Institut de Recherches Economiques et Fiscales

Faire un don

Nos ressources proviennent uniquement des dons privés !

anglais
Accueil » Lettre ouverte de Nicolas Sarkozy à l’Agence Standard & Poor’s

Lettre ouverte de Nicolas Sarkozy à l’Agence Standard & Poor’s

par
106 vues

Ne sachant comment rendre confiance aux marchés financiers, le Président Sarkozy aurait adressé une lettre très documentée à l’agence de notation Standard & Poor’s. Notre Institut a pu se faire une idée du texte de cette lettre, qui fait d’ailleurs référence aux propositions présentées par l’IREF depuis quelques mois.

Monsieur le Directeur,

Le 5 décembre dernier, vous avez annoncé que le triple AAA de la France était sérieusement menacé. La perte de la note aurait des conséquences dramatiques pour l’économie du pays et, je le reconnais volontiers, affecterait énormément mes chances de réélection en 2012. C’est pour cela que j’ai décidé de prendre toutes les mesures possibles afin d’empêcher la dégradation de la note du pays que je dirige depuis presque cinq ans.

Il est vrai, je n’ai pas saisi la chance de réformer la France en profondeur dès 2007, de faire « la rupture » comme l’avaient demandé ceux qui m’ont élu. Mais il n’est jamais trop tard. Afin de vous convaincre, j’ai choisi de ne plus demander conseil aux énarques de mon cabinet ou aux inspecteurs des finances de Bercy mais de m’appuyer sur les propositions de l’Institut de recherches économiques et fiscales (IREF).

Ainsi, 7 (sept) mesures immédiates seront adoptées par la France :

1. Nous allons élaborer un contrat quinquennal de baisse de la dépense publique de 150 milliards d’euros – soit 30 milliards par an . L’effort collectif que cela représente nécessite d’atteindre le plus grand consensus possible, comme les Allemands ont su le faire.

2. Nous allons privatiser pour alléger la dette . Les participations de l’Etat dans les entreprises publiques représentent encore plus de 100 Milliards d’euros, c’est-à-dire un seizième de notre dette souveraine.

3. Nous allons supprimer la plupart des niches fiscales. Leur suppression est d’ailleurs avant tout affaire d’équité avant d’être un impératif financier. Car toute niche est un privilège accordé à quelques-uns au détriment de tous les autres. La perte de ce privilège sera largement compensée par la refonte de la fiscalité directe dont la progressivité sera fortement diminuée. Au total, les niches supprimées rapporteraient environ 100 milliards d’euros au budget de l’Etat.

4. Nous allons simplifier le système fiscal français au travers de trois principes :

Moins de progressivité : pour l’impôt sur le revenu, le nombre des tranches de revenu sera réduit à deux, avec des taux respectifs de 15 % au dessus de 8.000 € et de 2% en deçà (assorti d’exonérations de charges). La baisse des taux sera plus que compensée par la croissance des revenus induite.

Plus de double imposition : les impôts sur le patrimoine, sur les sociétés et sur l’épargne doivent être supprimés puisque les contribuables ont déjà payé l’impôt sur le revenu.

Plus de discrimination : la TVA sera perçue à un taux unique de 20 % pour toutes les sortes de transactions, le taux sera ramené à 17 % dans un délai de trois ans.

Je vous propose une estimation globale chiffrée de ces seules réformes fiscales. Je me méfie des chiffrages, mais celui-ci a été élaboré par l’équipe de l’IREF à partir d’une méthode mise au point par Monsieur Thomas Piketty, économiste officiel du Parti Socialiste – ce qui vous prouve le caractère scientifique de ma lettre et le consensus qui règne actuellement en France.

Impact estimé des réformes fiscales sur le budget de la France 2012 (en milliards d’euros)

Niches fiscales et sociales : + 80

Impôt sur le revenu : + 2,5

TVA : + 4

Impôt sur les sociétés : – 14

ISF et bouclier fiscal : – 3,4

Total : + 69,1

Je crois pouvoir dire que nous sommes en dessous de la réalité : les surplus financiers attendus de l’application de ces trois principes seraient de l’ordre d’une centaine de milliards d’euros.

Ces surplus de recettes pourraient alors servir au désendettement, à une baisse des charges sociales, en particulier par la prise en charge par la collectivité des coûts liés à la solidarité nationale : allocations familiales, prise en charge des non-assurés, etc. Mais surtout, la simplification des régimes fiscaux et sociaux permettrait de redynamiser une économie structurellement atone depuis trop longtemps.

5. Nous donnerons la priorité absolue à la flexibilité du marché du travail , nous inspirant des lois Hartz mises en place par le chancelier Gerhard Schroëder au début des années 2000 et restaurant la liberté des contrats de travail.

