Dans la préface au livre Les Damnés de la terre de Frantz Fanon, Jean-Paul Sartre écrit « Abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre ». Il défend ainsi le meurtre des civils blancs, comme il avait déjà manifesté sa haine envers les anti-communistes et les Américains par de terribles phrases restées célèbres. Au nom du progressisme, le crime est justifié, l’ennemi étant forcément coupable. C’est ce qui se passait dans les dictatures communistes qui avaient mis fin à la justice « bourgeoise ». Les procès n’avaient qu’un seul but, la condamnation des « ennemis du peuple » au nom de l’idéologie du Parti. Se dirige-t-on vers le même système en Occident ? Plusieurs signaux nous inquiètent.
Démocratie
L’extrême gauche chilienne tente de détruire l’un des systèmes de retraites les plus fonctionnels au monde
Le Chili est un laboratoire du libéralisme en Amérique du Sud. Le pays est l’un des plus prospères et dynamiques du continent grâce aux réformes impulsées par les Chicago Boys.…
La loi de bioéthique à l’Assemblée nationale : le bélier de la déconstruction lancé à pleine vitesse
La loi de bioéthique est revenue à l’Assemblée nationale en troisième lecture. Le gouvernement marque sa volonté de faire passer une loi peu plébiscitée. Les Français sont partagés : d’un…
L’absentéisme est un phénomène majeur au sein de l’Assemblée nationale. Le taux de participation des députés aux votes en séances publiques est estimé à 18%, situation en partie due à la surabondance de réunions concomitantes. Autre phénomène regrettable: l’inflation législative. En 2017, l’équivalent de 75 000 pages a été publié au Journal officiel.
Aides aux entreprises conditionnées à des critères environnementaux : Audrey Pulvar s’accommode du principe d’égalité
« Les aides régionales aux entreprises seront conditionnées à des critères environnementaux et sociaux ». Le programme d’Audrey Pulvar pour les élections régionales Île-de-France semble plus démagogique que légalement applicable,…
Éric Piolle, maire de Grenoble, est depuis mardi matin devant la police judiciaire pour soupçons de favoritisme en faveur d’une association. Il aurait confié l’organisation de la Fête des Tuiles…
Catholiques attaqués ou comment l’extrême-gauche rejoue la Commune de Paris
Samedi dernier, le diocèse de Paris organisait une procession en hommage aux victimes de la Commune. Une procession ressemblant à beaucoup d’autres : une dizaine d’enfants de dix ans en…
Le député Laurent Saint-Martin est le candidat de la majorité présidentielle à la présidence de la région Ile-de-France. Les électeurs parisiens viennent de recevoir le programme « Envie d’Ile-de-France » du candidat. De l’entretien insipide du « Francilien d’adoption » en liminaire, on retenait pourtant avec espoir la phrase suivante : « J’apporterais [le conditionnel est utilisé] ma compétence de rapporteur du budget de la France et ma rigueur budgétaire au service de la région ». Pourtant de rigueur budgétaire il n’y en a point au terme de la trentaine de pages qui suivent et des 154 actions prévues. Bien au contraire, toutes les lubies actuelles s’y retrouvent autour de l’écologisme, du féminisme et du jeunisme sirupeux.
Le récent détournement d’un avion civil de la compagnie Ryanair dans l’espace aérien Bélarus est un acte extrême, de la part d’un État. L’avion, qui effectuait un vol Athènes – Vilnius (Lituanie), a été détourné par un appareil militaire Mig-29 qui a obligé l’équipage à se poser en urgence à Minsk, la capitale du Bélarusse. Officiellement, pour cause d’alerte à la bombe. En réalité, le dictateur Alexandre Lukashenko voulait arrêter un opposant politique en exil qui était à bord, Roman Protassevitch. L’avion est d’ailleurs reparti sans qu’aucune bombe soit découverte et avec un seul passager manquant à l’appel, l’opposant politique en question.
L’IREF est fier d’avoir été le premier à publier une chronique sur le livre de Steve Koonin, l’ancien conseiller climat d’Obama qui met en doute la méthodologie et les conclusions…