Dès qu’une banque – surtout si elle est américaine – annonce des pertes, les hérauts de la régulation financière se mettent à crier au loup. Les pertes de 2 Mds de dollars annoncées par la banque JP Morgan leurs ont offert une nouvelle occasion. C’est ce qu’ils ont vu. Mais ce qu’ils n’ont pas vu c’est le fait que les 2 Mds de dollars représentent moins de 0.5 % du portefeuille d’une banque qui n’a pas été touché par la crise bancaire de 2008.
JP Morgan : c’est grave, docteur ?
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