6. Nous allons réserver le statut de la fonction publique au personnel assurant des missions régaliennes de défense, police et justice . Les autres fonctionnaires seront soumis à des contrats de droit privé.

7. Nous sommes conscients que notre système de retraites et d’assurance maladie ne peuvent plus survivre. Les déficits se comptent en dizaines de milliards d’euros. Nous avons donc décidé de passer à un système de retraites par capitalisation comme cela existe d’ailleurs dans de nombreux pays, et même en France (pour les fonctionnaires nationaux et territoriaux, les sénateurs…). Notre système de santé qui devient de plus en plus coûteux sera progressivement ouvert à la concurrence et les Français bénéficieront d’un Compte santé individuel pour pouvoir s’assurer à la Caisse de leur choix. Nous serons ainsi en conformité avec les directives européennes que nous avons ignorées soigneusement depuis 1992.

Voilà quelques-unes des mesures que je compte prendre dans les jours et les semaines qui suivent. Si je suis réélu, d’autres suivront, concernant en particulier l’Education Nationale, coûteuse et inefficace, qu’il faut soumettre à un régime de concurrence et d’autonomie. De même, les droits et obligations des syndicats doivent être totalement revus, pour revenir à une représentativité minimale et amorcer un vrai dialogue au niveau des entreprises.

Mais je pense que les propositions budgétaires évoquées, qui peuvent rapporter déjà à l’Etat plus de 400 milliards d’euros, suffiront pour garder à la France son triple AAA.

Nicolas Sarkozy

Président de la République française

Pcc : Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’IREF, Maître Jean Philippe Delsol & Professeur Jacques Garello, administrateurs de l’IREF.

Abonnez-vous à la Lettre des libertés !

Vous pouvez aussi aimer

Laissez un commentaire

49 commentaires

Anonyme 8 décembre 2011 - 4:56

Le programme qu’il nous faut
Puissiez-vous être écouté, entendu et surtout que le programme soit exécuté.

Répondre
Anonyme 8 décembre 2011 - 10:17

15% pour 8000€
Bonjour,

C’est peut-être le programme qu’il vous faut, si vous en avez les moyens.

Si tous ceux qui gagnent plus de 8000€ par an payent 15% en impôts en plus d’une TVA à 20% (soit 35%) je pense qu’un gros problème va se poser !

Quant à la mise des fonctionnaires sur le régime du droit privé, ils seront très rapidement dans la rue et il ne restera qu’à tous remettre comme avant.

Le seul but de cette réforme est de rendre les pauvres plus pauvres, épuiser les classes moyennes, de casser le système social, enfin ce qu’il en reste, le tout pour le plus grand profit du capitalisme.

Le président a peur pour sa réélection, même le triple A ne me fera pas voter pour lui.

Salutations

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 11:02

N’importe quoi.
Le capitalisme prospère depuis des décennies et sur quoi ? Sur l’Etat-providence. Parce qu’il faut emprunter toujours plus sur les marchés financiers. Qui avancent l’argent moyennant des taux d’intérêt usuraires ? Les capitalistes. Donc chaque fois que la CGT est descendue dans la rue ces dernières décennies, les capitalistes se sont frottés les mains.

En revanche, les libéraux, ceux qui préconisent plus de liberté pour les entreprises, moins d’Etat budgétivore et clientéliste, ont dû passer à la caisse.

Quant à vos acquis sociaux… Ils ont filé en Chine. Les travailleurs y ont de plus en plus de droits, vous en aurez de moins en moins. Il fallait y penser avant de détruire les industries qui « exploitaient les travailleurs ».

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 7:55

Non Mosieur, le capitalisme
Non Mosieur, le capitalisme est la propriété des moyens de production. Vous confondez maladroitement avec le système de Bâle I et II qui par le système des réserves obligatoires permettent aux banques de créer le crédit à partir de rien et de se faire rémunérer un taux d’intérêt sur les prêts. Les taux ne sont pas usuraires car vous empruntez actuellement autour de 4 % les taux usuraires sont supérieurs à 20 %.

Pour les emplois industriels détruits sur la période 1980-2007, ils sont au nombre de 1 913 400 et « la part provenant de la substitution de la production domestique par des importations associée à la perte de compétitivité internationale de l’industrie représente pour sa part 13 % » soit un total de 248 700 ou encore 9200 par an sur une population active d’environ 26 337 800 ou 0,03 % (site INSEE : Le recul de l’emploi industriel en France entre 1980 et 2007 – Ampleur et principaux déterminants : un état des lieux – Lilas Demmou*).

Encore des âneries colportées sans vérification préalable.

