Fin janvier, peu de temps avant qu’il n’ait commencé à l’Université Georgetown, le professeur Ilya Shapiro a écrit un tweet critiquant le président Biden pour sa promesse de nommer une femme noire à la Cour suprême. Le tweet indiquait que Sri Srinivasan, juge à la Cour d’appel, serait le « meilleur choix », alors que nous aurons probablement à la Cour suprême une « femme noire moins compétente ». M. Shapiro a retiré le tweet et s’est excusé pour son langage « inapproprié », mais la police de la pensée du campus a fait pression sur le doyen William Treanor pour qu’il n’engage plus M. Shapiro dans sa faculté. M. Treanor a interrompu le processus dans l’attente d’une enquête, qui a duré… quatre mois. Finalement, le doyen a accepté M. Shapiro la semaine dernière au motif qu’il n’était pas encore un employé de Georgetown au moment du tweet.
Après que M. Shapiro a lu le rapport de 10 pages du « Bureau de la diversité institutionnelle, de l’équité et de l’action positive de l’école », il a compris que lors d’un prochain « écart », il serait renvoyé. Le risque est trop grand. Si un étudiant ou un professeur prétend être offensé par une déclaration du professeur, cela déclencherait immédiatement une autre enquête. Il a donc préféré abandonner son poste avant même de commencer.
Le problème c’est que le doyen, M. Treanor, n’a pas jugé bon de demander une enquête sur le professeur Josh Chafetz de la même faculté qui, le mois dernier, a tweeté son soutien pour ceux, pro-avortement, qui manifestent devant le domicile des juges de la Cour suprême : « Lorsque la foule a raison, certaines tactiques plus agressives (mais pas toutes !) sont justifiées ». Les purges ne visent que les universitaires de droite…
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Voilà un bel exemple du fonctionnement de tous les « occidentaux ». Il serait de bon ton de reprendre au plus vite notre souveraineté avant l’hécatombe générale du « monde occidental », vous savez celui qui détient la vérité planétaire.