L’université la plus réputée pour ses cursus juridiques fait sa révolution sous la houlette de son nouveau président, Stéphane Braconnier. Son objectif est clair : remédier aux défauts traditionnels de…
services publics
Parmi les sujets de prédilection des écologistes, on trouve les ordures. Le plastique pollue les océans, il empoisonne les animaux, donc ceux qui les consomment, le recyclage est insuffisant, le…
À la fin du mois de mars, lors de la présentation de son programme à la presse, le président de la République, Emmanuel Macron, a évoqué la transformation de Pôle…
Quand les services publics souffrent de la hausse de la délinquance
A Melun, dans un des quartiers les plus chauds de la ville, les postiers refusent de livrer le courrier aux habitants à cause des dealers qui grouillent à l’entrée des…
SNCF : les grévistes ont refusé des primes de 300 et 600 euros ! De qui se moque-t-on ?
Christophe Fanichet, le PDG de SNCF Voyageurs, était l’invité, jeudi 16 décembre, de l’émission Télématin sur France 2. Il a eu le courage de condamner la grève qui est annoncée…
Plus c’est gros, plus ça passe. Les agents de la fonction publique ont la sûreté de l’emploi, une retraite plus importante que les salariés du privé, plus de congés, et…
De la nécessité d’introduire l’esprit d’entreprise dans les secteurs aujourd’hui publics
Évidemment, parler de coopération au sein de la sphère publique est quelque peu problématique puisque cette sphère se distingue des deux précédentes par la possibilité d’un recours éventuel à la coercition. Pour autant il est difficilement envisageable d’imaginer — au moins pour les quelques décennies ou quelques siècles à venir — une société sans État et, même s’il n’est pas interdit d’imaginer une telle société, mon propos ici sera plutôt d’examiner comment organiser aujourd’hui cette sphère publique de telle sorte qu’elle ne puisse nuire à l’épanouissement des autres formes de coopération.
L’un des piliers d’une réforme libérale est la réduction des dépenses publiques. Mais on ne peut, comme l’ont fait de nombreux « gilets jaunes », réclamer à la fois cette réduction et souhaiter davantage de services publics. Pourquoi d’ailleurs tant de services publics, d’administrations, de fonctionnaires dans notre pays ? C’est, dit-on, parce qu’ils sont indispensables pour produire des biens publics. Je propose de prendre la séquence à l’envers. Existe-t-il des biens publics [[Le concept de bien public n’a rien à voir avec celui de bien commun, ensemble des conditions qui permettent l’épanouissement de l’individu, son accomplissement en tant que personne, au sein de la société. Le bien commun, n’a d’ailleurs rien à voir avec l’intérêt général, dont le théorème d’Arrow a démontré la vacuité. Mais, dans le discours politique, on mêle imprudemment, parfois volontairement, bien public, bien commun et intérêt général : autant de piliers de la « justice sociale ».]] ? La théorie économique n’en repère que très peu – au contraire semble-t-il de la science politique ou juridique. S’il y a peu de biens publics, nul besoin d’autant de services publics ; ils n’existent qu’à titre subsidiaire. D’ailleurs les biens publics doivent-ils être produits par des monopoles publics ? Il va de soi que réduire la sphère des services publics c’est obligatoirement diminuer les dépenses publiques payées par l’impôt et autres prélèvements obligatoires. Je crois donc nécessaire de remonter à la source des dépenses publiques : les biens publics.
La ministre déléguée chargée de l’Autonomie, Brigitte Bourguignon, souhaite déposer un projet de loi sur la dépendance avant 2022. Ce « plan grand âge » aurait pour objectif de maintenir le plus grand nombre possible de personnes dépendantes à leur domicile plutôt que de les envoyer en maison de retraite. Pour autant, est-il nécessaire de légiférer sur le sujet ? « On peut faire beaucoup sur la dépendance sans attendre une loi ». C’est ce qu’explique Sophie Boissard, directrice générale de Korian, entreprise française de gestion de maisons de retraite médicalisées (EHPAD), dans un entretien accordé à L’Opinion. Elle pointe trois solutions qui ne nécessitent pas de nouvelle loi. Au contraire.
« Ma classe à la maison » : le gouvernement va d’échec en échec
Le gouvernement semble avoir inventé un nouveau concept : le pense-bête “ratages”. Rater les tests ? Fait. Rater les masques ? Fait. Rater les vaccins ? Fait. Rater la relance…