Ceux qui aiment et qui veulent défendre les libertés devraient retenir ce discours du président Trump prononcé le 3 juillet, à l’occasion du 224e anniversaire des Etats-Unis d’Amérique. Celui que (presque) tout le monde – en particulier les médias – voit comme le «diviseur de l’Amérique», a demandé au peuple américain de se rassembler autour des principes fondateurs du pays et des personnalités qui l’ont forgé. «Plus qu’aucune autre nation, a dit avec justesse le Président, c’est l’Amérique qui a fait progresser la condition humaine et le progrès humain». C’est en Amérique que les libertés individuelles ont pu s’exprimer et ont été protégées.
Il a défendu les quatre présidents – Washington, Jefferson, Lincoln, Theodore Roosevelt – dont les statues sont aujourd’hui souillées et déboulonnées par les «progressistes» qui veulent censurer le passé de l’Amérique. Il a insisté sur les attaques menées par ces gauchistes dans le cadre d’une «révolution culturelle» qui veut imposer une idéologie contraire aux idéaux américains et détruire la vraie culture américaine. Des attaques qui ont poussé des universités à changer de nom, des directeurs de journaux à démissionner, des chefs d’entreprise à demander pardon pour des faits «racistes» qu’ils auraient commis… Des attaques qui sont en train d’instaurer une censure de la liberté d’expression si chère à l’Amérique.
Trump a appelé les Américains à repousser ces assauts et à défendre les principes de l’Amérique. Il a ses défauts, il a son caractère, mais il est rare d’entendre des mots aussi justes. Quoi qu’on en dise, Trump est aujourd’hui sans conteste le défenseur des libertés individuelles et du monde libre. Lire le discours.