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Impacts du changement climatique : mythes et réalités

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La Global Warming Policy Foundation (GWPF) vient de publier un rapport du chercheur Indur Goklany, ancien membre et fondateur du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), qui fait le point sur l’état des phénomènes naturels majeurs en compilant des dizaines de données et de sources différentes. Les conclusions sont assez, voire très éloignées du constat alarmiste diffusé par le GIEC et repris par la majorité des médias.
Voici quelques exemples :

1. Réchauffement climatique sans augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes.

Selon le GIEC, le climat sur Terre s’est réchauffé d’1°C depuis l’époque préindustrielle. A partir des années 1950, les données collectées sur la plupart des régions du globe montreraient que le nombre de jours et de nuits froids aurait diminué et que le nombre de jours et de nuits chauds aurait augmenté globalement à l’échelle mondiale. Cependant, soutient Goklany, la période courant depuis les années 1950 est courte et les données concernant l’Afrique et l’Amérique du Sud sont beaucoup moins fiables que celle des autres continents. Dans certaines des régions avec des enregistrements plus longs et une couverture plus large, les données empiriques révèlent que les vagues de chaleur étaient plus extrêmes et plus fréquentes dans le passé, par exemple aux États-Unis dans les années 1920-1930, lorsque les concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone ne représentaient que 75% de celles d’aujourd’hui. Pareil pour ce qui est d’autres phénomènes climatiques extrêmes comme les ouragans.

Ceci confirme, selon l’auteur, une étude de 2012 qui n’a trouvé aucune augmentation significative de la fréquence ou de l’intensité de tous les cyclones (y compris les cyclones majeurs) dans le monde entier et dans les cinq principaux bassins (Atlantique Nord, Pacifique Nord-Est, Pacifique Nord-Ouest, nord de l’Océan Indien et l’hémisphère sud.

Concernant les inondations, même le GIEC n’a pas attribué les changements relatifs aux inondations à l’influence anthropique et n’a pas signalé de changements détectables dans l’ampleur, la durée ou la fréquence des inondations. Une étude sur les données de débit journalier maximum annuel de 9213 stations à travers le monde a montré qu’il y avait plus de stations avec des tendances significatives à la baisse qu’à la hausse.

Pour ce qui est de la sécheresse, aux États-Unis, la tendance à la sécheresse entre août 1895 juillet 2019 a été à la baisse. Cette tendance est associée à une augmentation des précipitations à long terme. À l’échelle mondiale, le GIEC note qu’il y a une confiance faible dans les tendances à la sécheresse. Ce constat a été confirmé par une analyse des précipitations de 1980 à 2012, qui a trouvé une tendance positive significative dans la superficie des terres en état de sécheresse dans l’hémisphère sud, mais pas de tendance significative dans l’hémisphère nord ni dans le monde entier. Une étude similaire n’a trouvé aucune augmentation de la superficie mondiale touchée par la sécheresse de 1982 à 2012. Les documents historiques montrent clairement que dans le passé (XIe, XVe siècle), les sécheresses étaient plus fréquentes et extrêmement meurtrières.

Le chercheur montre que depuis les années 1920, les taux de mortalité mondiaux dus aux phénomènes climatiques extrêmes ont diminué de 98,9%. Plus remarquable encore est le fait que les décès annuels dus à de tels événements ont diminué de 96,1% au cours de cette période malgré un plus que triplement de la population. Cela montre que le changement technologique et l’innovation sont une réponse humaine naturelle aux menaces climatiques et devraient être incorporés dans les estimations des impacts futurs du changement climatique.

2. L’économie mondiale n’est pas impactée par le réchauffement climatique. Au contraire

L’économie mondiale n’a cessé de croître depuis les années 1950 et encore plus entre 1990 et 2018. Le PIB/habitant dans le monde n’a jamais été aussi élevé et cela malgré l’alarmisme des membres du GIEC et de nombreux politiques. Qu’il s’agisse des Etats-Unis, de l’Asie, de l’Europe, même de l’Afrique, les données économiques montrent clairement une augmentation des richesses malgré une forte augmentation de la population. Ainsi, moins de personnes vivent dans la pauvreté absolue aujourd’hui qu’en 1820, malgré une multiplication par 7 de la population.