Amicalement

Répondre
Anonyme 14 décembre 2011 - 3:53

Si môssieur.
Je pense que vous n’avez pas tout saisi, en conséquence de quoi vous pouvez vous appliquer votre propre conclusion. Je connais le taux usuraire, mais j’estime qu’en créant de l’argent ex-nihilo et en le prêtant à des Etats qui ne peuvent faire faillite, même 4% devient usuraire.

Quant au capitalisme il s’étend au-delà des moyens de production bien entendu, et sans doute de votre compréhension également.

Pour le reste, on voit que vous n’avez jamais fait d’affaires en dehors de l’hexagone.

Continuez à ne pas réfléchir, le pays ne s’en portera que mieux.

Anonyme 10 décembre 2011 - 5:44

reformes
Et bien chiche ,

je suis à plus de 8000€ , cela va être dure , mais il y à d’autre propositions bien indispensables.

Fonctionnaires dans la rue oui chiche!!

Du chaos renaitra la vie.

Chacun à ce compte là comprendra que gérer les comptes publiques en bon père de famille est salutaire pour tous.

R.L

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 8:28

merci
je remercie l’auteur de ce commentaire qui fait chaud au coeur. J’ai l’impression que ce site et ces propositions ont pour seul intérêt l’argent et la mise à l’index des pauvres qui seraient le problème. Dois-je rappeler que cette crise nous vient d’une folie spéculative orchestrée par les plus riches de cette planète et que si cette classe ne se remet pas en question, notre monde ira à sa perte et les riches n’ont pas une deuxième planète pour les accueillir. Je demeure persuadé que seul l’amour la solidarité, la fraternité peuvent assurer un avenir à notre belle planète bleue

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 7:47

Vous ne pouvez pas écrire que
Vous ne pouvez pas écrire que la crise provient d’une folie spéculative, ceci est erroné. Cette crise provient des prêts subprime imposés par le président Bill Clinton, donc de l’interventionnisme d’Etat pour que les sans le sou puissent accéder coûte que coûte à la propriété immobilière, ainsi le Community Reinvestment Act, loi de Bill Clinton qui obligeait les banques américaines à prêter environ 20 % de leurs encours de prêts immobiliers aux populations ethniques « sans revenu, sans travail, sans argent » dénommés prêt NINJA aux USA (no income, no job, no asset). Ces emprunts ont été refinancés par des structures étatico-privées comme seuls les politiciens savent en construire, les nommées Fannie Mae et Freddy Mac qui ont eu à recycler environ 5 400 milliards de $ de prêts avec une garantie de l’Etat fédéral américain implicite. A cette crise s’est ajoutée celle de la folie interventionniste de nouveau avec N Sakozy sur le pont d’Arcole, « suivez-moi dans la dépense publique, ils vont voir ce qu’ils vont voir… »S’il vous plait ne dite plus ces âneries que vous avez entendu sur radio trottoir, documentez-vous préalablement.

Amicalement

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 5:06

le vrai responsable
Tout à fait d’accord avec ce commentaire. Il faut savoir où sont les vrais responsables avant d’agir au bon endroit! Sans dette, il n’y a pas de spéculation: c’est donc la folie redistributrice et accumulatrice de dettes qui est le problème, et les agences de notation ne sont qu’un thermomètre, qui ne servira plus à rien quand nos dettes seront revenues à un niveau normal c’est à dire, en relation avec notre capacité de remboursement. Un peu de bon sens dans ce bas monde serait utile!

Anonyme 12 décembre 2011 - 6:50

Les pauvres : Le problème ?
Vous avez raison. C’est bien les pauvres qui posent problème. Il faudrait en supprimer un maximum. Comment ? En leur permettant de s’enrichir !

Actuellement, beaucoup de d’hommes politiques font des pauvres leur fond de commerce. La baisse de la pauvreté est vraiment le cadet de leur soucis.

Le XIX siècle, siècle le plus libéral en France, a vu la plus extraordinaire migration sociale : de l’extrême pauvreté vers une richesse accru de l’ensemble de la population. Disparition des famines endémiques.

Le plus formidable des progrès sociaux est la progression de la richesse de la population : Eau courante, maison chauffée, véhicule, moyen de communication, accès à la connaissance, soins …

Tout ces progrès sont dus uniquement à l’économie de marché, et à ce que certains appellent le capitalisme.

Enfin, si vous allez au fond des choses, vous constaterez que la crise est dû à la dette irresponsable des états. Que des banquiers en aient profité, c’est vrai. Mais c’est par excès d’étatisme, et non de libéralisme que cela a été rendu possible. L’excès de règlementation crée des privilèges dont seuls certains profitent, au détriment des autres. Avec toutes la cohorte de subventions payée avec l’argent des contribuables.

