A l’exemple de leur opposition sur le gaz de schiste, les socialistes ne veulent même pas de recherche scientifique. Début février, un groupe de sénateurs a déposé une proposition de…
Écologie
Les écologistes devraient être les premiers défenseurs du gaz de schiste. Grâce à l’exploitation du gaz de schiste, les émissions de CO2 ont baissé davantage aux Etats-Unis qu’en Europe :…
La sécurité de l’approvisionnement n’est plus assurée, l’énergie coûtera de plus en plus cher et les émissions de CO2 ne diminueront pas. Ce constat d’échec est fait par Jean Pierre Riou, président de Mont Champot, dont l’IREF reprend l’analyse.
C’est probablement la conclusion à laquelle sont arrivés les 50 scientifiques, journalistes et simples touristes, partis observer la couche de glace en Antarctique sur le navire expéditionnaire MV Akademik Chokalskiy.…
Le tarif de rachat de l’énergie éolienne constitue-t-il une « aide d’État » ? C’est la question que doit désormais trancher le Conseil d’État, après la récente décision de la…
La fiscalité verte, une ruine pour l’économie sans résultats pour l’écologie
L’association Contribuables Associés organise régulièrement des «rendez-vous parlementaires».
Le 10 décembre le thème était celui de la fiscalité verte. Lucas Léger a présenté la position de l’IREF : non seulement la fiscalité verte n’améliore en rien l’environnement mais elle ruine l’économie et l’emploi alors même que son vrai but inavoué est de remplir les caisses de l’Etat.
Sont intervenus :
Christian Gerondeau, ingénieur, Yvan Stefanovitch, journaliste d’investigation, et Lucas Léger, chargé de mission à l’IREF. Le débat fut présidé par Marc Le Fur, député UMP des Côtes-d’Armor et vice-président de l’Assemblée nationale depuis 2007, et animé par Benoîte Taffin, Porte-Parole de l’association Contribuables Associés … Par ailleurs une vingtaine de députés étaient présents.
L’IREF est invité en tant qu’expert aux Rencontres parlementaires consacrées à la croissance verte qui ont lieu le mercredi 27 novembre. C’est une excellente occasion de présenter aux députés et sénateurs qui seront présents, les travaux de l’IREF dans le domaine de l’écologie et de leur rappeler les coûts faramineux engendrés par les différentes politiques menées dans ce domaine.
Ce que l’on constate, c’est l’affichage des bons sentiments. Tous les politiques – de gauche et de droite – se donnent la main pour préserver la planète et encourager le développement durable et la croissance «verte». Toute note discordante est, bien entendu, rapidement condamnée et son auteur qualifié « d’extrémiste irrécupérable ». Le philosophe, Pascal Bruckner, compare ce comportement au «fanatisme de l’Apocalypse». On veut «sauver la Terre», mais on punit l’Homme.
Les travaux de l’IREF sur les emplois verts sont cités par le journaliste Mathieu Quiret dans un article des Echos (27 nov) qui montre les limites et les gaspillages de…
Emplois verts : ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas
Nicolas Lecaussin, Directeur du développement de l’IREF, intervient dans le cadre des 3es Rencontres parlementaires sur la Croissance verte qui ont lieu le mercredi 27 novembre à la Maison de…
Rentabilité, efficacité et pragmatisme sont des adjectifs que l’administration française a depuis longtemps rayés de son vocabulaire. La volonté de réduire les gaz à effet de serre est louable, sauf lorsqu’elle se bute aux réalités économiques, qui sont souvent à contre-courant des objectifs abracadabrantesques de nos gouvernements en matière d’environnement. Ce n’est pas en subventionnant des filières non rentables, en incitant à manger local et/ou biologique et en triant ses déchets que l’on sauvera la planète.
Par exemple, les subventions dans les secteurs éolien et solaire sont des aberrations permettant à de nombreuses entreprises non pas de prospérer mais de survivre. De ce point de vue, notre politique énergétique n’a aujourd’hui aucun sens, et, une fois n’est pas coutume, c’est l’Allemagne qui nous en apporte la preuve. Il nous faut maintenant arrêter de céder aux lobbys et réfléchir à des solutions de long terme et financièrement viables pour faire face aux différents défis environnementaux et énergétiques.