Le réchauffement climatique n’a pas d’impact sur l’économie mondiale si l’on fait confiance aux individus et à la recherche. De même, les maladies et le taux de mortalité ont baissé partout dans le monde tandis que la famine a été pratiquement éradiquée, les causes en restant plus la guerre et les autocraties.

3. Hausse du niveau de la mer : les causes sont multiples

Le niveau des mers s’est élevé significativement depuis la fin de la dernière période glaciaire. Cependant, pratiquement toute cette hausse (plus de 120 000 mm) est antérieure à l’utilisation des combustibles fossiles par l’homme. L’élévation du niveau de la mer est normale pour une période interglaciaire, période dans laquelle nous sommes. On a également constaté que les taux d’érosion dépassant 5 m par an concernent seulement 4% des côtes sablonneuses du monde, alors que 6% des côtes croissent de plus de 5 m par an. Cette constatation est cohérente avec une analyse selon laquelle « la surface de la Terre a gagné… 33 700 km2 de terres dans les zones côtières ». Il s’agit donc d’une évolution positive qui n’est pas cohérente avec la notion selon laquelle les terres (dans leur ensemble) sont en train de disparaître.

4. Plus de forêts sur terre aujourd’hui qu’avant

Contrairement aux idées reçues, la surface forestière dans le monde a augmenté de plus de 2 millions de km2 entre 1982 et 2016, soit une augmentation de 7%. La couverture terrestre nue mondiale a diminué de plus d’un million de km2, soit une réduction de 3%, notamment dans les régions agricoles d’Asie. De même, diverses analyses de la diversité des espèces dans les régions montagneuses (des Andes, du Tyrol autrichien et de l’Himalaya oriental) ont trouvé une diversité accrue des espèces, contredisant directement les affirmations selon lesquelles le réchauffement induit par les gaz à effet de serre serait préjudiciable à la biodiversité.

En conclusion

Alors que le climat s’est réchauffé :

• La plupart des phénomènes météorologiques extrêmes ne sont pas devenus plus intenses, plus meurtriers ou plus destructeurs.

• Les preuves empiriques contredisent directement les affirmations selon lesquelles l’augmentation du dioxyde de carbone a réduit le bien-être humain. En fait, le bien-être humain n’a jamais été aussi élevé.

• Les effets néfastes du réchauffement et de l’augmentation du dioxyde de carbone sur les espèces et les écosystèmes terrestres ont été largement compensés par les avancées technologiques, les découvertes et l’innovation.

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14 commentaires

Laurent46 3 mars 2021 - 4:24

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
Enfin un article pragmatique et un peu plus sérieux que toutes les âneries des écolos qui n’ont qu’une seule raison d’exister qui est celle du profit, de leur assistanat et de l’instauration de taxes successives par nos gouvernances toute aussi mafieuses les unes que les autres.

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De Coster 3 mars 2021 - 7:23

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
Informer les ignorants

Répondre
GERMAIN Thierry 3 mars 2021 - 7:34

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
La notice Wikipedia de M.Indur GOKLANY fait apparaître l’incompétence de ce supposé « chercheur » dans les domaines où il prend position. Sa collaboration avec l’institut HEARTLAND ne porte pas davantage à prendre ses conclusions en considération. L’IREF doit observer, me semble-t-il, une grande prudence.