Quand l’état veut s’occuper de tout, il abandonne sa fonction principal qui est de permettre au plus faible d’avoir les mêmes droits que le plus fort (pas plus de droit, les mêmes).

Les premiers (et les seuls) a dénoncer depuis très longtemps la dette publique et l’usage inconsidéré de la planche à billets sont les libéraux.

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 10:43

15 % dés 8000 €/ an
Monsieur anonyme gagne peut-être plus de 8000 €/an ! c’est donc peut-être un membre d’un des syndicats qui se distinguent en immobilisant le pays et en contribuant ainsi à sa ruine ? ou un député…ou même un sénateur ??

Je pense au contraire que Monsieur SARKOSY peut se repentir de n’avoir pas fait grand chose de bon depuis son élection à la Présidence de l’État !

Mais au train où vont les choses je pense aussi que Monsieur Hollande en fera encore moins!

Donc plus de AAA et la France ne pourra plus emprunter pour payer ses fonctionnaires et ceux-ci se retrouveront quand même dans la rue… comme les fonctionnaires grecs…entre autres!

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 8:26

Il y a longtemps que ces
Il y a longtemps que ces modifications auraient dut être faites.

Pour ce qui est des fonctionnaires, ils sont toujours dans la rue pour un oui et pour un non.

Il faut agir comme l’a fait la Suede et tres rapidement.

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 7:39

Rectificatif, soit 8000
Rectificatif, soit 8000 *(20%-19,60%) = 32 € pour la TVA, en ce qui concerne l’impôt sur le revenu documentez vous sur la flat tax et vous comprendrez bien vite.

Vous colportez des poncifs qui vous sont inculqués à chaque instant par la classe politico-médiatique, affranchissez-vous et vous découvrirez que « les pauvres plus pauvres » sont entretenus dans cet état, par le système de l’Etat-providence qui ruine le pays.

Répondre
Anonyme 9 décembre 2011 - 1:17

le programme qu’il nous faut
On peut toujours rêver. Il n’y a pas la moindre chance, hélas, que le début d’un commen,cement d’application d’un tel programme voie le jour…

Répondre
Anonyme 9 décembre 2011 - 9:57

8000€
8000€ : 12 = 666.66€ / mois

15% d’impôts

6800€

soit 566.66€ par mois

rajoutez une pincée de 20% de TVA…

à l’IREF, on vit sur une autre planète …

merci pour vos calculs savants et arrêtez de fumer la moquette !

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 7:37

la TVA est déjà payée à 19,60
la TVA est déjà payée à 19,60 %, le différentiel est de 40 points de base, ce qui représente une hausse de 2,04 %. De toute manière c’est le consommateur final qui paie toujours, il est incompréhensible que certains ne comprennent pas cela, c’est basic de chez basic. Il faut donc impérativement éviter la captation de la richesse par l’Etat et ses administrations et la laisser à la disposition de ceux qui la produisent.

Pourquoi l’impôt sur le revenu ne devrait-il être réservé qu’à une moitié de la population et de manière progressive et pas à l’autre ? Pourquoi certains touchent la prime pour l’emploi payée par d’autres et pourquoi chacun ne paierait-il pas sa quote-part des infrastructures dont il use de manière équivalente avec les autres ? Il s’agit d’équité fiscale.

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 4:15

lettre ouverte de m.le Président à l’Iref
au fou ! après avoir claqué 500 milliards en 5 cinq ans, voilà qu’il se rend compte de l’inutilité des énarques et autres conseillers et voudrait nous faire croire avoir trouvé, grâce à l’IREF, des pistes pour solutionner les nombreux problèmes financiers de la France. Ce monsieur n’écoute personne que lui même ! Augmenter impôts (pour les classes « moyennes » à 8000€/an ! et faire passer la TVA à 20% ! n’importe quel idiot peut faire cela et en plus, suprème culot suprimer l’ISF et les taxes sur les sociétés ! celles où les PDG émargent à plusieurs millions par an !!! au fou !!!!

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 7:35

Les 500 milliards de dettes
Les 500 milliards de dettes que vous évoquez ont permis de payer la redistribution sociale que la richesse nationale créée chaque année ne permet plus de financer.

