Une nouvelle fausse accusation de racisme met des vies en danger

Une scène apparemment banale dans un collège privé de Chambéry : arrivée en retard, une collégienne d’origine camerounaise trébuche sur un banc et se blesse en tombant au sol ; elle est immédiatement prise en charge par les pompiers. Jusque-là, rien d’anormal, mais c’était sans compter la réaction de la mère qui a aussitôt dénoncé une agression raciste et relayé ce mensonge sur les réseaux sociaux ; partagé en masse, la situation prend très rapidement une dimension communautaire avec des conséquences dramatiques que dénonce l’avocat du proviseur : « Elle a menti. C’est abominable ce qui se passe. Le proviseur a reçu 300 menaces de mort. La mère a jeté son adresse en pâture. Il craint pour sa famille et craint de finir comme Samuel Paty ».
Cela n’empêche pas de nombreuses personnalités de gauche de sauter sur l’occasion de dénoncer leur habituel mirage d’un racisme de masse envers les populations immigrées. On trouve ainsi le cheminot syndicaliste communiste Nicolas Portes, le journaliste communiste franco-algérien et membre du collectif Adama Taha Bouhafs qui est également un grand diffuseur de l’idéologie indigéniste, et bien entendu, SOS-Racisme dont 87% des ressources proviennent de subventions publiques (plus d’un million d’euros en 2015).