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Nicolas Lecaussin 3 mars 2021 - 1:26

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
Devrait-on faire plus confiance aux fonctionnaires du GIEC ? De plus, Goklany cite plein de rapports dans son article, y compris ceux du Nature. Cordialement,

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Françoise Jovet 3 mars 2021 - 8:57

impact du changement climatique
Géologue de formation, enseignante par passion, je suis d’accord avec cet article.
Face à des élèves de tous niveaux ( collège à IUT ), j’ai toujours eu d’énormes difficultés à leur démontrer que l’échelle humaine choisie par nos écologistes soit disant spécialistes du climat ne permettait pas de parler de réchauffement tel que les médias nous font croire.
Le climat reste toujours très complexe et doit être étudié à plus grande échelle.
Pourquoi y a-t-il si peu de « vrais » scientifiques dans les groupes décisionnaires ?
À la fin de ma vie je me sens de plus en plus démunie devant la mauvaise foi, le complotisme , les idées à la mode, les choix qui nous font aller dans le mauvais sens etc … et je me surprends à constater avec tristesse que je perds mon optimisme dans l’homme …

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Jacques-Marie Moranne 3 mars 2021 - 9:23

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
Cette synthèse résume parfaitement les observations des sites spécialisés (NOAA, NASA, NSIDC, EPA, …) qu’il suffit d’aller visiter pour en avoir confirmation.

J’ai eu une fois l’occasion d’en faire part à Valérie Masson-Delmotte (vice-présidente du GIEC) lors d’une conférence qu’elle donnait à Chevreuse : sa réponse a été que j’avais tort parce que « les Modèles disent que … ».

Après les scandales de la Courbe de Mann et du film de propagande d’Al Gore, la crédibilité du GIEC repose uniquement sur des Modèles, à la base des logiciels habituellement utilisés pour prévoir la météo à 8 jours maxi, et qui devraient être crédibles pour prévoir le climat dans 50 ans.

… et encore prend-on toujours comme références les paramétrages les plus pessimistes pour pousser aux décisions les plus brutales.

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Nicolas Lecaussin 3 mars 2021 - 1:28

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
Devrait-in faire plus confiance aux fonctionnaires du GIEC ? Goklany cite plein d’articles et de rapports dans son étude. Ce n’est pas un article d’opinion.
Cordialement

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LEXXIS 3 mars 2021 - 4:42

@ Germain Thierry
Pourriez-vous avoir l’obligeance de documenter brièvement votre jugement sur M. GOKLANY?
Merci d’avance.

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goufio 7 mars 2021 - 7:49

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
Je regarde régulièrement les émissions TV de Franc2, la Cinq et d’Arte (je me documente abondamment de lectures savantes). Le problème est présenté comme catastrophique mais ces trois chaînes télévisées ne donnent jamais la contradiction, c’est que le problème doit être vraiment sérieux !
La « messe » semble dite et la loi va s’écrire avec le même discernement que l’ »état de guerre » les couvres feux, les confinements et les autres atteintes à nos libertés de circulation en France comme à l’étranger. Cet état policier n’est pas acceptable alors qu’en même temps nos banlieues s’expriment par de nombreuses sorties nocturnes enflammées etc
M Macron quels sont vos desseins ?

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goufio 7 mars 2021 - 8:00

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
@Germain Thierry – J’ai parcouru la fiche d’Indur Goklani sur Wikipedia (en anglais) il n’y a aucune remarque désobligeante à son égard. Il faut vous expliquer et documenter votre opposition.
Merci et bon dimanche

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Casanova 7 mars 2021 - 10:41