Le rapport La Culture financière des Français d’octobre 2011 du Crédoc, a été très dur sur les Français et leur compréhension de la finance mais celle de l’économie est encore pire. Cet anonyme aurait besoin de faire l’effort de s’instruire et ainsi comprendre que la création des richesses passe obligatoirement par l’entreprise et que la taxer à plusieurs niveau accroît son prix de revient d’autant et la rend moins compétitive que ses concurrentes, souvent étrangères, et qu’en final, le revenu du salarié s’en trouve d’autant amputé. CQFD

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 11:58

500 milliards
quel charabia ! une dette est une dette. Commencer l’année budgétaire par un déficit croissant reconduit d’années en années ne peut que mener dans le mur. Si les particuliers gèraient leurs finances de cette façon nous serions champion du monde dans la catégorie des surendettés. S’il faut faire ceinture, alors tous doivent le faire. Arrêtez de galvauder le mot « social » pour s’en sortir il faut travailler et pas attendre que les aides tombent du ciel. Il faudrait aussi rester français et stopper cette immigration porteur de toute la misère du monde. Faire travailler nos chômeurs en les motivants sérieusement. Mais tout le monde il est bon, gentil et con, alors continuons comme cela.

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 5:23

au fou
Bien d’accord avec vous, le fou c’est lui. Mais je suis persuadé qu’il est du bon côté de la barrière et qu’il profite allègrement des avantages du système redistributif sans en « branler » une! Mais ces temps là sont maintenant révolus, enfin!

Répondre
Anonyme 9 décembre 2011 - 7:30

Bravo

je me permet simplement
Bravo

je me permet simplement de rajouter une sugestion faire appel à l’épargne nationale, en lancant un emprunt d’état avec un taux inférieur au cours international mais compensé par une armistie sur l’origine des fonds et/ou des crédits d’impots

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 9:10

Proposition
Je ne crois pas qu’il réformera les fonctionnaires une fois élu ou sinon avec des compensation si énormes que tous le bénéfice escompté sera réduit de plus de la moitié. Il ne parle pas des élus qui se gavent et ne veulent même pas baisser leur salaire de 10%, avec tous les avantages qu’il ont en plus…

La réforme principale à faire serait de supprimer le droit de réélection au président de la république tout en portant la durée à 7 ou 10 ans de façon que le programme de son élection soit réalisé avec la possibilité de le déchoir en cas de non exécution.

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 10:44

lettre de Sarko
Sachant que comme dans les entreprises, l’ordinateur a aussi eu pour effet de remplacer beaucoup de postes à faibles valeur ajoutée dans l’administration, le plus important pour se désendetter n’est pas de chercher plus d’argent dans les poches des français consommateurs, mais de diviser par 5 le nombre de fonctionnaires de tous ordres, et le plus rapidement possible. Et si blocage faire intervenir l’armée. Il en va du salut public.

C’est le seul moyen de redresser nos comptes, mais pour comprendre, il faut évidemment ne pas être dans le monde virtuel du journalisme ou de l’éducation nationale

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 11:30

Pour être capitaliste vos
Pour être capitaliste vos propositions le sont,l’individu est toujours oublié,le plus fort sera toujours le gagnant.

Ou est la solidarité entre les riches ,les moins riches et les pauvres.

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 7:33

Le capitalisme est la
Le capitalisme est la propriété des moyens de production, soit les moyens de production sont entre les mains des personnes physiques soit dans les mains de l’Etat. Et Lénine de rajouter dans L’Etat et la Révolution : « Tandis que l’Etat existe, pas de liberté ; quand régnera la liberté, il n’y aura plus d’Etat.» Dans les deux cas l’individu n’est jamais oublié, en effet dans le cas où l’Etat est le propriétaire des moyens de production il redistribue le profit s’il existe au peuple (cas de l’ex URSS, Cuba, Corée du Nord), et bientôt de la France puisque nous avons dépassé les 56 % de la richesse nationale en redistribution, on ne peut pas dire que l’individu est oublié ou vous avez un mauvais effet d’optique. Dans l’autre cas que nous n’avons jamais connu, il est bien tentant d’espérer qu’il advienne puisque les individus pourraient enfin disposer de la richesse qu’ils produisent, certes de manière inéquitable, mais qui pouvons nous il y aura toujours des gens plus intelligents et plus travailleurs, d’ailleurs dans les deux systèmes.

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 12:22

réponses…
je n’ai jamais demandé à recevoir vos lettres…cependant, je les lis parfois et même, je donne parfois mon avis….qui n’est pas forcément publié…la censure est vraiment ridicule…

sur votre article, après avoir calculé les impôts, quand on gagne 8000€ / an….on arrive à à peine 570€ /mois…

vos articles « bienfaisants » s’adressent à qui ? et je finirai comme dans mon courrier précédent non publié, car censuré !….arrêtez de fumer la moquette et revenez sur la planète du peuple ordinaire.

merci

catherine sirben, fonctionnaire de l’éducation nationale depuis 25 ans.

