque était aussi l’occasion de présenter notre dernier livre sur les inégalités : Anti-Piketty – Vive le Capital au XXIe siècle
Présentations Powerpoint des interventions
Mensonges et affabulations du « Capital au XXI ème siècle »
Les riches sont essentiellement des entrepreneurs
Idéologie : son incidence sur l’économie réelle à travers la fiscalité
T.Piketty est-il un économiste ?
Peut-on ignorer le prix du risque industriel ?
Documents joints
Mensonges et affabulations du « Capital au XXI ème siècle »
Les riches sont essentiellement des entrepreneurs
Idéologie : son incidence sur l’économie réelle à travers la fiscalité
T.Piketty est-il un économiste ?
Peut-on ignorer le prix du risque industriel ?
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Mensonges et affabulations du « Capital au XXI ème siècle »
Les riches sont essentiellement des entrepreneurs
Idéologie : son incidence sur l’économie réelle à travers la fiscalité
T.Piketty est-il un économiste ?
Peut-on ignorer le prix du risque industriel ?