interrogation sur le rôle effectif du CO2 anthropique
Lorsqu’on s’attèle à rechercher dans les méandres de ces décisions prises depuis le protocole de Kyoto en 1998, et que l’on s’extrait de la pensée unique développée par le GIEC, et certaines ONG, on voit bien que la lutte contre le CO2 anthropique proposée, n’amènera que de faibles effets.
Plusieurs thèses existent sur l’effet de serre, on en compte une bonne dizaine ;
Le GIEC, a fait de choix d’imposer la théorie radiative, inspirée des travaux de Fourier et Arrhenius au 19 siècle (Le CO2renverrait vers la Terre une partie du rayonnement piégé dans le spectre infrarouge, et il en résulterait une élévation de la température « moyenne globale » à la surface de la Terre..
Notons que La théorie radiative d’Arrhenius, critiquée début 20 siècle par Angstrom, a été souvent remise en question parmi bien des scientifiques dont Robert William Wood qui en démontra en 1909 le caractère erroné de l’explication. Abandonnée pendant 60 ans, elle a été remise au gout du jour dans les années 1970 par Bert Bolin, un des premiers scientifiques…… membre directeur du GIEC
Ce phénomène radiatif improprement appelé «effet de serre » a des défenseurs et des adversaires entre lesquels le débat est souvent impossible.
Exemple la théorie dite adiabatique défendue par Sorokhtin et Al beaucoup plus en phase avec les principes régissant la météorologie. Des physiciens actuels ; Ferenc Miskolczi , Gehrard Gerlich et Ralf. D. Tscheuschner, Richard Lindzen, Roy Spencer, ont une théorie partant également de la convection naturelle des masses d’air et du rôle de la vapeur d’eau tout aussi plausible.
Le principal reproche fait à celle de Bert Bolin et ses collègues du GIEC, et qui a été imposée comme thèse officielle, est qu’elle s’appuie uniquement sur le CO2, qui n’est pas, et de loin, le GES le plus efficient en la matière. Le CO2 vient très loin derrière la vapeur d’eau.
A cause de cela les citoyens sont rançonnés DEPUIS 25 ANS au moyen de diverses taxes dites « carbone » ou « écologique »s qui ne servent en fait qu’alimenter des ONG et associations vertes à la limite de l’idéologie intégriste ou une industrie de renouvelables dont on ne mesure pas encore l’inefficacité dans le domaine de production énergétique. L’éolien par exemple ne produit annuellement qu‘à peine 30 % de la puissance installée a cause de l’intermittence. Voir ce lien https://youtu.be/Hr9VlAM71O0
La France en fait déjà beaucoup plus que la plupart des autres pays en matière de limitation émission CO2 anthropique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_%C3%A9missions_de_dioxyde_de_carbone
D’ailleurs cette lubie est essentiellement européenne et je dirai même limitée à quelques pays France, Allemagne, Suède, Hollande. Le reste du monde à d’autres priorités.
Le réchauffement est factuel. Mais prétendre vouloir agir sur le climat est très prétentieux. Il y a d’autres urgences en matière d’écologie, par exemple la sauvegarde des océans, qui au passage, sont les principaux régulateurs climatiques en jouant le rôle de puits ou d’émetteur de CO2 en fonction de leur température; 50 % du CO2 naturel émis dans l’atmosphérique vient des océans.
Quant au rôle du CO2 je mets en lien cette analyse qui résume bien le doute actuel dans ce domaine: https://www.science-climat-energie.be/2019/02/14/le-rechauffement-climatique-dorigine-anthropique/