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 7:31

aux derniers
aux derniers commentaires:

D’après le barème de l’impôt sur le revenu de la Loi de finances pour 2012, un revenu net fiscal de 8 000 € annuel entraîne un impôt de 112 €. Tranche de 5963 à 11896 taxée à 5,50 %, ensuite de 11896 à 26420, tranche taxée à 14 %

Pour le passage de 8000 €, il y aurait lissage pour éviter l’effet de seuil pour éviter ce que vous signalez.

Le plus haut revenu français est de 13 millions soit avec un taux à 15 % 1 950 000 €. Alors qu’aujourd’hui il peut ne pas payer d’impôt grâce à certains dispositifs législatifs fiscaux incitatifs en contrepartie d’investissements, expression transformée en « niche fiscale » par la plus nulle des ministres de l’économie que la France ait jamais eu, Mme Christine lagarde.

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 4:57

A la fonctionnaire de l’EN depuis 25 ans
C’est à vous de revenir sur terre dans le vrai monde de la concurrence et de l’efficacité, et d’arrêter de fumer la moquette. Savez-vous comment est gagné l’argent qui vous est payé tous les mois par l’Etat? Par ceux qui triment et prennent des risques quotidiennement pour créer des richesses dont vous n’avez aucune idée de la difficulté à les générer! Connaissez vous l’angoisse du chef d’entreprise qui tous les mois se pose la question de savoir comment il va pouvoir payer ses salariés? Les mesures proposées sont mises en oeuvre avec succès dans de nombreux pays, beaucoup plus efficaces que nous! Sortez un peu de votre aveuglement et de votre bulle! Quand vous aurez un contrat de droit privé et que vous serez mise en concurence avec d’autres écoles et enseignants plus efficaces que vous, la planète EN changera en bien. Et ne dites pas que l’école devient payante: avec les économies faites , on peut tout financer avec des chèques éducation pour chaque famille. Vive la concurrence et halte à la gabegie administrative et syndiquée!

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 2:18

Réforme fiscale
2 tranches d’impôt à 2 et 15%.

si je déclare 7980 €, je paierai 160€ d’impôt.

Si je déclare 300€ de +, soit 8010€, je vais devoir 1201€.

ça fait cher les 300€ supplémentaires.

Il vaudrait mieux avoir plus de tranches, avec des écarts d’imposition plus faibles.

JH11

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 11:42

tranches
Il n’y a que la 2è tranche qui est à 15% et pas le tout. Donc 2% sur 7980 et 15% sur 300, ce qui fait 160 + 45 = 205

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 5:54

Methode de calcul equitable
Si c’est par tranche, cela veut dire:

jusqu’à 8000 € une taxation de 2%, et au delà de 8000 € la taxation serait de 15%

Pour 10000 €:

8000 € = 160 €

10000-8000=2000 € à 15% soit 300 €

Total pour 10000 € = 160 + 300 = 460 €

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 4:37

Lettre ouverte de Monsieur Nicolas Sarkosy
Si ces réformes étaient appliquées, il ferait à nouveau bon vivre en France.

Puissiez-vous tenir parole.Vous pourriez alors, être considéré Monsieur Sarkosy comme le meilleur président de la cinquième république.

Répondre
Anonyme 10 décembre 2011 - 7:43

alors je vote pour
l’enfance de l’art. tout est dit. une fiscalité simple. une égalité de traitement. la liberté de travailler et créer de la richesse. Le choix de sa politique de vie sécuritaire ou consommatrice (privilège réservé aujourd’hui aux fonctionnaires). Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement.

Alors votons ce programme simple et appliquons le !

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 4:43

Faisons le enfin
Je vote pour aussi évidemment! Tout ceci aurait dû être mis en place dès les 100 jours en 2007, ce pour quoi nous avions tous voté! Les faits sont tétus et se vengent maintenant! Il faudra faire en urgence, mais il n’est jamais trop tard pour bien faire!

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 9:27

Quel beau cadeau de Noël nous
Quel beau cadeau de Noël nous faites-vous là, Monsieur le Président ! Nous l’aurons attendu bien longtemps, mais, tout vient à point… comme dit le proverbe.

C’est bien emballé ; bien ficelé ; et Tout y est.

Le seul truc : Comment ferez-vous pour assurer la transition entre le système de retraites par répartition actuel (les actifs cotisent pour les retraités) et celui par capitalisation (les actifs cotiseront pour leur future retraite) ?

Ne me dites pas que vous allez lancer un grand emprunt pour financer ça : vous gâcheriez tout !

Trouvez une bonne idée de plus et, allez, Yapluka.

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 10:21

réduire ladépense publique
Jacques MARSEILLE avançait 110 milliards gas-PILLÉS + 34 milliards au titre de l’immigration….près de 150 millliards annuels volatilisés;

la dette coûte autant que le bénéfice de l’IRPP ….

la dette coûte 40% des 110 milliards gaspillés , mais encore 1/3 de mon total gas-PILLÉ….

les cadeaux aux immigrés « facilitent » la hausse du taux de chômage ; avec ou sans papiers , ils ont droit à l’allocation provisoire d’attente (APA) : quel coût ? quel encombrement des CAF ?

ils encombrent les cliniques et hôpitaux , les urgences…..les cabinets médicaux….

au final ces dons sans notre accord , donc spoliation , épuisent la nation française , ce à quoi Sarkozy ne veut pas remédier

des mots , toujours des MAUX supplémentaires en faisant le contraire de ce qui est dit aux micros des médias….

La corruption endémique nous place à mon sens dans les tout premiers rangs mondiaux

mais la gauche va-t-elle permettre de rétablir une meilleure cote emprinteuse de la République française ? Hollande n’en prend pas le chemin et ses potes avec une dépense annoncée accrue , mais à quel prix pour les Français ????

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 8:58

immigration sujet tabou
L’immigration massive avec toutes ses conséquences ,chiffrables pour les unes, et inchiffrables pour les autres,c’est le grand fléau de notre pays.

Répondre
Anonyme 11 décembre 2011 - 8:33

Mettre l education nationale dans le privée ?
L’école, ce n’est pas un service régalien. L’école deviendra payante ? Les profs à pole emploi ! Super programme, c’est vrai que seulement les fils et filles de riches meritent de faire des études.Ils sont plus beaux, plus intelligents et ils se reproduiront entre eux. Attention aux tares génétiques…

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 11:33

Ecole = fonction régalienne ?
Bonjour,

L’école est déjà payante : vous ne vous en rendez pas compte parce que son financement est assuré par l’impôt qu’on vous prélève.

Je ne vois pas en quoi mettre en concurrence l’école serait un risque de moins bonne qualité de l’enseignement (faire pire que le système actuel serait difficile), et/ou un risque de sélection des élèves par l’argent. Avez-vous déjà entendu parler des chèques éducation (utilisés dans bien d’autres pays) ?

Par ailleurs, les profs n’iront pas à Pole Emploi bien longtemps : ils seront recrutés par les établissements privés. C’est vrai que les incompétents risqueraient de se faire virer, mais après tout, ce n’est que normal. Il s’agit quand même de l’avenir de nos enfants.

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 4:40

privatisation de l’EN
Vous êtes tellement aveuglé par vos préjugés que vous en devenez pathétique avec vos remarques imbéciles! Il s’agit de donner un chèque éducation à chaque famille pour chaque enfant (l’école ne sera donc pas payante!)et de donner aux enseignants un contrat privé, comme tout travailleur salarié en France, avec les mêmes droits et devoirs et qui se fait virer s’il est mauvais, et pas de retraites spéciales et autres avantages indus. Chaque établissement étant responsable de ses résultats sera libre d’embaucher qui il veut et les parents choisiront bien sûr les « bonnes écoles » avec les « bons profs », comme dans la vraie vie (il est vrai que la concurrence, mère de toute qualité, vous ne connaissez sans doute pas, mais ça vous fera du bien!) et paieront, sans sélection d’origine des élèves, avec leur chèque éducation. D’autres pays utilisent ce système, qui sera de toute façon plus efficace et moins cher que l’actuelle gabegie de l’EN avec ses résultats en dessous de tout. Le rôle de l’Etat se limitera à contrôler le système et à définir les programmes (nationaux évidemment)et les examens et concours. Imaginez l’économie en fonctionnaires inutiles au Ministère!

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 6:15

Education payée par les plus pauvres
Contrairement à ce que vous semblez croire, le système actuel fait payer aux plus pauvres l’éducation des plus riches.

L’université gratuite(?), est en réalité payée par l’impôt. Donc, ceux qui commencent à travailler à 16 ans (et ce ne sont pas les plus riches) financent les études des plus riches (ce sont les enfants de cadre et cadre-supérieurs qui fréquentent le plus les universités).

En revanche, si les études sont payantes, avec bourses pour les plus méritants et crédits étudiants pour les autres, cela fait payer à ceux qui en bénéficieront, le prix de leurs études. Études qui déboucheront sur des emplois mieux rémunérés. Il n’y a ainsi plus de discrimination par les moyens initiaux des parents, mais par les moyens futurs des étudiants. Cela s’appelle l’égalité des chances.

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 6:30

Education payée par les plus pauvres
Contrairement à ce que vous semblez croire, le système actuel fait payer aux plus pauvres l’éducation des plus riches.

L’université gratuite(?), est en réalité payée par l’impôt. Donc, ceux qui commencent à travailler à 16 ans (et ce ne sont pas les plus riches) financent les études des plus riches (ce sont les enfants de cadre et cadre-supérieurs qui fréquentent le plus les universités).