Répondre
Casanova 7 mars 2021 - 10:42

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
Lorsqu’on s’attèle à rechercher dans les méandres de ces décisions prises depuis le protocole de Kyoto en 1998, et que l’on s’extrait de la pensée unique développée par le GIEC, et certaines ONG, on voit bien que la lutte contre le CO2 anthropique proposée, n’amènera que de faibles effets.
Plusieurs thèses existent sur l’effet de serre, on en compte une bonne dizaine ;
Le GIEC, a fait de choix d’imposer la théorie radiative, inspirée des travaux de Fourier et Arrhenius au 19 siècle (Le CO2renverrait vers la Terre une partie du rayonnement piégé dans le spectre infrarouge, et il en résulterait une élévation de la température « moyenne globale » à la surface de la Terre..
Notons que La théorie radiative d’Arrhenius, critiquée début 20 siècle par Angstrom, a été souvent remise en question parmi bien des scientifiques dont Robert William Wood qui en démontra en 1909 le caractère erroné de l’explication. Abandonnée pendant 60 ans, elle a été remise au gout du jour dans les années 1970 par Bert Bolin, un des premiers scientifiques…… membre directeur du GIEC
Ce phénomène radiatif improprement appelé «effet de serre » a des défenseurs et des adversaires entre lesquels le débat est souvent impossible.
Exemple la théorie dite adiabatique défendue par Sorokhtin et Al beaucoup plus en phase avec les principes régissant la météorologie. Des physiciens actuels ; Ferenc Miskolczi , Gehrard Gerlich et Ralf. D. Tscheuschner, Richard Lindzen, Roy Spencer, ont une théorie partant également de la convection naturelle des masses d’air et du rôle de la vapeur d’eau tout aussi plausible.
Le principal reproche fait à celle de Bert Bolin et ses collègues du GIEC, et qui a été imposée comme thèse officielle, est qu’elle s’appuie uniquement sur le CO2, qui n’est pas, et de loin, le GES le plus efficient en la matière Le CO2 vient très loin derrière la vapeur d’eau.
A cause de cela les citoyens sont rançonnés DEPUIS 25 ANS au moyen de diverses taxes dites « carbone » ou « écologique »s qui ne servent en fait qu’alimenter des ONG et associations vertes à la limite de l’idéologie intégriste ou une industrie de renouvelables dont on ne mesure pas encore l’inefficacité dans le domaine de production énergétique. L’éolien par exemple ne produit annuellement qu‘à peine 30 % de la puissance installée. Voir ce lien https://youtu.be/Hr9VlAM71O0
La France en fait déjà beaucoup plus que la plupart des autres pays en matière de limitation émission CO2 anthropique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_%C3%A9missions_de_dioxyde_de_carbone
D’ailleurs cette lubie est essentiellement européenne et je dirai même limitée à quelques pays France, Allemagne, Suède, Hollande. Le reste du monde à d’autres priorités.
Le réchauffement est factuel. Mais prétendre vouloir agir sur le climat est très prétentieux. Il y a d’autres urgences en matière d’écologie, par exemple la sauvegarde des océans, qui au passage, sont les principaux régulateurs climatiques en jouant le rôle de puits ou d’émetteur de CO2 en fonction de leur température, 50 % du CO2 naturel atmosphérique.
Quant au rôle du CO2 je mets en lien cette analyse qui résume bien le doute actuel dans ce domaine: https://www.science-climat-energie.be/2019/02/14/le-rechauffement-climatique-dorigine-anthropique/

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charles dressou 7 mars 2021 - 11:50

Impacts du changement climatique : mythes et réalités
Etant intéressé depuis des années par la préhistoire, l’évolution des espèces et des hominidés en particuliers, par les évolutions géologiques et celles des périodes glaciaires et interglaciaires, j’ai toujours eu le sentiment que l’homme était une infime particule de vie errant dans le temps et dans l’espace .
A une échelle plus humaine, avons nous le sentiment que les fourmis et leurs fourmilières ont une influence essentielle sur les évolutions de la forêt, des océans et du climat ?

Nous ne sommes guère plus importants, au regard des dimensions de l’univers et même de la terre.

Essayons d’arrêter de nous regarder le nombril et de nous déifier ou nous sataniser. Ayons pour ambition de nous adapter le mieux possible aux changements de notre environnement immédiat sans nous projeter inutilement dans des décennies avec des modèles réducteurs de cette réalité complexe du futur qui leur échappe.

Ayons la volonté d’essayer de vivre au présent, avec nos possibilités physiques et intellectuelles encore en bon état et le plus en harmonie possible avec notre environnement local et quotidien .

Si nous regardons les évolutions des derniers siècles pour l’humanité, cela semble possible et aucun cataclysme généré par notre bonne terre ou ailleurs dans l »univers ne semble vouloir ( pour le moment) éliminer l’homme de sa surface.

Arrêtons de nous culpabiliser devant des évènements planétaires parfois chaotiques mais sur lesquels nous ne pouvons guère , dans l’état actuel de nos possibilités techniques et scientifiques, influer.

La vie mérite mieux que d’avoir peur de tout et de se réfugier dans un univers virtuel replié sur soi.

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