En revanche, si les études sont payantes, avec bourses pour les plus méritants et crédits étudiants pour les autres, cela fait payer à ceux qui en bénéficieront, le prix de leurs études. Études qui déboucheront sur des emplois mieux rémunérés. Il n’y a ainsi plus de discrimination par les moyens initiaux des parents, mais par les moyens futurs des étudiants. Cela s’appelle l’égalité des chances.

Répondre
Anonyme 21 décembre 2011 - 7:54

RE
Trop de profs, trop de fonctionnaires qui profitent du système, trop payés et en plus qui font grève!!!! la réalité c’est ça qui tue la France, c’est le nombre de personnes que l’ont payent a rien faire et qui empêchent de créer de l’emploi. Alors je pense qu’il faut arrêter avec les riches, les chefs d’entreprises, s’ils sont là ou ils en sont, c’est que c’est mérité, ils ne finissent pas a 17h et ne commence pas à 9h, bien souvent ils ne profitent pas de leurs familles et n’ont qu’un seul jour de repos et très peu de vacances.

Bonne réflexion

P.S : quand on ne se plait plus dans un endroit, les plus gênés s’en vont.

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 10:26

Cette lettre est sûrement un hoax, un canular
Cette de lettre de Sarko est certainement un canular ! On y trouve des phrases impossibles comme : « affecterait énormément mes chances de réélection en 2012″,  » je n’ai pas saisi la chance de réformer la France en profondeur dès 2007, de faire « la rupture » comme l’avaient demandé ceux qui m’ont élu »,  » j’ai choisi de ne plus demander conseil aux énarques de mon cabinet ou aux inspecteurs des finances de Bercy mais de m’appuyer sur les propositions de l’Institut de recherches économiques et fiscales (IREF) !!!

Quant au reste c’est exactement le programme qu’on lui demande et qu’il n’exécutera jamais car ce serait la fin de l’oligarchie des hauts-fonctionnaires qui l’a poussé au pouvoir pour la protéger et le soutient constamment.

M. Lecaussin, vous vous êtes fait avoir. Vous devriez vérifier qui est l’émetteur réel de cette lettre !

Jean-Philippe de Lespinay

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 12:49

Il manque à la France une
Il manque à la France une seconde nuit du 4 août, car le patrimoine des français provient essentiellement de l’héritage qui donne le pouvoir ! et les droits se succession sont très faibles en France. J’aime les « libéraux » qui clament, à juste titre d’ailleurs, que le meilleur gagne ! sauf que l’inégalité hurlante française fait que la plupart des entreprises françaises, y compris celles du CAC 40, sont détenues par un héritier, et non par une personne qui aurait fait ses preuves. La réalité aux USA est différente. Mais voilà, je lis dans cet article qu’il ne faut pas taxer le patrimoine. Moralité:laissons donc les « riches » perpétuer leur race,et que les innovateurs crêvent !

Répondre
Anonyme 12 décembre 2011 - 4:20

Lettre soi disant de Sarkozy
Je considère comme un abus d’utiliser la signature d’un autre, en particulier le Président de la république pour exposer ses propres idées.

Il s’agit d’une usurpation d’identité.

Cela ne permet pas le débat d’idées.

Gilles de La Brière

Répondre
Anonyme 19 décembre 2011 - 1:04

Mauvaise foi
Franchement, c’était clair dès l’intro que cette lettre était un exercice de style. Les auteurs ne s’en ont aucunement cachés.

Répondre
Anonyme 23 décembre 2011 - 11:04

Lettre de Sarkozy
Je suis ahurie de voir que l’écrasante majorité de vos contributeurs continue à patauger dans la haine des « riches »et

l’horreur du capitalisme auquel ils ne

connaissent rien : c’est un mécanisme

économique et ils n’ont jamais rien

appris.

Tous de courageux anonymes ou est-ce vous qui avez choisi ce mode de publication ?

Enfin un pourcentage de fautes d’orthographe accablant : vive l’EN, bravo aux profs analphabètes.

Anne Marie FORDYCEl

Répondre
Anonyme 3 janvier 2012 - 8:25

Lettre du Président
Si seulement c’était vrai ! La FRANCE retrouverait sa place dans le monde, le travail reviendrait et l’assistanat disparaîtrait, la responsabilisation des citoyens serait de nouveau en place, toutes les lois socialo-communistes disparaîtrait au profit d’une libéralisation de l’économie retrouvée.

Bref, arrêt de l’état providence et retour des principes des états optants pour la motivation d’entreprendre au lieu de celle d’attendre au bord du chemin que l’on vienne vous assister sans vous aider vous-même !

Répondre